Ian Brady

 
Ian Brady
1938 - 2017
 

Tueur en série surnommé le « tueur de la Lande », ayant passé plus de 50 ans derrière les barreaux après avoir violé, torturé et tué 5 enfants et adolescents âgés de 10 à 17 ans dans les années 1960.

Nationalité anglaise Anglais, né le 2 janvier 1938 et mort le 15 mai 2017

79 ans Mort victime d'un cancer (maladie) à l'âge de 79 ans.

Enterré (où exactement ?).




Où se trouve la tombe
d'Ian Brady ?


Contribuez !

Biographie

Ian Brady est né le 2 janvier 1938 à Glasgow en Écosse sous le nom de Ian Duncan Stewart et mort le 15 mai 2017. Célèbre tueur en série surnommé le « tueur de la Lande », il a passé plus de 50 ans derrière les barreaux après avoir violé, torturé et tué 5 enfants et adolescents âgés de 10 à 17 ans dans les années 1960.

Sa mère, Maggie Stewart, une célibataire de 28 ans, est serveuse dans un salon de thé. Le père n'est pas connu avec certitude, bien que sa mère avance qu'il s'agissait d'un journaliste qui serait mort trois mois avant la naissance de Ian. Recevant peu d'aides, elle donne l'enfant quelques mois après sa naissance au couple Mary et John Sloan, qui ont déjà quatre enfants. Ian change alors de nom de famille, prenant celui de Sloan. Sa mère continue de le voir pendant son enfance ; Ian aurait, à l'époque, torturé des animaux, chose qu'il a toujours niée. À l'âge de neuf ans, en compagnie de sa famille, il visite le Loch Lomond et se serait découvert un goût pour les activités en plein air. Quelques mois plus tard, la famille emménage dans un logement à prix modique de Pollok, un complexe immobilier au sud-ouest de Glasgow. Ian est accepté à la Shawlands Academy, une école pour enfants doués. Pendant cette période, son comportement se dégrade, et il comparaît deux fois devant le tribunal pour enfants pour cambriolage. Il quitte l'école à 15 ans et trouve un emploi dans le salon de thé d'un chantier naval de Harland and Wolff à Govan, un quartier de Glasgow. Neuf mois plus tard, il devient coursier pour un boucher. Il a une petite amie, mais leur relation prend fin lorsqu'il la menace avec un couteau à cran d'arrêt après qu'elle est allée dans une discothèque avec un autre garçon. Il comparaît à nouveau devant le tribunal, pour répondre cette fois de neuf chefs d'accusation. Un peu avant ses 17 ans, il bénéficie d'une libération conditionnelle, à la condition de demeurer avec sa mère biologique. Celle-ci se trouve alors à Manchester et a épousé un marchand de fruits irlandais, Patrick Brady, qui lui trouve un emploi de commis aux fruits dans un marché public.

Un an après être arrivé à Manchester, Ian est surpris avec un plein sac de sceaux en plomb qu'il a volés et tenté de revendre en dehors du marché. Il est emprisonné pour trois mois à Strangeways, une prison de Manchester. Puisqu'il est âgé de moins de 18 ans, il est condamné à deux ans de maison de correction. Dans un premier temps, il est envoyé à Londres, puis à Hatfield dans le Yorkshire du Sud. Cependant, surpris en état d'ébriété après avoir consommé de l'alcool de sa fabrication, il est envoyé dans une maison de correction plus sévère à Kingston-upon-Hull. Relâché le 14 novembre 1957, Ian retourne à Manchester, où il occupe des emplois manuels, ce dont il a horreur. Décidé à améliorer son sort, il emprunte à une bibliothèque publique un ensemble de manuels sur la comptabilité et s'enferme seul des heures durant pour étudier, ce qui « étonne » ses parents adoptifs. En janvier 1959, il obtient un poste en tenue de livres chez Millwards Merchandising, un distributeur de produits chimiques dont le siège social est à Gorton. Ses collègues observent qu'il est calme et ponctuel, mais irritable. Il lit des livres, tels Teach Yourself German (« Apprenez l'allemand par vous-même ») et Mein Kampf, tout comme des ouvrages sur les atrocités nazies. Il conduit une motocyclette Triumph Tiger Cub, sur laquelle il visite les Pennines, une chaîne de montagnes.

