Simon Bolivar

 
Simon Bolivar
1783 - 1830
 

Général, Homme d'état, Homme politique, Militaire, Président (Histoire, Politique).

47 ans Mort à l'âge de 47 ans (de quoi ?).

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Biographie

Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios, plus connu sous le nom de Simón Bolívar et surnommé le Libertador, né le 24 juillet 1783 à Caracas au Venezuela, et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, est un général et homme politique vénézuélien. II est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín et le Chilien Bernardo O'Higgins, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813. Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie, Colombie, Équateur, Panama, Pérou et Venezuela. Bolívar participa également à la création de la Grande Colombie, dont il souhaitait qu'elle devînt une grande confédération politique et militaire regroupant l'ensemble de l'Amérique latine, et dont il fut le premier Président.

Le titre honorifique de « Libertador » lui fut d'abord accordé par le Cabildo de Mérida (Venezuela), puis ratifié à Caracas (1813), et reste aujourd'hui encore associé à son nom. Bolívar rencontra tant d'obstacles pour mener à bien ses projets qu'il en arriva à s'appeler lui-même « l'homme des difficultés », dans une lettre adressée au général Francisco de Paula Santander en 1825.

En tant que figure majeure de l'histoire universelle, Bolívar est aujourd'hui une icône politique et militaire dans de nombreux pays d'Amérique latine et dans le monde, qui ont donné son nom à un très grand nombre de places, de rues ou de parcs. Son nom est aussi celui d'un État du Venezuela, d'un département de la Colombie et surtout d'un pays, la Bolivie. On retrouve des statues à son effigie dans la plupart des grandes villes d'Amérique hispanophone, mais aussi à New York, Lisbonne, Paris, Londres, Bruxelles, Le Caire, Tokyo, Québec, Ottawa, Alger, Madrid, Téhéran, Barcelone, Moscou et Bucarest.

La famille Bolívar est originaire de la petite localité de Ziortza-Bolibar, en Biscaye (Pays basque espagnol). La famille Bolívar est présente au Venezuela dès les premiers temps de la colonisation espagnole de l'Amérique du Sud et, à la naissance du futur Libertador, fait partie de l'élite créole de la colonie.

L'ancêtre familial est Simón Bolíbar (dit « le Procureur ») qui en 1559 quitte le Pays basque pour l'île de Saint-Domingue où il exerce la profession de greffier de l'une des chambres de l'audiencia. En 1587, Simón Bolíbar quitte Saint-Domingue avec son père le gouverneur don Diego de Osorio pour s'installer en Tierra Firme en qualité de trésorier-comptable. Promu procureur par le cabildo de Caracas, il réalise en 1590 une mission à Madrid auprès de Philippe II pour solliciter des privilèges commerciaux en faveur de la colonie. Il meurt en 1612.

La génération suivante est représentée par un prêtre, chargé du tribunal de l'Inquisition et qui se distingue en participant à l'expédition contre Lope de Aguirre, " conquistador" particulièrement cruel qui s'est rebellé contre l'autorité du roi. Pour ces services, ce prêtre se voit offrir une encomienda sur les terres de San Mateo.

À la troisième génération figure don Juan de Bolívar y Villegas (es), grand-père du Libertador, lequel aurait du sang indigène.

Avec le temps, la famille Bolívar, alliée par le mariage avec d'autres familles des premiers colons du Venezuela, a obtenu diverses fonctions et distinctions comme celles de Régisseur, sous-lieutenant du Roi, ainsi que des titres de noblesse comme celui de marquis de Bolívar et vicomte de Cocorote, ce dernier étant associé à la cession des riches mines de cuivre de Cocorote et de la seigneurie d'Aroa.

La mère de Simón Bolívar, María de la Concepción Palacios y Blanco, tout comme son père Juan Vicente Bolívar y Ponte faisaient partie de l'aristocratie de Caracas, et en dépit d'une grande différence d'âge, ils se marièrent en 1773 : Juan Vicente avait quarante-sept ans tandis que Concepción n'en avait que quinze. Ils eurent cinq enfants : María Antonia, Juana Nepomucena, Juan Vicente, Simón et María del Carmen. Cette dernière mourut cependant dans les heures qui suivirent sa naissance.

