Benjamin Franklin

 
Benjamin Franklin
1706 - 1790
 

Artiste, Écrivain, Physicien, Scientifique (Art, Histoire, Littérature, Science).

Nationalité américaine Américain, né le 17 janvier 1706 et mort le 17 avril 1790

84 ans Mort à l'âge de 84 ans (de quoi ?).

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Biographie

Franklin, après George Washington, a probablement été le plus célèbre américain du 18e siècle. Il est devenu très connu dans les milieux scientifiques en Europe pour ses expériences et ses théories dans le domaine électrique. Aussi il a débuté une longue carrière politique, pendant laquelle il a été porte-parole en chef pour les colonies britanniques durant les discussions avec les ministres du roi au sujet de l'autonomie gouvernementale et il aida à la rédaction de la Déclaration de l'Indépendance. Si impressionnante a été sa vie au service publique, elle a été moins remarquable dans sa contribution pour le confort et la sécurité de la vie quotidienne. Il a inventé un fourneau, encore manufacturé, pour donner plus de chaleur que les cheminées ouvertes; le paratonnerre et les verres à double foyer ont également été ses idées. Saisissant l'occasion des efforts unifiés de la communauté pour avoir plus de commodités, qui étaient l'apanage des gens riche, il aida à l'établissement d'institutions que les gens peuvent prendre en location : une compagnie de chauffage, une bibliothèque, une compagnie d'assurance, une Académie, et un hôpital.

Dans certains cas, ces institutions étaient les premières de la sorte en Amérique du Nord. On pourrait s'attendre à une admiration universelle pour un homme d'une telle envergure et d'un altruisme apparent. Pourtant Franklin a été détesté par certains de ses contemporains et de temps en temps il a été attaqué en tant que matérialiste ou un hypocrite. D.H. Lawrence, romancier anglais, le considérait comme l'incarnation ayant les plus mauvais traits de caractère américain. Max Weber, sociologue allemand, a fait de lui un exemple " de l'éthique protestante ", un état d'esprit qui a beaucoup contribué, pensa Weber, aux aspects moins excellents du capitalisme moderne. Ceux qui admiraient Franklin croyaient que ses détracteurs l'ont identifié, de manière erronée, avec le pauvre Richard, un personnage de sa propre création, ou qu'ils ont trop compté, en grande partie, sur l'autoportrait inachevé de son autobiographie publiée après sa mort.

Benjamin était le 10e sur 17 enfants d'un homme qui a été un fabriquant de savon et de chandelier. Benjamin a appris à lire très tôt et il a reçu une année d'étude de grammaire et une autre année d'étude avec un professeur privé, mais son éducation formelle s'est terminé à l'âge de 10 ans. À 12 ans il est devenu un apprenti imprimeur chez son frère James. Sa maîtrise dans le métier d'imprimeur, dont il était fier à la fin de sa vie, a été complétée entre 1718 et 1723. Durant cette même période il lisait inlassablement et il apprit à écrire pertinemment.

Son premier enthousiasme a été la poésie. Durant les premières années de son apprentissage il a écrit deux ballades de circonstance, aucune copie n'a survécu. La prose a été une autre matière. Le Spectateur , le célèbre périodique, de Joseph Addison et de Richard Steele, est apparu en Angleterre en 1711-12 et a été imité pendant presque tout le siècle mais rarement avec la persistance de Franklin, l'apprenti imprimeur. Il lisait un essai du périodique, prenait des notes de l'idée de chaque phrase, mettait ses notes de côté pendant quelques jours, et ensuite il essayait de réécrire l'essai. La comparaison de sa version avec l'original lui a montré qu'il était nécessaire d'améliorer son vocabulaire. En convertissant certain passage du Spectateur en vers, et quelques jours plus tard les reconvertissant en prose, lui a été très utile.

