Jean-François De Lapérouse

 
Jean-François De Lapérouse
1741 - 1788
 

Aventurier, Militaire, Navigateur (Aventure, Guerre, Histoire).

Nationalité française Francais, né le 23 août 1741 et mort en 1788 (environ)

46 ans Mort à l'âge de 46 ans (de quoi ?).

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Biographie

Jean François de Galaup, comte de La Pérouse (23 août 1741 - disparu en 1788), né au château du Gô, dans la paroisse de Saint-Julien à deux lieues d'Albi, est un officier de marine et un explorateur français.

Né dans une famille noble originaire d'Albi, La Pérouse s'engage dans la Marine royale au début de la Guerre de Sept Ans. Il connaît son baptême du feu pendant ce conflit en Amérique du Nord et aux Antilles, sous les ordres du chevalier de Ternay, son mentor. Il est au siège de Louisbourg en 1758 et à la bataille des Cardinaux l'année suivante. Blessé au cours de ce combat, il est fait prisonnier en Angleterre avant d'être échangé. À la signature de la paix de Paris, il est affecté à différentes missions d'escortes, notamment à destination de l'Isle de France où il passe cinq ans et rencontre sa future femme.

Rentré en France avant le début de la guerre d'indépendance des États-Unis, il est promu lieutenant de vaisseau et décoré de la croix de Saint-Louis. Lors de la reprise des hostilités, il participe aux combats contre les Britanniques aux Antilles - il est à la prise de la Grenade et aux combats de Saint-Christophe et des Saintes - et il est chargé de conduire une expédition contre les établissements britanniques en baie d'Hudson, où il démontre sa valeur maritime et militaire en capturant deux forts britanniques.

Capitaine de vaisseau à la fin de la guerre, il est choisi par le marquis de Castries, ministre de la Marine et par Louis XVI pour diriger une expédition autour du monde visant à compléter les découvertes de James Cook dans l'océan Pacifique. Cette expédition maritime autour du monde, qu'il commandait, disparaît corps et biens à Vanikoro (îles Santa Cruz) en 1788, trois ans après son départ de Brest.

Une expédition de secours commandée par le vice-amiral d'Entrecasteaux est envoyée dans les années qui suivent le naufrage (1791-1794), sans succès. Le mystère de la disparition de La Pérouse n'est percé qu'en 1826 par Peter Dillon et par Jules-Sébastien-César Dumont d'Urville en 1828, qui retrouvèrent l'épave de L'Astrolabe. Enfin, Reece Discombe identifie celle de La Boussole en 1964.

Jean-François de Galaup naît le 22 ou le 23 août 1741 en Albigeois au manoir du Gô, à deux lieues d'Albi, et il est baptisé le 3 octobre 1741 dans la paroisse de Saint-Julien.

Il est issu d'une famille albigeoise dont la noblesse remonte à 1558. La famille de Galaup s'enrichie et est anoblie à la période faste de la culture et de la commercialisation du pastel. Les de Galaup, à l'origine seigneurs de Brens et d'Orban, non loin d'Albi, vont exercer des charges juridiques et administratives et occuper souvent les fonctions de consuls de la ville d'Albi. La famille possédait un manoir sur les terres du Gô, dans un méandre du Tarn en amont d'Albi, acquis en 1613 par Claude de Galaup, ainsi qu'une terre sur le territoire de l'actuelle commune de Puygouzon : la ferme de Lapeyrouse (« La pierreuse »).

Son père, Victor-Joseph de Galaup (1709-1784) est député aux États particuliers d'Albigeois. Il est le fils de Jean-Antoine de Galaup (né en 1677) et de Claire de Metgé. La famille de Galaup est alliée au Taffanel de la Jonquière.

Sa mère est Marguerite de Rességuier, née en 1717 à Sauveterre-de-Rouergue et morte à Albi, le 14 juin 1788, est la fille de Jean-Jacques Rességuier, seigneur du Pouget (1662-1725), ancien commandant du second bataillon de Condé, et de Françoise de Moly (1677-1764). La famille de Rességuier est alliée aux famille de Dalmas, Izarn, Guigard de Motarnal, Genton, Azémar, Flottes et Garrigues de Lagarde.