Simón Bolívar est né dans la nuit du 24 au 25 juillet 1783, dans une villa de la Plaza San Jacinto de Caracas et son nom complet est Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Ponte Palacios y Blanco, avec lequel il fut baptisé le 30 juillet suivant à la cathédrale de Caracas par son cousin, le docteur Juan Félix Jerez Aristeguieta. C'est ce dernier qui aurait, d'après Juan Vicente Bolívar, proposé le prénom de Simón.

En janvier 1786, alors que Simón Bolívar était âgé de deux ans, son père mourut de la tuberculose, laissant Concepción diriger la famille, et veillant efficacement à ses intérêts. Mais elle-même fut touchée par la tuberculose et sa santé déclina rapidement.

Concepción mourut le 6 juillet 1792, à la veille des neuf ans de Simón, mais avait pris la précaution d'écrire un testament détaillant qui devrait avoir la charge de ses enfants. Les frères et soeurs Bolívar passèrent donc sous la garde de leur grand-père, Don Feliciano Palacios, lequel tout en assumant cette responsabilité, tomba lui aussi malade et commença à écrire à son tour un testament pour désigner un nouveau tuteur choisi en accord avec les enfants.

Simón Bolívar fut confié à son oncle, Don Esteban Palacios y Blanco, mais comme celui-ci se trouvait en Espagne, il demeura sous la garde d'un autre de ses oncles, Don Carlos Palacios y Blanco, de caractère dur et strict, et qui s'absentait fréquemment de Caracas pour s'occuper de ses propriétés, laissant la garde de son neveu à ses domestiques. Simón Bolívar était alors scolarisé à l'école publique de Caracas.

Malgré tout, les références qu'a laissées Bolívar dans ses correspondances laissent supposer que son enfance fut heureuse et qu'il fut entouré de beaucoup d'affection, ayant d'agréables souvenirs, avec des parents connus et influents dans une ambiance très aristocratique et d'une façon plus générale, dans une ambiance qui lui a offert un certain équilibre émotionnel.

Il y a quelques anecdotes popularisées au Venezuela qui présentent Bolívar enfant comme quelqu'un de turbulent, anecdotes relayées par des écrivains romantiques qui cherchaient à lui attribuer dès l'enfance un caractère insoumis, avec l'idée qu'un homme exceptionnel ne puisse pas provenir d'un enfant sage. Mais il fut démontré que ces anecdotes furent inventées et introduites dans des récits historiques par Arístides Rojas, considéré comme un excellent narrateur mais usant souvent de son imagination faute de documents étayant ses affirmations.

La jeune scolarité de Bolívar ne fut pas très brillante, dans une école publique de la municipalité de Caracas manquant de moyens et présentant des carences administratives. Simón Rodríguez y fut l'instituteur de Bolívar et Don Carlos pensait lui confier la garde de Bolívar, ne pouvant pas s'occuper personnellement de lui. Les protestations de sa nièce María Antonia à propos de l'éducation que recevait Bolívar étaient fréquentes.

Devant la perspective d'aller vivre avec son maître d'école, Bolívar s'échappa de la maison de son oncle le 23 juillet 1795 pour rejoindre sa soeur María Antonia, qui prit temporairement sa garde le temps que se réglât le litige judiciaire à la Real Audiencia de Caracas, qui rendit à Don Carlos la garde de l'enfant. Bolívar tenta d'y résister, mais fut emmené de force vers la demeure de Simón Rodríguez.