En 1961, Myra Hindley devient dactylo chez Millwards Merchandising. Elle tombe rapidement amoureuse de Ian Brady, dont elle est au courant qu'il possède un casier judiciaire. Elle commence un journal intime et y fait état, dans divers passages, de sa fascination pour Brady, ce qui ne l'empêche pas de fréquenter d'autres hommes. Elle lui parle la première fois le 27 juillet 1961. Dans les mois qui suivent, elle ajoute des passages dans son journal, perdant lentement ses illusions jusqu'au 22 décembre quand il lui demande de l'accompagner au cinéma, où ils voient le film biblique Le Roi des rois. Par la suite, leurs rencontres se déroulent de la même façon : une sortie au cinéma, souvent un film classé X, puis à la maison de Hindley pour y boire du vin allemand. Brady lui donne des ouvrages à lire et le couple profite du repas de midi au travail pour lire à voix haute des récits des crimes nazis. Elle tend à imiter un idéal de perfection aryenne, teignant ses cheveux en blond et appliquant une épaisse couche de rouge à lèvres incarnat. Elle s'inquiète de certains traits de caractère de Brady : dans une lettre adressée à une amie d'enfance, elle décrit un incident où l'homme l'a droguée, tout comme son obsession pour lui. Quelques mois plus tard, elle demande à son amie de détruire la lettre. Dans un plaidoyer de 30 000 mots pour obtenir une libération conditionnelle, rédigé en 1978 et 1979 et remise au secrétaire d'État à l'Intérieur Merlyn Rees, Hindley écrira :

« En quelques mois, il me convainquit que Dieu n'existait pas du tout : il aurait pu me dire que la Terre était plate, que la Lune était faite de fromage vert et que le Soleil se levait à l'Ouest, je l'aurais cru ; tel était son pouvoir de persuasion. »

Hindley change encore plus son apparence, portant des chaussures à talons surélevés, des jupes courtes et des manteaux en cuir. Ils deviennent plus distants vis-à-vis de leurs collègues de travail respectifs. Ils vont régulièrement à la bibliothèque, empruntant des livres sur la philosophie, les crimes et la torture. Ils lisent aussi des ouvrages du marquis de Sade, ainsi que Crime et Châtiment de Fiodor Dostoïevski. Bien que n'ayant pas le permis de conduire — qu'elle n'obtiendra que fin de 1963 après trois tentatives — Hindley loue régulièrement une camionnette, qu'ils envisagent d'utiliser pour braquer des banques. Elle devient l'amie de George Clitheroe, président d'un club de tirs aux armes d'épaule. Elle pratique à plusieurs reprises et Clitheroe, même s'il est intrigué par son intérêt, lui obtient une arme de calibre .22 d'un armurier de Manchester. Elle tente aussi de devenir membre d'un club de tirs au pistolet, mais elle vise mal et s'emporte facilement. Clitheroe lui annonce donc qu'elle ne peut rejoindre le club, mais elle parvient à acheter deux revolvers, un Webley .45 et un Smith & Wesson .38, à d'autres membres du club. Le couple abandonne ses projets d'attaques de banques, mais s'intéresse à la photographie. Brady possède déjà un Brownie, qu'il utilise pour photographier la femme et son chien Puppet. Plus tard, il opte pour un appareil plus moderne et plus complexe. Il acquiert également des lampes et du matériel pour une chambre noire. Chacun prend des photos de l'autre dans des poses osées pour l'époque. Hindley montre ainsi une certaine émancipation, elle qui était plus timide et plus vertueuse auparavant.

« Ce qu'ils faisaient était impossible à concevoir pour la plupart des gens, dépassait l'entendement des personnes ordinaires du voisinage, plus intéressées par la façon de parvenir à payer leur facture de gaz ou par ce qui allait se passer lors du prochain épisode de Coronation Street ou de Doctor Who. Dans la Grande-Bretagne des années 1960, les gens n'enlevaient pas et ne tuaient pas des enfants pour s'amuser. C'était tout simplement au-delà de ce que pouvaient imaginer la plupart des gens, ce qui explique pourquoi ils sont parvenus à s'en tirer pendant aussi longtemps. » — Chris Cowley

