Pie VII

 
Pie VII
1742 - 1823
 

Pape, Religieux (Religion).

Nationalité italienne Italien, né le 14 août 1742 et mort le 20 août 1823

81 ans Mort à l'âge de 81 ans (de quoi ?).

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Biographie

Luigi Barnaba Chiaramonti (en religion Gregorio), né le 14 août 1742 à Cesena (Romagne) et mort le 20 août 1823 à Rome, était un moine bénédictin, élu pape le 14 mars 1800. Il prit le nom de Pie VII (en latin Pius VII, en italien Pio VII).

Avant-dernier enfant du comte Scipione Chiaramonti (1698-1750) et de Giovanna Coronata Ghini (1713-1777), fille du marquis Barnaba Eufrasio Ghini, femme profondément religieuse qui terminera sa vie au Carmel de Fano et que son fils prendra toute sa vie comme modèle, particulièrement aux moments les plus douloureux de son pontificat, il appartient à une famille de vieille noblesse d'origine française, sans doute celle de Clermont-Tonnerre amie des Braschi (famille dont est issu Pie VI). Sa famille est noble, mais assez pauvre.

Comme ses frères, il fréquente d'abord le Colegio dei Nobili de Ravenne, mais à sa demande, il entre à l'âge de 14 ans, le 2 octobre 1756, à l'abbaye bénédictine de Santa-Maria del Monte, à Cesena où il est admis comme novice sous la direction de dom Gregorio Caldarera. Deux ans plus tard (20 août 1758), il prend l'habit sous le nom de dom Gregorio. Jusqu'en 1763, il étudie à l'Abbazia di Santa Giustina de Padoue où il est suspecté de jansénisme par l'Inquisition vénitienne. Ses brillantes qualités intellectuelles conduisent ses supérieurs à l'envoyer ensuite au Collège Pontifical Saint Anselme, à Rome, annexé à la résidence urbaine de l'abbaye Saint-Paul-hors-les-Murs, c'est-à-dire à la basilique Sainte-Marie-du-Trastevere, qui était réservé aux étudiants les plus doués de la Congrégation bénédictine de Monte-Cassino.

Le 21 septembre 1765, il est ordonné prêtre et peu après, reçoit son doctorat de théologie. Il enseigne, à partir de 1766, à l'abbaye San-Giovanni de Parme, duché ouvert aux idées nouvelles. Amoureux de la culture et soucieux de donner un enseignement moderne, proche des réalités sociales et scientifiques de son temps, il souscrit à l'Encyclopédie de Diderot et se montre curieux des idées de Locke et Condillac, alors précepteur du prince héritier et dont il traduit l'Essai sur l'origine des connaissances humaines.

En 1772 lui est attribué le grade académique de « lecteur », par lequel sa congrégation l'habilite à l'enseignement de la théologie et du droit canonique.

Entre 1772 et 1781, il retourne au collège Saint Anselme, cette fois en tant que professeur de théologie et bibliothécaire. Il est ensuite nommé abbé titulaire du monastère dont il avait été oblat dans son enfance.

Le jeune moine Chiaramonti ressent le besoin d'un profond renouveau pour son ordre, en particulier dans le domaine de la formation. Il souhaite, d'une part, le retour à l'inspiration originelle de la vie monastique et, de l'autre, une modernisation des programmes d'enseignement, de façon à conduire les jeunes moines à un contact plus direct avec les réalités concrètes et actuelles.

En 1773(?), il devient confesseur du Pape Pie VI qui le tient en haute estime et en 1782, ce dernier le nomme prieur de l'abbaye romaine de Saint-Paul-hors-les-Murs où il semble avoir été accueilli comme un intrus par les autres moines jaloux de sa promotion et qui, semble-t-il, tenteront même de l'empoisonner. Dans son précis historique sur Pie VII, Jean Cohen rapporte :

"On prétendit qu'ils tentèrent d'empoisonner leur rival par une tasse de chocolat. Chiaramonti, l'ayant goûtée, ne put l'achever tant elle lui parut d'une saveur désagréable. Un frère lai, spécialement attaché à son service, la but, et saisi tout à coup des plus violentes douleurs, il ne survécut que 24 heures à ce fatal repas"

On peut douter de l'authenticité de l'anecdote qui précède. Il est sûr, en revanche, que la promotion de Chiaramonti à Saint-Paul-Hors-Les Murs n'est pas accueillie avec ferveur par les autres religieux. Pie VI en est conscient et, pour le protéger tout en lui confiant malgré tout de hautes responsabilités, il lui attribue l'évêché de Tivoli, en la cathédrale San Lorenzo le 16 décembre 1782. Trois ans plus tard, alors qu'il n'a que 42 ans, il est créé cardinal lors du consistoire du 14 février 1785 et reçoit le chapeau de cardinal le 27 juin. Il devient évêque-cardinal d'Imola et le restera curieusement jusqu'au 8 mars 1816 malgré son accession au Trône de Pierre en 1800.