Là, les conditions de vie pour Bolívar furent très en deçà de ce qu'il connaissait, devant partager l'espace avec vingt autres personnes dans une maison n'étant pas conçue pour cela. Bolívar prit à nouveau la fuite à plusieurs reprises, revenant chaque fois par ordre des tribunaux. Rodríguez finit par renoncer à sa fonction d'instituteur pour partir en Europe, et la Real Audiencia de Caracas décida alors que Bolívar serait muté à l'Académie de mathématiques, dirigée par le père Andújar et qui se tenait dans la maison de son oncle Don Carlos. Dans cette académie, la formation de Bolívar s'est notablement améliorée et fut complétée par des cours d'histoire et de cosmographie donnés par Don Andrés Bello, jusqu'à son entrée dans le Batallón de Milicias de blancos de los Valles de Aragua (le « bataillon des milices de blancs des vallées d'Aragua ») le 14 janvier 1797.

Selon une légende tenace, Bolívar aurait été inscrit au Collège Royal de Sorèze, dans le Tarn, en France, de 1793 à 1795. Il est aujourd'hui établi que Bolívar ne fréquenta jamais cette école militaire. L'origine de cette légende est sans doute dans le grand prestige de cette institution ainsi que dans le fait que Napoléon avait demandé à y être admis. Entre Convention et Directoire, alors que la jeune République française cherchait ses marques, Bolívar y aurait reçu un enseignement bénédictin, et assisté à la montée en puissance de Napoléon Bonaparte. Adolescent, Simón Bolívar aurait été nourri par cette période riche d'enseignements politiques et libertaires, qui aurait constitué une source d'inspiration fondatrice de sa démarche politique à venir.

Bolívar commence sa carrière militaire à l'âge de quatorze ans et obtient le titre de sous-lieutenant deux ans plus tard, dans une unité militaire créée en 1759 par l'un de ses aïeux, Don Juan de Bolívar.

Son service militaire est interrompu par la décision de ses oncles Esteban et Carlos de l'envoyer en Espagne afin de mieux connaître le monde et de compléter sa formation.

Cependant, l'Espagne se trouve alors prise dans une crise internationale complexe provoquée par la Révolution française et les ambitions de Napoléon Bonaparte, à laquelle il faut ajouter un affrontement interne entre absolutistes et libéraux, et un déficit fiscal aggravé par un blocus maritime imposé par les Britanniques, blocus qui perturbe le trafic habituel vers les Amériques, attaquant toute embarcation qui tenterait de franchir le blocus.

L'entreprise de voyage est donc délicate et risquée, mais Bolívar peut néanmoins l'accomplir, notamment grâce à des convois envoyés par les Espagnols pour briser le blocus. C'est grâce à un convoi commandé par l'amiral Alcalá Galiano, qui a pu quitter le port de Cadix en décembre 1798, franchir le blocus et arriver au Venezuela, que Bolívar peut partir. Il embarque le 19 janvier 1799 à bord de l'un des navires arrivés entiers, le navire de ligne San Ildefonso, dans le port de La Guaira. Le navire fait voile vers Veracruz pour réunir la flotte et attendre le moment opportun pour retourner en Espagne.

À Veracruz, Bolívar est hébergé chez Don José Donato de Austria et pendant que la flotte de Galiano stationne au port de La Havane, il voyage jusqu'à la ville de Mexico pour rendre visite à Obispo Viana. De retour à Veracruz, il reprend son voyage pour l'Espagne et atteint le port de Santoña le 13 mai 1799 d'où il part immédiatement pour Madrid.

Rapidement après son arrivée à Madrid, Bolívar s'installe chez le marquis d'Ustáriz, un haut fonctionnaire du Roi ayant une éducation sophistiquée et qui devient l'un des tuteurs les plus influents sur l'éducation et la pensée de Bolívar. C'est une personne compétente et expérimentée, notamment dans les tâches de gouvernement, domaine dans lequel il complète l'éducation de Bolívar.

C'est aussi à cette période, en l'an 1800, que Bolívar rencontre celle qui deviendra sa femme, Maria Teresa del Toro y Alayza, fille du Marquis del Toro. Elle accepte sa demande de fiançailles au mois d'août 1800, mais étant donné leur jeunesse, lui n'ayant que dix-sept ans et elle dix-huit, ils attendirent deux ans avant de se marier. Bolívar en profite pour se rendre tout d'abord à Bilbao, où il commence à étudier les langues, puis à Paris où il est le témoin de nombreux événements de la France révolutionnaire et en contact direct avec la France des Lumières. Il se montre aussi fervent admirateur de Napoléon.