Myra Hindley affirme que Ian Brady a commencé à parler de « commettre le meurtre parfait » en juillet 1963, et lui parle régulièrement de l'ouvrage Compulsion de Meyer Levin, publié sous forme de roman en 1956, et de son adaptation cinématographique en 1959. Il s'agit du compte rendu fictif et romanesque de l'affaire Leopold et Loeb, deux jeunes hommes de bonne famille qui veulent accomplir le meurtre parfait d'un garçon de 12 ans et qui n'encourent pas la peine de mort à cause de leur âge. En juin 1963, Ian rejoint Myra qui habite la maison de sa grand-mère et, le 12 juillet 1963, ils tuent leur première victime, Pauline Reade. La police tente de trouver une personne qui a vu Pauline avant sa disparition, sans succès. Elle a fréquenté la même école que la plus jeune soeur de Myra, Maureen, et a aussi eu une courte liaison avec David Smith, futur époux de Maureen. Interrogé, il est lavé de tout soupçon. John Kilbride est tué le 23 novembre 1963. Une importante opération de recherche est lancée : 700 dépositions sont enregistrées et 500 affiches qui annoncent la disparition de l'enfant sont imprimées. Huit jours plus tard, 2 000 bénévoles fouillent les décharges et les immeubles abandonnés.

Myra loue un véhicule une semaine après la disparition de John, puis une autre fois le 21 décembre 1963, apparemment dans le but de s'assurer que les tombes n'ont pas été découvertes. En février 1964, elle achète une Austin Traveller usagée, mais l'échange rapidement contre une camionnette. Le 16 juin 1964, Keith Bennett disparaît. Son beau-père, Jimmy Johnson, est soupçonné ; pendant les deux années suivantes, il est interrogé quatre fois. Des policiers explorent les planchers de la maison de Johnson. Lorsqu'ils remarquent que les maisons de la rue sont reliées, ils étendent leurs recherches à toute la rue.

Maureen Hindley épouse David Smith le 15 août 1964. Le mariage civil est organisé et complété rapidement. Aucun membre de la famille de Myra n'y participe : elle n'approuve pas et sa mère est trop embarrassée, car Maureen est enceinte de sept mois. Les nouveaux mariés emménagent dans la maison du père de David. Le jour suivant, Brady suggère que les quatre fassent un voyage d'un jour au lac Windermere. C'est la première fois que les deux hommes se rencontrent vraiment et Brady semble apprécier le comportement de Smith. Les deux parlent de la société, de la répartition de la richesse et de la possibilité de voler une banque. Le jeune David apprécie également la compagnie de l'homme plus âgé, qui a payé tout au long de la journée sa nourriture et son vin. C'est le premier voyage d'une longue série. Myra est en apparence jalouse de leur relation, mais en profite pour se rapprocher de sa soeur. En 1964, dans le cadre d'un programme d'après-guerre qui vise à éliminer les taudis de Manchester, Hindley, sa grand-mère et Brady sont relogés au 16, Wardle Brook Avenue à Hattersley. Les deux deviennent amis de Patricia Hodges, une fille de onze ans qui demeure au 12 de la même rue. Elle les accompagne lorsqu'ils vont à Saddleworth Moor pour recueillir de la terre, une activité que plusieurs résidants du quartier font dans le but d'améliorer le sol de leur jardin, qui est rempli d'argile et de gravats laissés par les constructeurs. Ils n'ont jamais agressé la jeune fille, car ils avaient conclu que sa disparition aurait inévitablement mené à eux.

Le matin du 26 décembre 1964, jour de l'Après-Noël, Hindley laisse sa grand-mère à la maison d'un membre de la famille et refuse de la ramener à la maison sur Wardle Brook Avenue cette nuit-là. Le même jour, Lesley Ann Downey disparaît de la fête foraine à Ancoats. Malgré un énorme effort de recherche, elle n'est pas retrouvée. Le jour suivant, Hindley ramène sa grand-mère à la maison. En février 1965, David Smith, le beau-frère de Hindley, continue ses visites. Brady lui donne des livres à lire, les deux discutent de vols et de meurtres. Le jour où Myra atteint 23 ans, sa soeur et son beau-frère, qui ont vécu jusqu'à maintenant avec des membres de leur famille, emménagent à Underwood Court, un quartier résidentiel près de Wardle Brook Avenue. Les deux couples se voient plus régulièrement, mais aux conditions imposées par Brady.