En 1721, James Franklin, frère de Benjamin, fonda un hebdomadaire, le New-England Courant, auquel les lecteurs étaient invités à contribuer. Benjamin, âge de 16 ans, a lu cet hebdomadaire et a peut-être dactylographié du texte et décida qu'il pourrait faire aussi bien lui-même. En 1722, il a écrit une série de 14 essaies " Silence Dogood ". Une satire des élégies funèbres de la Nouvelle Angleterre.

Vers la fin de l'année 1722, James Franklin a eu des problèmes avec les autorités provinciales et a été interdit d'imprimer ou d'éditer le Courant . Pour pouvoir continuer à publier, il déchargea son jeune frère de son apprentissage initial et le nomma éditeur. De nouveaux contrats bilatéraux ont été élaborés mais non pas été rendu publique. Quelques mois plus tard, après une querelle amère, Benjamin dénonça le subterfuge que James avait conçu, certain que James n'ira pas devant les tribunaux.

Ne trouvant pas de travail à Boston ni à New York, Benjamin est parti pour Philadelphie. Une des scènes dramatiques, qu'il décrit dans son autobiographie est son arrivée, à Philadelphie, un dimanche matin, fatiguée et affamée. Trouvant une boulangerie, il demanda du pain pour trois pennies et il a obtenu " trois gros Puffy Rolls ". Les transportant sous chaque bras et mâchant le troisième, il marchait vers la rue du Marché et il passa devant la porte de la famille Read, où se trouvait Deborah, sa future épouse. Elle l'a vu et " pensa peut être que j'avais une apparence ridicule".

Quelques semaines plus tard, il s'installa en chambre chez les Read et a été employé comme imprimeur. Au printemps de 1724, il a apprécié la compagnie de d'autres jeunes hommes ayant un goût pour la lecture et il a également été invité à s'installer en affaire par le gouverneur de la Pennsylvanie, Sir William Keith. À la suggestion de Keith, Franklin retourna à Boston pour essayer de réunir le capital nécessaire. Son père trouvait qu'il était trop jeune pour une telle entreprise, ainsi Keith lui offrit de payer la note et arrangea un voyage en Angleterre pour Benjamin, de sorte qu'il puisse choisir, à Londres, le type de papeterie et de libraire. Benjamin échangea " quelques promesses " avec Deborah Read et, avec un jeune ami, James Ralph, comme compagnon, rencontré au London Hope en novembre, comptait trouver les lettres de crédit et d'introduction que Keith avait promis. Benjamin réalisa, une fois sur le bateau de retour, que le gouverneur n'avait pas tenu sa promesse. Un ami passager, un marchant Quaker du nom de Thomas Denham, lui dit que Keith était peu fiable ; par la suite Franklin a écrit d'une façon charitable : " il voulait faire plaisir à tout le monde ; et ayant peu à donner, il a donné des espérances ".

À Londres, Benjamin trouva rapidement un emploi dans son métier et pouvait être ainsi capable de prêter l'argent à Ralph, qui essayait de s'établir en tant qu'auteur. Les deux jeunes hommes appréciaient le théâtre et les autres divertissements de la ville; en peu de temps Ralph trouva une modiste comme maîtresse. Lorsque Ralph était dans le pays, enseignant à l'école, la modiste emprunta occasionnellement de l'argent à Benjamin et " une affection grandissante se manifestait en sa compagnie ", se rappela-t-il, " et n'étant, à ce moment, sous aucune restriction religieuse, et présumant de mon importance envers elle, j'ai tenté des familiarités (une autre erreur) dont elle rejeta d'un ressentiment approprié, et elle le mit au courant de mon comportement ".

Encore une autre " erreur " a été celle d'une Dissertation sur la Liberté et la Nécessité, le Plaisir et la Douleur (1725), une brochure athée dont il a été inspiré à la suite d'un tract sur la moral de William Wollaston. Franklin argumenta que puisque l'homme n'a pas une réelle liberté de choix il n'est pas moralement responsable de ses actions.