En juin 1796, son diocèse est envahi par les troupes françaises d'Augereau. Rappelé à Rome en 1797, il se range dans le camp des modérés et soutient, au grand dam des conservateurs, l'établissement des négociations menant au traité de Tolentino. Dans une lettre adressée aux habitants de son diocèse, il leur demande de se soumettre, « dans les circonstances actuelles de changement de gouvernement (...) à l'autorité du victorieux général en chef de l'armée française. » Dans son homélie de Noël 1797, il affirme même :

« Oui ! mes chers frères, soyez de bon chrétiens, et vous serez d'excellents démocrates. La forme du gouvernement démocratique adoptée chez nous n'est point en opposition avec les maximes que je viens de vous exposer. Elle ne répugne pas à l'Évangile. Elle exige, au contraire, ces vertus sublimes qui ne s'acquièrent qu'à l'école de Jésus-Christ. Si vous les pratiquez sérieusement, elles seront le gage de votre bonheur, de votre gloire et de la splendeur de notre République. La seule indépendance que donnait aux anciens la forme de gouvernement dont ils jouissaient les avait ornés d'une foule de vertus. Républicains et, de plus, chrétiens, quels modèles de sainteté ne doivent pas être les citoyens d'Imola !» »

Il intercède d'ailleurs personnellement auprès du général Augereau pour le convaincre d'épargner les habitants de Lugo qui ne s'étaient guère montrés sensibles à ses conseils pacifiques. Cette politique modérée évitera bien des malheurs au diocèse d'Imola, mais n'empêchera pas le reste de l'Église de continuer à vivre des moments dramatiques.

À la nouvelle de l'assassinat du général Duphot, le Directoire ordonne le 11 janvier 1798 l'occupation de Rome. Gaspard Monge part le 6 février pour Rome. La Révolution éclate dans la ville le 15 février. La "République romaine" est proclamée par le peuple réuni au Campo Vaccino (ancien forum).

Le pape Pie VI est contraint par la république française de renoncer à son pouvoir temporel et de se contenter de son pouvoir spirituel. On l'oblige à quitter Rome sous deux jours. Pie VI quitte le Quirinal dans la nuit du 19 au 20 février 1798. Après le renvoi de Masséna, Gaspard Monge fait toutes les nominations (sauf les finances).

Réfugié à Sienne puis à la chartreuse de Florence (en juin 1798), Pie VI est en quelque sorte rattrapé par les troupes françaises et fait prisonnier. Il est successivement emmené à Bologne, Parme, Turin, puis Briançon, Grenoble et enfin Valence (France) .

Malgré les bouleversements que connaissait alors la France, le pape octogénaire reçoit de nombreuses et touchantes marques de respect, de compassion et de communion dans la foi de la part des petites gens, tout au long de sa route, entre Briançon et Valence. Le poète Paul Claudel le surnommera le père commun des fidèles.

Celui que l'on surnommait il Papa bello, imposant et séduisant, affable et cultivé, finit tristement son règne, presque impotent.

C'est à Valence qu'il est incarcéré par la Révolution française, et qu'il meurt, épuisé, le 29 août 1799 à l'âge de 82 ans.

Les États pontificaux, symbole du pouvoir temporel du pape, institution qui durait depuis plus de mille ans (donation de Pépin) sont remplacés par la République romaine, sous la pression des révolutionnaires français avant d'être annexés par Napoléon Ier dont le fils portera le titre de « roi de Rome ».