En 1802, Bolívar retourne en Espagne pour reprendre les procédures légales de son mariage, et devient l'époux de Maria Teresa le 26 mai dans l'église paroissiale de San José de Madrid. Il se consacre ensuite à préparer son retour en Amérique.

À la suite de divers événements qui modifient leurs plans, Bolívar et son épouse embarquent à La Corogne le 15 juin 1802 pour un trajet direct jusqu'au Venezuela, et arrivent au port de La Guaira le 12 juillet de la même année.

Rapidement après leur arrivée, ils s'établissent au majorat de la Concepción, situé près de la Plaza Mayor de Caracas, à l'angle de Las Gradillas. Bolívar assume pleinement l'administration de ses biens.

Les deux époux suscitent la curiosité de l'aristocratie de Caracas, qui espère en apprendre sur la Cour et sur le personnage du moment, Bonaparte. Durant les différentes fêtes et réunions qu'ils fréquentent, Maria Teresa découvre une société cultivée et raffinée où l'on discute librement de politique et des livres révolutionnaires pourtant prohibés en Espagne.

Le couple se rend fréquemment dans les propriétés de la famille de Bolívar, lequel profite d'une année heureuse. Mais Maria Teresa contracte alors la fièvre jaune, maladie endémique des pays tropicaux, et son état se dégrade rapidement. Elle en meurt le 22 janvier 1803.

Sa mort affecte profondément Bolívar qui se trouve au bord de la dépression, aigri, et dont l'idée d'une vie heureuse au Venezuela se trouve anéantie. Bolívar fit le serment de ne jamais plus se marier. Il respecta cet engagement, mais n'en eut pas moins une vie sentimentale très animée, scandaleuse aux yeux de la société sud-américaine.

Après le décès de son épouse, Bolívar se consacre aux travaux dans ses plantations, mais le temps passé au Venezuela lui devient insupportable et il décide de revenir en Europe.

En décembre 1803, il arrive en Espagne et s'installe dans le port de Cadix où il reste jusqu'en février 1804, puis se rend à Madrid. On sait que Bolívar maintient durant cette période des contacts avec ses représentants commerciaux mais on spécule aussi sur son adhésion à ce moment à la Grande loge américaine des Francs-maçons.

Il revoit à Madrid son beau-père le Marquis del Toro avec qui il partage la peine de la mort de Maria Teresa. Peu de temps après il décide de retourner en France, arrivant à Paris en avril 1804.

Selon différents points de vue critiques, la reconstruction de la vie de Bolívar entre 1804 et 1807 est difficile et les récits sur cette période semblent parsemés de mythes. On sait cependant qu'il voyage entre Paris et Rome durant cette période, qu'il retrouve son ancien maître Simón Rodríguez et qu'il entretient des échanges avec le fameux naturaliste et explorateur baron Alexander von Humboldt, le botaniste Aimé Bonpland ainsi qu'avec l'étudiant Carlos Aguirre y Montúfar, qui l'accompagne à Rome en 1805.

À Paris, Bolívar assiste probablement au sacre de Napoléon Ier, et se retrouve en contact avec la pensée des Lumières dans une atmosphère chargée de romantisme. Les idées de changements et de révolution ont notablement imprégné ses idéaux politiques, et Bolívar en vient à conclure que l'Espagne ne pourra pas s'opposer à la France de Napoléon et que son affaiblissement sera mis à profit par ses ennemis tels que l'Angleterre. Il prend conscience que tout cela mènera les colonies espagnoles d'Amérique à devoir choisir entre une domination française ou anglaise, à moins de prendre en main leur avenir indépendamment de l'Espagne.

Ce raisonnement confirme Bolívar dans sa conviction que l'indépendance est l'option la plus bénéfique pour les Amériques après la destruction de la flotte espagnole par les Britanniques lors de la bataille de Trafalgar en 1805 et en considérant la position très délicate de la Couronne d'Espagne face à Napoléon.

