Francais nés en 1943 et morts en 2017

Chanteur français de rock et variétés durant + de 55 ans de carrière, l'un des plus célèbres chanteurs francophones et l'une des personnalités les plus présentes dans le paysage médiatique français. Il fut le 1er à populariser le rock 'n' roll en France, puis lance le twist et le mashed potato. Ses prestations vocales et scéniques lui attirent la reconnaissance de ses pairs et sa réputation d'homme de scène franchit les frontières. Depuis ses débuts, il a effectué 183 tournées, 27 rentrées parisiennes et a attiré plus de 28 millions de spectateurs. Il a enregistré plus de 1 000 titres, composé une centaine de chansons et vendu 110 millions de disques. Sa carrière est récompensée par 40 disques d’or, 22 de platine, 5 de diamant et 10 Victoires de la musique, pour une discographie officielle qui compte 50 albums studio et 29 albums live. Ses chansons les + célèbres sont : Je te promets (1986), L'Envie (1986), Allumer le feu (1998), Le Pénitencier (1979), Que je t'aime (1969), Quelque chose de Tenessee (1985), Laura (1986), Noir c'est noir (1966), Retiens la nuit (1961) ou La Musique Que J'aime (1973).

Politicien français qui fut l'un des leaders de la période de Mai 68 (nom donné à l'ensemble des mouvements de révolte survenus en France en mai-juin 1968) où il était alors vice-président de l'UNEF (Union nationale des étudiants de France).

Entrepreneur français dirigeant du groupe Nicollin (ensemble d'entreprises de nettoyage urbain, de ramassage et de retraitement des déchets ménagers et industriels), figure montpelliéraine, président du MHSC (Montpellier Hérault Sport Club) de 1974 jusqu'à sa mort. Surnommé « Loulou », doyen des présidents de clubs de Ligue 1, il était le visage et surtout la voix du MHSC.

Haut fonctionnaire français spécialiste des affaires de police, de terrorisme et du renseignement, connu pour avoir été un proche du président français François Mitterrand dont il fut l'ancien directeur de cabinet (de 1988 à 1992) et condamné en 2005 dans l'affaire des écoutes de l'Elysée (puni d'une peine de prison avec sursis et d'une amende de 5 000 euros pour « atteinte à l'intimité de la vie privée », confirmées par la Cour de cassation en 2008).