À partir de 1726 la vie privée de Benjamin commença à se compliquer. Deborah Read s'était marié, mais son mari l'avait abandonnée et avait disparu. Une aventure entremetteuse échoua parce que Benjamin voulait un règlement pour payer sa dette en affaire. Benjamin a eu un enfant, William, en 1730-31 d'une femme qui n'a pas été identifié. Benjamin devait savoir que l'enfant était attendu lorsque, son affection pour Deborah s'est mit à revivre. Il l'a " prit pour épouse " le 1er septembre 1730. Leur mariage de loi commune se termina à la mort de Deborah en 1774. Ils ont eu un fils, qui est mort à l'âge de quatre ans, et une fille, Sarah, qui leur a survécu à tous les deux. William a été emmené à la maison familiale.

Le premier coup, de Benjamin et de son associé, a été de sécuriser l'impression du papier monnaie de la Pennsylvanie. Benjamin a aidé à maintenir cette affaire en écrivant une Modeste Enquête sur la Nature et la Nécessité du Papier Monnaie (1729), et plus tard il devint également imprimeur public du New Jersey, du Delaware, et du Maryland. D'autres aventures de fabrication d'argent inclus la Gazette de Pennsylvanie, édité par Franklin en 1729 et généralement reconnu comme parmi les meilleurs journaux coloniaux, et les almanachs du Pauvre Richard, imprimés annuellement de 1732 à 1757. Quelques échecs, naturellement, se sont produits : un journal de langue allemande qui a duré moins d'une année et un magazine mensuel qui a expiré après six parutions en 1741. Les affaires de Benjamin étaient néanmoins généralement prospères; il a fait assez d'argent pour investir le capital dans l'immobilier et dans les partenariats ou dans des accords avec des imprimeurs des deux Carolines, de New York et des Indes de l'Ouest. En 1748 il est devenu un associé silencieux dans la société d'impression de Franklin et Hall, réalisant dans les 18 années suivantes un bénéfice moyen de presque 500 livres annuellement.

Le premier de ses projets, pour l'amélioration sociale par un effort collectif, a été le Junto, ou le club du Tablier de cuir organisé en 1727 pour débattre des questions de morale, de politique, de philosophie naturelle et pour échanger des connaissances dans les affaires. Les besoins, des membres du Junto, pour un accès plus facile aux livres a conduit, en 1731, à l'organisation de la Compagnie de la Bibliothèque de Philadelphie . Avec le Junto, Benjamin a proposé une surveillance de la ville ou une force de police. Un document lu à ce groupe a eu pour conséquence l'organisation d'une compagnie de volontaires pour le feu (aujourd'hui des pompiers, ndt). En 1749, il a édité Les Propositions Relatives à l'Éducation des jeunes en Pennsilvanie ; en 1751, l'Académie de Philadelphie, d'où prospéra l'Université de Pennsylvanie, a été fondé. Le succès de Benjamin, en tant qu'organisateur, était si grand, que quiconque avec une bonne cause en tête se tournait vers lui pour de l'aide.

Franklin a également été impliqué en politique. Il a été commis de la législature de Pennsylvanie de 1736 à 1751 et maître poste de Philadelphie de 1737 jusqu'à 1753. Avant 1748, bien que, son service politique le plus important a été d'organiser une milice de la défense de la colonie contre l'invasion possible des Français et des Espagnols, ses services privés se faisaient sur la rivière Delaware. Sa compétence faisant appel à l'intérêt des diverses factions dans le Commonwealth qui est démontrée dans Plain Truth; ou Serious Considerations on the Present State of the City of Philadelphia and Province of Pennsylvania (1747).

Dans les années 1740, l'électricité a été un sujet de roman et un sujet à la mode. L'électricité a été introduit aux gens de Philadelphie par une machine électrique envoyée à la Compagnie de la Bibliothèque par des correspondants anglais de Franklin. À l'hiver de 1746-47, Benjamin et trois de ses amis ont commencé à étudier les phénomènes électriques. La température de Philadelphie les favorisait, ainsi que la disponibilité de fabriquants d'instrument. Des expériences ingénieuses et des machines ont été conçues et décrites dans des lettres personnelles vers l'Angleterre, qui ont été transmises par relais à la Société Royale de Londres ou au Gentleman's Magazine . Ces articles ont été recueillis en 1751 en tant qu'expériences et observations sur l'électricité et ont été traduits en français (1752), en allemand (1758), et en italien (1774).