Le couple se marie le 4 octobre 1740, à Sauveterre-de-Rouergue. Jean-François est l'aîné de onze enfants. L'un de ses frères, Jacques Antoine Victor de Galaup (1749 - Quiberon, 16 juillet 1795), émigré, participe à l'expédition de Quiberon où il trouve la mort lors des premiers combats. Ne survivront à l'âge adulte que le fils aîné Jean-François, sa soeur Jacquette née un an après lui, et une soeur, Victoire, de 18 ans plus jeune.

La Pérouse navigua sur de nombreux vaisseaux en tant qu'enseigne avant d'être attaché, en 1757, au service du chevalier Charles-Henri-Louis d'Arsac de Ternay sous les ordres duquel il participa, à bord du Zéphir, à deux campagnes au Canada au cours de la guerre de Sept Ans. Le chevalier de Ternay éprouva rapidement de l'amitié pour cet enseigne et le prit sous sa protection. Aussi, lorsqu'il fut nommé gouverneur de l'Ile de France (actuellement l'Ile Maurice) en 1772, La Pérouse, alors âgé de trente et un ans, l'y accompagna. C'est ainsi qu'il séjourna cinq années à l'Ile Maurice (ancienne Ile de France) de 1772 à 1777. Le futur illustre navigateur avait acheté, avec son ami le lieutenant de vaisseau Charles Mengaud de La Hague, une propriété de 156 arpents à Eau Coulée, donnant sur la Rivière du Mesnil, non loin de l'actuelle ville de Curepipe sur les hauts plateaux de l'île. C'est au cours de ce long séjour à l'île Maurice qu'il fit la connaissance de la famille Broudou qui, elle, habitait Rivière-la-Chaux près de l'actuelle ville de Mahébourg dans le sud. La Pérouse rencontra et fréquenta assidûment Éléonore Broudou (1755-1807), une des filles d'Abraham Broudou et de Françoise Cailliard et en tomba éperdument amoureux. Mais sa famille envisageait pour lui un autre mariage avec mademoiselle de Vésian, issue de la vieille noblesse d'Albi. Malgré ses trente-six ans, La Pérouse se plia aux exigences de son père et c'est la mort dans l'âme qu'il quitta l'Ile de France en 1777. Éléonore rejoignit sa mère à Nantes deux semaines plus tard et, au désespoir, s'attendait à prendre le voile tandis que La Pérouse s'engageait dans la guerre d'Indépendance américaine aux côtés du vice-amiral Charles Henri d'Estaing et rejoignait son escadre aux Antilles. Mais l'amour triompha. Les deux amoureux finirent par se marier à Paris, en 1783, en l'église Sainte-Marguerite. La Pérouse était alors âgé de quarante-deux ans et Éléonore en avait vingt-huit. Le couple ignorait alors que leur bonheur ne durerait que deux ans. On raconte que le ministre de la Marine, Charles Eugène Gabriel de La Croix de Castries, avait finalement donné son accord à cette union à la condition que La Pérouse accepte de prendre la direction d'une expédition scientifique d'envergure autour du monde.

Jean-François de La Pérouse épouse donc en 1783 Louise Éléonore Broudou (1755-1807), soeur de Frédéric Broudou qui prend part également à l'expédition funeste. Le couple n'a pas de postérité.

La Pérouse passe sa jeunesse entre Albi et le Gô, avec probablement quelques séjours chez sa grand-mère à Sauveterre-de-Rouergue. Il parle occitan et français. Ses études secondaires au collège des Jésuites d'Albi, jusqu'à l'âge de 15 ans, sont dispensées en latin. Il y fait la rencontre d'autres nobles de la ville, futurs officiers de la Marine, tels que le marquis de Rochegude, né la même année que lui, et Charles Jean-Baptiste Mengaud de la Hage (1741-1779), dont les parents, originaires du Gers, habitaient Toulouse. Mengaud de la Hage deviendra l'un des meilleurs amis de La Pérouse. Il meurt noyé en mars 1779, alors que son navire La Charmante heurte un écueil et coule au large de la Chaussée de Sein.