Pendant les années 1990, Hindley affirme qu'elle a participé aux meurtres parce que son amoureux l'avait droguée, et qu'il l'avait en outre menacée de diffuser les photos pornographiques qui la mettaient en scène et de tuer sa jeune soeur. Dans un documentaire pour la télévision diffusé en 2008, partie d'une série sur les tueuses en série, l'avocat de Hindley, Andrew McCooey, a rapporté ce qu'elle lui a dit :

« J'aurais dû être pendue. Je le méritais. Mes crimes furent pires que ceux de Brady, car j'attirais les enfants et ils ne seraient jamais entrés dans le véhicule sans ma participation [...] J'ai toujours cru que j'étais pire que Ian Brady. »

Les meurtres, tel que la plupart des quotidiens de langue anglaise du monde entier l'ont rapporté, seraient la conséquence d'une conjoncture. Selon Malcolm MacCulloch, professeur de psychiatrie judiciaire à l'université de Cardiff, un concours de circonstances a amené « une jeune femme avec une forte personnalité, habituée à donner et à recevoir de la violence dès son plus jeune âge », à se lier à un « psychopathe sexuel et sadique ».

À la suite de sa condamnation, Ian Brady est envoyé à la prison de Durham, où il demande à être enfermé seul. Il passe 19 ans dans des prisons ordinaires avant d'être diagnostiqué psychopathe en novembre 1985 et envoyé à l'hôpital Park Lane, aujourd'hui l'hôpital Ashworth, un établissement de haute sécurité dans le district métropolitain de Sefton. Depuis, il a clairement indiqué qu'il ne veut pas être libéré. Le juge qui l'a condamné a recommandé que la sentence d'emprisonnement à perpétuité soit appliquée sa vie durant, et les différents secrétaires d'État à l'Intérieur ont toujours approuvé. En 1982, le lord juge en chef Lord Lane a dit de Brady : « c'est un cas, s'il devait y en avoir un, où un homme doit rester en prison jusqu'à ce qu'il meure ». Même s'il refuse de collaborer avec les psychiatres de l'hôpital Ashworth, Brady correspond, à l'occasion, avec des gens hors des murs de l'institution, dont le criminologue Colin Wilson, Lord Longford et des journalistes. Dans l'une de ces lettres, écrite en 2005, il affirme que les meurtres ont été « un semblant d'exercice existentiel d'à peine un an, qui s'est conclu en décembre 1964 ». À ce moment, il affirme que lui et Hindley ont porté leur attention sur les vols à main armée, car ils avaient acquis des pistolets et des véhicules. Durant la période pendant laquelle le psychologue judiciaire Chris Cowley a échangé avec Brady, y compris lors de rencontres en personne, le meurtrier a révélé sa « fascination esthétique » pour les pistolets, même s'il n'a jamais utilisé une telle arme pour tuer. Il s'est plaint amèrement des conditions de détention à l'hôpital Ashworth, qu'il déteste. En 1999, il s'est brisé le poignet pendant ce qu'il dit être une « agression gratuite d'une heure » par le personnel. Plus tard, il commence une grève de la faim, mais il est puni pour avoir violé la Mental Health Act de 1983 (« loi sur la santé mentale ») et n'a plus le droit de se laisser mourir de faim. En conséquence, il a été alimenté de force. Rétabli, il demande en mars 2000 une révision judiciaire de la décision de l'alimenter de force : elle est rejetée.

« Myra est atteinte d'une maladie potentiellement mortelle du cerveau, alors que je dois me battre pour seulement mourir. J'en ai assez. Je ne veux rien, mon objectif est de mourir et de me libérer une fois pour toutes de tout ça. Alors, vous voyez que ma grève [de la faim] est rationnelle et pragmatique. Je suis seulement désolé de ne pas l'avoir fait voici des décennies, et je suis maintenant prêt à quitter ce cloaque dans un cercueil. »

Selon Chris Cowley, Brady regrette que Myra soit emprisonnée, tout comme les conséquences de leurs gestes, mais peut-être pas les crimes mêmes. Il ne perçoit aucun intérêt à s'excuser publiquement, le tueur exprime plutôt ses remords par des actions. Par exemple, pendant 20 ans, il a transcrit des textes classiques en braille à l'aide d'un appareil (que les autorités ont confisqué de crainte qu'il ne l'utilise comme arme). Une fois, il a offert l'un de ses reins à quiconque pourrait en avoir besoin, mais cette offre a été bloquée. Selon Colin Wilson, « c'est parce que ses tentatives pour démontrer ses remords ont été repoussées qu'il a commencé à envisager le suicide ». Il aurait pu y parvenir en 2006, quand une amie lui fait parvenir 50 comprimés de paracétamol, cachés dans deux tubes de Smarties eux-mêmes cachés dans un roman policier évidé, mais ils ont été découverts.