La renommée de Franklin s'est largement répandu. L'expérience qu'il suggéra, pour prouver l'identité de la foudre et de l'électricité, a été faite la première fois, en France, avant qu'il soit censé avoir essayé la plus simple, mais dangereuse, expérience de piloter un cerf-volant durant un orage. Lui et ses associés ont conclu que " le feu électrique " (l'éclair) était " un élément diffusé par, et attiré par d'autre matière, en particulier, l'eau et les métaux ". Lorsqu'un corps avec une surcharge de quantité approchait un corps de moindre quantité, une décharge égalisait le " feu électrique " entre les deux. Cette théorie " d'un fluide " compta beaucoup plus, en tant que phénomène observable, que n'importe quelle hypothèse précédente, et sa suggestion pour que des bâtiments soient protégés contre la foudre en érigeant des tiges de fer aiguës s'avéra pratique et dramatique. Benjamin n'a peut être pas été aussi original que certains admirateurs l'ont pensé, et ses collaborateurs n'ont peut être pas reçu leur plein crédit de leur action, mais il inventa plusieurs termes qui sont encore discuté dans le domaine de l'électricité (positif, négatif, batterie, conducteur, et ainsi de suite) et il décrivit les expériences avec lucidité.

En 1753, Benjamin devint adjoint maître poste général, responsable du courrier dans toutes les colonies nordiques. Ensuite il commença à penser en termes intercoloniaux. Son " plan de l'Union ", adopté par le Congrès de l'Albany en 1754, aurait établi un conseil général, avec de représentants des multiples colonies, pour organiser la défense commune contre l'empiétement des Français et pour superviser les relations indiennes avec de nouveaux règlements. La raison a été du côté de Franklin, mais ni les législatures coloniales ni les conseillers du roi n'étaient prêts pour une telle union, et ce conflit a été considéré par certaines autorités comme la clé dans toute sa carrière politique.

Le besoin de fonds pour défendre la frontière a mené la législature de la Pennsylvanie à chercher à taxer les terres de la famille Penn, les propriétaires sous la charte de la colonie. Leur consentement ou un changement dans la forme de gouvernement a été exigé. Au printemps 1757, Benjamin a été choisi pour représenter la législature dans cette affaire, qui l'occupa à Londres pendant la plupart de son temps jusqu'au mois d'août 1762. Il négocia un compromis, sous lequel les Penns était d'accord avec l'imposition des terres, pour l'amélioration, mais pas celles qui ne sont pas arpentées. Durant sa première mission il s'est fait des amis en Angleterre et a écrit l'Intérêt de la Grande-Bretagne considéré avec Estime envers ses Colonies et aux Acquisitions du Canada et de la Guadeloupe (1760). Il a été nommé pour pousser l'annexion du Canada lorsque la guerre était terminée. Il y avait plusieurs Anglais qui ont préféré quitter le Canada pour la France, pour vérifier la force de croissante des 13 colonies. Une simple vérification, écrira Franklin, serait, pour le Parlement, de passer une loi exigeant que les sages-femmes empêchent la naissance du troisième ou du quatrième enfant.

Le Traité de Paris (1763), mettant fin à sept année de guerre, donna le Canada à la Grande-Bretagne. À ce moment Benjamin était de retour à Philadelphie, où, en conflit avec les propriétaires, la législature décida que la Pennsylvanie doit devenir une colonie de la couronne, et vers la fin de 1764, Benjamin était de retour à Londres pour négocier en vain une nouvelle charte.