Dans cette situation où Rome était occupée par les troupes françaises et où le pape ne disposait plus de son pouvoir temporel, les cardinaux se trouvaient dans une position très particulière. Ils furent obligés de tenir le conclave à Venise et ce fut le dernier jusqu'à nos jours à se tenir hors de Rome. Ils répondaient ainsi à deux ordonnances de Pie VI (17 janvier 1797 et 13 novembre 1798) à propos des mesures à prendre en cas d'urgence. Craignant que la papauté ne soit abolie, il y stipulait que le conclave devait être convoqué par le doyen du Collège des cardinaux et se tenir dans la ville qui comptait, au sein de sa population, le plus grand nombre de cardinaux.

C'est le monastère bénédictin de San Giorgio (situé sur l'île de San Giorgio Maggiore) qui fut choisi. La ville de Venise, ainsi que d'autres villes du Nord de l'Italie, étaient sous la domination de l'Empereur François Ier d'Autriche qui accepta de prendre à sa charge les frais du conclave.

Chiaramonti faillit ne pas y participer : comme il avait dépensé tous ses revenus à soulager les pauvres de son diocèse, il n'avait pas de quoi payer le voyage. Un de ses amis lui prêta mille écus.

Bien que le conclave ait débuté le 30 novembre 1799, les cardinaux ne parvinrent pas à se déterminer entre les trois candidats favoris jusqu'au mois de mars 1800. Trente-quatre cardinaux étaient présents depuis le début (le nombre le plus faible entre 1513 et nos jours). Un trente-cinquième allait bientôt se joindre à eux : Franziskus von Paula Herzan von Harras qui était aussi le représentant de l'empereur d'Autriche et qui allait par deux fois utiliser son droit de veto.

Ercole Consalvi avait été choisi à l'unanimité comme secrétaire du conclave. Il allait devenir un personnage très influent pour l'élection du nouveau pape. Carlo Bellisomi était le grand favori et bénéficiait de nombreux soutiens, mais les cardinaux autrichiens lui préféraient Mattei et utilisèrent leur droit de véto. Le conclave porta alors son dévolu sur un troisième candidat possible : le cardinal Hyacinthe-Sigismond Gerdil mais il fut lui aussi victime du véto de l'Autriche.

Alors que le conclave entrait dans son troisième mois, le cardinal Maury, neutre depuis le début, suggéra le nom de Chiaramonti qui fit savoir qu'il n'était absolument pas candidat (et qui fit à nouveau appel à son ami, cette fois pour pourvoir à ses frais de nourriture et d'hébergement). C'est sur l'insistance d'Ercole Consalvi qu'il finit par accepter et qu'il fut élu le 14 mars 1800 après 104 jours de conclave et 227 jours après la mort de Pie VI (le plus long siège vacant entre 1415 et nos jours). Il prit le nom de Pie VII en hommage à son prédécesseur, surnommé le « pape martyr ». Immédiatement après son retour à Rome, il nomma Consalvi cardinal et pro-secrétaire d'État (le 11 août 1800). Pendant 23 ans, malgré tous les revers, Consalvi restera fidèle à celui qu'il avait fait élire et c'est à lui que Pie VII rendra son dernier souffle le 20 août 1823.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Italienne Drapeau italien
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

  • Activités principales : --
  • Autres activités : Pape, Religieux
  • Domaines : Religion

Noms

  • Nom usuel : Pie VII
  • Nom complet : --
  • Prénoms : --
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Pie VII
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : pie 7, pi 7pi vii, Barnaba Chiaramonti, uigi Barnaba Chiaramonti

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 81 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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Commentaires

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Donias Tombeau de Pie VII par Thorvaldsen. Chapelle Clémentine de la basilique Saint-Pierre.
Répondre - il y a 5 ans
Donias Affaibli par le grand âge, Pie VII se déplaçait de plus en plus difficilement. Le 6 juillet 1823, le pape, qui va avoir 81 ans, fit comme d'habitude une lente promenade dans les jardins intérieurs du palais du Quirinal.
Dans la soirée du 6 (14 ans jour pour jour après son enlèvement par le général Radet et l'armée française), Pie VII, qu'on avait laissé momentanément seul dans son bureau, malgré les recommandations contraires du secrétaire d'État le cardinal Consalvi, voulut se lever de son fauteuil en s’appuyant sur sa table de travail.
On avait fixé derrière lui un cordon au mur, qu'il agrippait pour se mettre debout ; mais sa main affaiblie atteignit mal le cordon, qui lui glissa des doigts. Perdant l'équilibre, le pape tomba lourdement sur le carrelage et se fractura le col du fémur gauche.
Au grand cri qu'il poussa, les camériers secrets et les prélats domestiques accoururent des salles voisines.
Pie VII s'alita pour ne plus se relever. Au matin du 7 juillet, la nouvelle s'étant répandue durant la nuit, le peuple romain accourut sur la place de Montecavallo (place du Quirinal) et ne cessa plus de veiller sous les fenêtres du Pontife.