Ces éléments le conduisent à rejeter l'idée d'une possible domination de Napoléon dans le monde, et à prêter devant son ami et précepteur Simón Rodríguez le serment du Monte Sacro à Rome, où il aurait juré par les dieux de ses ancêtres, par ses ancêtres eux-mêmes, par son honneur et par sa patrie de mettre un terme à la domination espagnole en Amérique. De nombreux doutes entourent ce fameux serment, rédigé pour la première fois par Rodriguez, en 1850, alors que le précepteur avait quatre-vingts ans. La version "officielle", par Manuel Uribe Ángel a été, elle, publiée seulement en 1884.

Le nouveau gouvernement traça de nouvelles perspectives, dans toutes les directions. Les nouvelles des évènements de Caracas parvinrent à l'Amiral Alexander Cochrane, Commandant des forces navales britanniques dans les Caraïbes. Il transmit ce qu'il avait appris des évènement de Caracas à Londres et mit à disposition de la Junte la corvette Wellington afin qu'elle puisse envoyer, si elle le désirait, une délégation.

Ainsi, Bolívar fut envoyé en Angleterre avec le grade de colonel, dans une mission diplomatique, accompagné d'Andrés Bello et Luis López Mendéz, avec l'instruction de solliciter l'appui britannique en faveur de la Junte au nom du roi Ferdinand VII, profitant de l'alliance nouvelle entre l'Espagne et l'Angleterre, qui avaient laissé de côté leurs différends historiques face au péril commun représenté par Napoléon.

La mission diplomatique arriva à Londres au milieu d'une situation politique délicate, car l'Angleterre venait d'accorder une coûteuse aide militaire à l'Espagne, et le refus de la Junte de reconnaître l'autorité de la Régence espagnole fut alors un obstacle dans les négociations.

Cependant, Lord Wellesley considéra convenable de recevoir la délégation dans sa résidence particulière, Apsley House, craignant que les Vénézuéliens ne s'adressent à Napoléon en recherchant un appui et désirant sonder les intentions diplomatiques vénézuéliennes.

Dès l'abord, les Britanniques laissèrent entendre que dans les circonstances présentes un appui au Venezuela était impossible, et dans une tentative de faire pression sur la couronne d'Espagne pour qu'elle leur donne le droit de commercer librement avec ses colonies, ils essayèrent de dévier les négociations des accords commerciaux dans le sens le plus conforme à leurs intérêts.

Bien que tous les objectifs de la délégation ne furent pas remplis, quelques compromis importants purent être convenus grâce à la présence à Londres de Francisco de Miranda. Bolívar entretint avec lui des contacts qui pesèrent favorablement sur les négociations.

Ainsi Bolívar réussit à obtenir la secrète connivence des Anglais, déguisée en neutralité, ainsi que l'ouverture du commerce extérieur, et la possibilité que l'Angleterre fasse pression sur l'Espagne en faveur des intérêts vénézuéliens.

Après avoir convenu avec les Anglais de la permanence d'un représentant à Londres, Bolívar embarqua sur la corvette Shaphire et arriva à La Guaira le 5 décembre 1810.

Une fois au Venezuela, il procéda à différentes tractations afin de négocier le retour de Francisco de Miranda. Grâce à ces tractations, ce dernier rentra au Venezuela à bord du brigantin anglais Avon le 10 décembre 1810, accueilli froidement par la Junte suprême, qui le nomma néanmoins Lieutenant-Général (général de corps d'armée) peu après.

Le bolivarisme est un courant politique se revendiquant de certaines idées de Simón Bolívar.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Citations

Les meilleures citations de Simon Bolivar.

L'art de la victoire s'apprend dans la défaite.
Dieu accorde la victoire à la persévérance.
L'ignorance dans laquelle les gens vivent les conduit à commettre des erreurs contre leur propre bonheur.

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Fiche d'identité

Identité

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Simon Bolivar
  • Nom complet : --
  • Prénom : Simon
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Bolivar
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 47 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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