Les tribulations en Pennsylvanie ont été inondées par la pléthore de sentiments entourant la prétendue crise du Stamp Act. Benjamin s'est opposé au Stamp Act, affirmant que l'imposition doit être la prérogative des législatures représentatives, mais lorsque le Stamp Act a passé, Benjamin a fait l'erreur de sous estimer les émotions américaines ; il commanda des timbres pour la compagnie Franklin & Hall et nomma un ami pour le poste d'officier de timbre à Philadelphie. Ses amis ont été outragés. Deborah craignait que sa maison soit assaillie. Elle appela des parents mâles pour une défense armée. À Londres, Benjamin reconnu son erreur. Rapidement il fit volte-face et se jeta dans la campagne pour l'annulation du statut. Il regagna son prestige par une apparence dramatique devant la Chambre des Communes, où il a répondu à 174 questions d'une assistance partiellement amicale et partiellement hostile. Le rapport de sténographie rapporte l'échange qui montre Benjamin se prononçant souvent à la droite des colonies pour lever les taxes internes par leur propre législation.

Bien qu'il ait échoué pour obtenir la nouvelle charte, Franklin a été gardé en fonction à Londres comme agent pour la Pennsylvanie, et trois autres colonies se sont alliés à lui pour représenter leurs intérêts - la Georgie (1768), le New Jersey (1769), et le Massachusetts (1770). Avec ce support et celui de la British Whigs, l'ensemble des industriels et des dissidents en faveur d'une réforme parlementaire et philanthropique, il a survécu à la succession des crises se terminant par un conflit armé à Lexington et à Concord. Il a été graduellement forcé de reconnaître qu'il ne pourrait y avoir aucune réconciliation et que son rêve d'un empire britannique de nations autonomes ne verrait jamais le jour. Il a fait de son mieux pour présenter le cas américain aux Britanniques. Entre 1765 et 1775 il publia 126 articles de journaux sur les polémiques courantes. En mars 1775, conscient du fait qu'il pourrait y avoir une guerre, il quitta Londres pour Philadelphie. Le jour après son arrivée, il est devenu délégué du deuxième Congrès Continental, auquel il a servi sur des comités pour l'organisation d'un système postal et pour la rédaction de la Déclaration de l'Indépendance et sur une commission qui a essayé en vain d'introduire le Canada dans la guerre en tant qu'allié.

En septembre 1776, le Congrès a accepté d'envoyer une commission en France pour chercher une assistance économique et militaire. En tant qu'un des trois commissaires, Benjamin arriva à Paris juste avant Noël et a été immédiatement engagé dans des négociations secrètes avec Charles Gravier, comte de Vergennes , ministre des affaires étrangères. Des espions et des informateurs ont infesté sa maison, mais Benjamin était devenu très vite le héros de la France, personnifiant la noblesse peu sophistiquée du Nouveau Monde, conduisant son peuple à se libérer du passé féodal. Son portrait était partout, sur des objets d'art, autant sur des pots de chambre que sur des tabatières. Sa société chercha des diplomates, des scientifiques, des francs-maçons, et des dames à la mode.

À 79 ans, avec une pierre à la vessie qui l'a fait souffrir durant un voyage, Benjamin a été amené au port Le Havre sur une civière. De retour à Philadelphie il a vécu tranquille, mais il continua à prendre part dans certaine affaire publique. Le plus important service qu'il a accompli à ce moment a été celui d'avoir été membre de la Convention Constitutionnelle de 1787. Il a été alité durant la dernière année de sa vie, il échappa à de sévère douleur en utilisant de l'opium. Il est mort le 17 avril 1790 à l'âge de 84 ans.

Tombe

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Citations

Les meilleures citations de Benjamin Franklin.

Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends.
En ce monde rien n'est certain, à part la mort et les impôts.
Trois personnes peuvent garder un secret - si deux d'entre elles sont mortes.