Il entre dans la compagnie des Gardes de la Marine de Brest à quinze ans, le 19 novembre 1756, ayant ajouté au sien le nom de La Pérouse, celui d'une terre reçue de son père. Il est encouragé par l'un de ses parents, le marquis Clément de Taffanel de La Jonquière. Pendant ses études à Brest, il est engagé dès l'âge de 17 ans dans les conflits maritimes de la guerre de Sept Ans avec la Grande-Bretagne au large de l'Amérique du Nord, notamment à Terre-Neuve et sur le Saint-Laurent avec son cousin Clément puis avec le chevalier de Ternay, qui deviendra son véritable tuteur, ainsi qu'aux Antilles.

Jean-François de Galaup embarque en mars 1757 sur Le Célèbre dans l'escadre commandée par le comte Dubois de La Motte et envoyée au secours de Louisbourg, sur l'île Royale. Il échappe à l'effroyable épidémie qui ravage les vaisseaux et la ville de Brest où il revient le 12 novembre 1757. Le 22 février 1758, il embarque sur la frégate La Zéphyr dans l'escadre envoyée à Louisbourg aux ordres du comte Du Chaffault de Besné. Le 15 août, La Pérouse passe sur Le Cerf puis, le 16 mai 1759, sur le vaisseau Le Formidable dans l'escadre que le comte de Conflans prépare péniblement à Brest pour protéger un éventuel débarquement en Angleterre. Le 20 novembre, cette escadre de vingt-et-un vaisseaux se heurte, à l'entrée de la baie de Quiberon, aux vingt-trois bâtiments britanniques commandés par l'amiral Hawke. Le Formidable, dans l'arrière-garde, doit supporter tout le poids de l'attaque ennemie et offre une belle résistance ; La Pérouse reçoit deux blessures et, fait prisonnier, il est presque aussitôt échangé.

En mai 1762, La Pérouse embarque sur Le Robuste, dans la division commandée par le chevalier de Ternay, qui alla détruire les pêcheries britanniques de Terre-Neuve. En septembre 1763, Bidé de Chézac prend avec lui quelques Gardes de la Marine, dont La Pérouse, pour conduire de Lorient à Brest le vaisseau neuf Les Six Corps.

La Pérouse est promu enseigne de vaisseau le 1er octobre 1764 et, de 1765 à 1769, il est affecté au transport maritime en France. En 1771, il fait campagne à Saint-Domingue (actuelle île d'Haïti) à bord de la frégate La Belle-Poule.

Au début de l'année suivante, il part pour l'Isle de France en compagnie de son protecteur Arsac de Ternay qui venait d'en être nommé commandant général. De là, il entreprend, en avril 1773, une longue expédition dans les mers de l'Inde. Il retourne à l'Isle de France en mars 1774 et regagne la France en mai 1777 après cinq ans d'éloignement. Promu lieutenant de vaisseau le 4 avril 1777, il est créé chevalier de Saint-Louis le mois suivant pour avoir sauvé Mahé des Indiens. Il est initié à la franc-maçonnerie dans la loge de Brest « l'Heureuse rencontre ».

Chargé de deux voyages aux Indes orientales comme commandant de La Seine, il rencontre à l'Isle de France sa future épouse, Éléonore Broudou, fille d'un armateur nantais, devenu administrateur de la marine.

Les quatorze ans de paix de 1764 à 1778 lui permettent de consolider son expérience de la navigation en Atlantique et dans l'océan Indien, en qualité d'abord de simple officier, puis de commandant de plusieurs bâtiments du roi.