Le roi de France Louis XVIII fit envoyer de Paris à Rome un lit mécanique spécial, pour soulager les souffrances du Pontife.
Au cardinal Bertazzoli, éploré, qui le harcelait pour qu'il accepte les services de tel ou tel médecin qu'on lui recommandait, le Pape fit cette réponse piquante, avec son calme perpétuel : Andate, Signor Cardinale… Voi siete pio, ma veramente un pio seccatore. (Allez, Monsieur le Cardinal… Vous êtes pieux, mais vraiment un pieux raseur.) Le 19 août, son état s’aggrava et il ne prononça plus que des mots en latin à voix basse, signe qu’il était constamment en prières. Dans la nuit, perdant conscience par moments, il murmura souvent ces seuls et derniers mots : Savona !… Savona !… Fontainebleau !…, les noms des villes où il avait été déporté cinq ans loin de Rome et où il avait beaucoup souffert. Le 20 août, à cinq heures du matin, alors qu’il venait d’entrer dans sa 82e année, Pie VII, veillé par son fidèle secrétaire d'État le cardinal Consalvi, mourut, après un règne de 23 ans, cinq mois et six jours, pleuré par le peuple romain qui l'accompagna tout au long de sa paisible agonie.

On procéda immédiatement à l’embaumement du pape, dont les entrailles furent portées à l'église Saints-Vincent et Anastase de Trevi, la paroisse du Quirinal où reposent, dans des urnes de marbre, le cœur et les viscères de 23 papes, de Sixte V à Léon XIII. L'anneau du pêcheur fut brisé (pour la seconde fois !9) et la dépouille mortelle de Pie VII fut exposée au palais du Quirinal, revêtue des vêtements pontificaux solennels.
Une foule dense et attristée recouvrit bientôt la place de Monte-Cavallo pour lui rendre un dernier hommage. Le lendemain, 22 août, le corps fut transporté à la basilique Saint-Pierre du Vatican accompagné d'une foule immense.

Les funérailles du Pape durèrent neuf jours, selon la coutume de l'Église de Rome (d’où l’expression Novendiali (it)). Le neuvième jour, on scella le cercueil de plomb. Aux pieds du Pape on déposa une bourse contenant les médailles et les monnaies frappées durant son règne ; le cercueil de plomb fut renfermé dans un cercueil de chêne qui fut placé temporairement dans la crypte vaticane, là où avait été inhumé son prédécesseur Pie VI.
Le monument funéraire, par Thorvaldsen

Dans son testament, le cardinal Consalvi, secrétaire d'État de Pie VII, avait stipulé que tous les présents qu’il avait reçus de monarques étrangers au cours de sa longue carrière diplomatique devaient être vendus, et que le produit de la vente devait servir à terminer les façades de plusieurs églises de Rome, à faire quelques présents à ses serviteurs, à soulager les pauvres de la Ville, et à faire ériger dans la basilique Saint-Pierre un monument funéraire à son maître et ami, le pape Pie VII. Le cardinal Consalvi mourut en 1824, quelques mois après le défunt pape.

Il fut fait selon sa volonté. Dans l’un des transepts gauches de la basilique Saint-Pierre, le sculpteur danois Bertel Thorvaldsen élabora les plans d'un monument à Pie VII, représentant le pape le visage grave, entouré de deux figures allégoriques dans une attitude pensive et attristée : la Force et la Sagesse, entourées des génies de l’Histoire et du Temps.
La dépouille mortelle de Pie VII y fut transférée en 1825.
Le monument funéraire de Pie VII est la seule œuvre d’art de la basilique Saint-Pierre à avoir été réalisée par un artiste non catholique (Thorvaldsen était protestant).

Le successeur de Pie VII fut le pape Léon XII.
Répondre - il y a 5 ans
Anonyme 76537 Je viens de publier un récit de l'emprisonnement de Pie VII à Savone puis à Fontainebleau, une histoire dramatique mais aussi pittoresque car contée à partir des rapports des geôliers.
Répondre - il y a 1 an

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