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Américaine Drapeau américain
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Benjamin Franklin
  • Nom complet : --
  • Prénom : Benjamin
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Franklin
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Benjamin Francklin, benjamin fraclain, BENJEMIN FRANKLIN, franklin bajamin, benjamen franklin, binjamin franklin

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 84 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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Donias Benjamin Franklin by Joseph Duplessis 1778
Répondre - il y a 5 ans
Donias tombe de Benjamin Franklin
Répondre - il y a 5 ans
Donias tombe de Benjamin Franklin plaque
Répondre - il y a 5 ans
Donias Son testament

Il meurt à Philadelphie le 17 avril 1790, à l'âge de 84 ans. À l'annonce de sa mort, l'assemblée constituante française de 1789 décrète trois jours de deuil national.

Dans son premier testament Benjamin Franklin voulut donner une partie de sa fortune (2 000 livres sterling) pour permettre la réalisation de travaux afin de rendre navigable le Schuylkill. Cependant, il révise son testament, car cette somme semblait être bien insuffisante pour réaliser les travaux. Finalement, il cède une partie de sa fortune aux villes de Boston et Philadelphie (1 000 livres sterling chacune). Cet argent devait être prêté à des artisans pour permettre leur installation. Il comptait sur les intérêts (5 %) pour faire augmenter la somme initiale. D’après ses calculs, au bout de cent ans, la somme devait s’élever à 131 000 livres sterling. Il souhaite alors dans son testament qu’une partie de cette somme (100 000 livres sterling) soit utilisée pour construire des hôpitaux, infrastructures, fortifications, écoles… L’autre partie devant à nouveau être prêtée. Au bout de 200 ans la somme devant s’élever à 4 061 000 £ sera à la disposition du gouvernement de l’État.

Pour Philadelphie, il prévoit le même mécanisme, au bout de cent ans la somme devait servir à construire un aqueduc pour amener de l’eau potable en ville et à rendre comme il le souhaitait initialement le Skuylkil navigable. Par ailleurs, il lègue à George Washington son bâton de pommier sauvage avec lequel il avait pour habitude de se promener. Ses livres sont quant à eux cédés à différentes institutions et à ses petits-fils.

Ses créances sont données à l’hôpital de Pennsylvanie, en espérant que les personnes qui lui devaient de l’argent auront l’impression de faire une bonne action en payant leur dette à l’hôpital.
Tombe de Benjamin Franklin à Philadelphie, l’épitaphe porte trois citations de George Washington, Victor Riquetti de Mirabeau et Anne Robert Jacques Turgot.

Il a souhaité avoir une cérémonie d’enterrement avec le « moins de cérémonie et de dépense possible ».
Répondre - il y a 5 ans
Donias Billet de 100 $.
Répondre - il y a 5 ans
Donias Statue de Benjamin Franklin au Benjamin Franklin National Memorial de Philadelphie.
Répondre - il y a 5 ans
Donias Benjamin Franklin écrivit son épitaphe (Mock Epitaph) à l'âge de vingt-deux ans

Le corps de B. Franklin, imprimeur,
telle la couverture d'un vieux livre
dépouillée de ses feuilles,
de son titre et de sa dorure
Repose ici, pâture pour les vers.
Mais l'ouvrage ne sera pas perdu
et reparaîtra, c'est la foi de Franklin,
dans une nouvelle édition, plus élégante,
revue et corrigée
par l'Auteur.
Répondre - il y a 5 ans
Donias Lutte contre l'esclavage

Durant ses dernières années, Benjamin Franklin est un fervent partisan de l'abolition de l'esclavage. En 1751, il publie Observations relatives à l'accroissement de l'humanité dans lequel il avance que l'esclavage affaiblit le pays qui le pratique21. Il affranchit ses esclaves dès 1772.

De toutes ces activités, Benjamin Franklin affirmera qu'il préfère que l'on dise de lui « il a eu une vie utile » plutôt que « il est mort très riche ».

Quelque temps après 1785, Benjamin Franklin est devenu le président de la Pennsylvania Abolition Society. La société lui a demandé d'amener la question d'esclavage à la Convention Constitutionnelle de 1787. Benjamin Franklin l'a fait en 1790
Répondre - il y a 5 ans

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Liens externes

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