Lors de la reprise des hostilités en 1778, La Pérouse reçoit le commandement de la frégate L'Amazone qui, incorporée dans la division de La Motte-Piquet, part le 1er mai 1779 pour les Indes Orientales, escortant un convoi vers la Martinique. Ralliant le pavillon du vice-amiral, le comte d'Estaing, La Pérouse participe à la prise de la Grenade et au violent combat contre l'escadre de John Byron les 4, 5 et 6 juillet. Par la suite, à bord de L'Amazone, il est placé en surveillance devant Charleston en Caroline du Sud.

Promu capitaine de vaisseau le 4 avril 1780, La Pérouse reçoit le 18 décembre suivant le commandement de la frégate L'Astrée. Dès cette époque, une expédition est prévue contre les établissements britanniques de la baie d'Hudson mais divers contretemps provoquent son ajournement. Patrouillant dans les parages de l'île du Cap-Breton, sur les côtes de la Nouvelle-Angleterre, avec L'Astrée et L'Hermione, commandée par Latouche-Tréville. La Pérouse livre, le 21 juillet 1781, un brillant combat à un convoi britannique composé d'une frégate et de cinq petits bâtiments. Il s'empare de la frégate HMS Ariel et d'un bâtiment, les autres parvenant à fuir.

Il escorte ensuite un convoi vers les Antilles (décembre 1781), participa à l'attaque de Saint-Christophe (février 1782), aux combats des 9 et 12 avril au large des îles des Saintes contre l'escadre de l'amiral Rodney.

La flotte française est vaincue, mais La Pérouse parvient sans encombre au Cap-Français (Cap-Haïtien, Haïti) où, le 14 mai, il prend le commandement du vaisseau Le Sceptre et appareille, le 31 du même mois, avec les frégates L'Astrée et L'Engageante pour la baie d'Hudson. Il emmène avec lui 250 soldats, 40 artilleurs, quatre pièces de canon et deux mortiers. Malgré une navigation extrêmement difficile, il parvint, à la mi-juillet, dans le détroit d'Hudson et, le 8 août, en vue de l'entrée de la rivière Churchill (Manitoba). Le lendemain, il débarque ses troupes et somme l'agent principal Samuel Hearne de se rendre, ce que ce dernier fait aussitôt. Le Fort Prince of Wales (en) est détruit partiellement, les cartes et plans de la Marine britannique, les stocks de vivres et de fourrures sont saisis. Le 24 août, il attaque avec succès York Factory (Manitoba). Pressé par le mauvais temps, La Pérouse repart aussitôt après avoir exécuté fidèlement sa mission, sans perdre un homme et tout en traitant ses prisonniers avec la plus grande humanité. Il permet notamment à Samuel Hearne de retourner en Angleterre en échange de la libération de prisonniers français et de la publication de la cartographie britannique qu'il lui a redonnée. Cette expédition lui valut une pension de 800 livres.

Cette expédition resta assez obscure à l'époque, mais elle développa les talents de La Pérouse, et le fait connaître comme un officier capable de diriger une campagne de découvertes. Il venait de parcourir des parages peu connus, et il avait eu à surmonter, dans un espace très restreint, la plupart des dangers que la navigation peut offrir dans toute l'étendue du globe. Cette renommée lui vaudrait le commandement de l'expédition de 1786 autour du monde.

Nommé capitaine de vaisseau à 39 ans pour sa brillante conduite pendant la guerre, il épouse Éléonore Broudou en 1783, malgré quelques objections paternelles, et l'installe à Albi dans une maison achetée rue de l'École Mage. À cette occasion, La Pérouse est forcé de demander à son père son émancipation par manumission, comme au Moyen Âge, car le droit d'Ancien Régime en fait toujours un mineur incapable de se marier et d'acheter des biens immobiliers, malgré son âge mûr et sa situation.

Après le traité de Paris, il est choisi par Charles Pierre Claret de Fleurieu alors directeur des ports et arsenaux, chargé de l'organisation de l'expédition, et confirmé par le marquis de Castries, ministre de la Marine et par Louis XVI, en raison de sa grande expérience et de ses qualités humaines, pour diriger une expédition autour du monde visant à compléter les découvertes de James Cook dans l'océan Pacifique. En juillet 1785, peu avant son départ, La Pérouse est promu brigadier des armées navales.

La Boussole et L'Astrolabe, les deux frégates de l'expédition préparée principalement par Charles Pierre Claret de Fleurieu avec le concours de l'Académie des sciences, partent de Brest le 1er août 1785, franchissent facilement le cap Horn et arrivent à la baie de Concepción (Chili) le 23 février 1786. Le 9 avril, La Pérouse fait escale à l'île de Pâques, et, en mai, aux îles Sandwich (Hawaii) où il découvre l'île Maui négligée par James Cook. Le 23 juin, les frégates arrivent en vue du mont Saint-Élie (sur la frontière de l'Alaska et du Canada). La Pérouse descend ensuite le long de la côte ouest de l'Amérique en multipliant les reconnaissances hydrographiques. Le 14 septembre, il arrive à Monterey (Californie) où Esteban José Martínez lui vient en aide pour diriger les deux frégates dans le port. Traversant le Pacifique d'est en ouest, il entre à Macao, Chine, le 3 janvier 1787, puis, le 26 février, dans la baie de Manille avant de remonter vers le nord. Premier navigateur européen à pénétrer dans les parages situés entre la Chine et le Japon, La Pérouse découvre le détroit entre Yeso (ancien nom de l'île d'Hokkaidō, au Japon) et Sakhaline (Russie) qui porte son nom, avant de faire escale, le 7 septembre, dans la baie d'Avacha (Tar'ya) sur la côte de la péninsule Kamtchatka. C'est là qu'il reçoit une commission de chef d'escadre, arrivée de France. L'interprète Jean-Baptiste-Barthélemy de Lesseps débarque, avec les rapports et les cartes établis par son chef, pour regagner la France par la Sibérie.

La Pérouse se dirige alors vers le Pacifique central, débarque le 9 décembre à Maouna (Tutuila, îles Samoa), continue sa route vers les îles des Amis (îles Tonga), puis arrive le 26 janvier 1788 à Botany Bay, en Australie. Il en repart vers le 15 mars en direction du nord-est. Prises dans un cyclone, les frégates se brisent aux alentours de l'archipel des Îles Santa Cruz au milieu de juin 1788.

Une expédition part à sa recherche en septembre 1791. Dirigée par l'amiral d'Entrecasteaux, elle part de Brest le 28 septembre avec deux frégates La Recherche et L'Espérance. Elle atteint l'île des Pins le 16 juin 1792 ; puis le 19 mai 1793, l'expédition découvrit une île nouvelle que d'Entrecasteaux baptisa l'île de La Recherche. Or c'est sur cette île (également appelée Vanikoro) que les survivants de l'expédition La Pérouse (et peut-être La Pérouse lui-même) avaient trouvé refuge. L'expédition poursuit sa route vers Surabaya sans jamais l'atteindre.

Plusieurs rumeurs couraient à l'époque. Une des déclarations les plus retentissantes est celle du Britannique George Bowen, capitaine du navire Albemarle, devant les autorités de Morlaix, en 1793. Cet officier prétend avoir vu, dans la nuit du 30 décembre 1791, sur la côte de la Nouvelle-Géorgie, des débris de vaisseau, des filets de main-d'oeuvre européenne. Les contradictions de cette déclaration ne permettent pas d'en faire la base d'une tentative sérieuse. Toutefois, malgré le peu de succès des recherches, on avait toujours gardé l'espoir de retrouver une partie de son équipage, ou au moins un indice de leur destin. Divers bruits de cette nature se succédèrent presque d'année en année, mais ils parurent trop peu fondés pour mériter de fixer l'attention.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Française Drapeau francais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Jean-François De Lapérouse
  • Nom complet : --
  • Prénom : Jean-François
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : De Lapérouse
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Jean François de Lapérouse, Jean François Galaup de La Pérouse, Jean François de Galaup, comte de Lapérouse, comte de la Pérouse

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Date de mort : 1788
  • Lieu de mort : --
  • Âge de mort : 46 ans (environ)
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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