En 2001, Brady a publié The Gates of Janus : Serial Killing and its Analysis (« Les Portes de Janus : Analyses des meurtres en série ») chez Feral House, une maison d'édition américaine spécialisée dans les sujets marginaux. Le livre, qui se penche sur la psychologie du tueur en série, a suscité l'indignation en Grande-Bretagne, même si l'éditeur a souligné que les journaux à sensations britanniques ont abondamment publié sur Ian Brady sans attirer la critique. Winnie Johnson, la mère de Keith Bennett, a reçu une lettre du meurtrier à la fin de 2005 dans laquelle, selon elle, il affirme pouvoir mener les policiers à moins de 20 mètres de la tombe de son fils, dont les restes n'ont jamais été retrouvés. La police refuse de participer à cette recherche, car Brady n'a pas clairement identifié le garçon par son nom.

Ian Brady est mort le lundi 15 mai 2017 à l'age de 79 ans des suites d'un cancer à l'hôpital psychiatrique Ashworth (Angleterre).

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

Aidez-nous à localiser la tombe d'Ian Brady en nous envoyant l'adresse du lieu où se trouve sa sépulture (cimétière...). Facultatif : transmettez-nous également les coordonnées GPS de l'emplacement exact de la sépulture d'Ian Brady.

Vous savez où se trouve la tombe d'Ian Brady ?

Citations

Nous n'avons pas de citations d'Ian Brady pour le moment...

Si vous connaissez des citations de Ian Brady, nous vous proposons de nous les suggérer.
Proposez une citation.

Forum

Soyez le premier à poser une question sur Ian Brady.

Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Anglaise Drapeau anglais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Ian Brady
  • Nom complet : --
  • Prénom : Ian
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Brady
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : --

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Date de mort : Lundi 15 mai 2017
  • Lieu de mort : --
  • Âge de mort : 79 ans
  • Cause de mort : Cancer (Maladie)

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

Que recherchez-vous sur Ian Brady ?

Si vous ne trouvez ce que vous recherchez sur Ian Brady, décrivez-nous votre demande et nous vous répondrons personnellement dans les plus brefs délais.

Demandez-nous

Notez !

Aucune note pour le moment...
  ?
1 note
5 étoiles
0
4 étoiles
0
3 étoiles
0
2 étoiles
0
1 étoile
0
0 étoile
1
0,00

En Enfer !

Ian Brady est en Enfer ! Les membres du site ont décidé de porter Ian Brady au plus bas niveau du site en lui attribuant une note moyenne de 0 sur 5 avec 1 note. Seules les célébrités ayant une note inférieure à 2 descendent directement en Enfer.


 Un tueur d'enfant.
Un tueur d'enfant
Commentez - il y a 4 ans

Commentaires

Vous avez des questions sur Ian Brady ? Des remarques ? Des infos à partager ?

Image

Liens

Liens externes

Si vous connaissez un site qui parle d'Ian Brady et susceptible d'apporter des informations complémentaires à cette page, vous pouvez nous proposer le lien. Après délibération (si nous pensons que le contenu proposé est intéressant), nous afficherons le lien vers cette nouvelle source d'infos et nous vous préviendrons par e-mail quand il sera publié.

Autres tueur en série

Portrait de Thierry Paulin
 

Drapeau France 1963 - 1989
Francais, 25 ans

Tueur en série français, surnommé le « tueur de vieilles dames » et le « monstre de Montmartre », il avoue en 1987 les meurtres de 21 personnes commis par étranglement ou étouffement tandis que la justice lui en a attribué 18.
Portrait de Michel Fourniret
 

Drapeau France 1942 - 2021
Francais, 79 ans

Tueur en série français, violeur et pédocriminel, il est l'auteur de crimes commis principalement sur des jeunes filles en France et en Belgique. En 2008, il avait été condamné à la perpétuité incompressible pour les meurtres de 7 jeunes femmes, commis entre 1987 et 2001, avant d’être à nouveau condamné à la perpétuité en 2018 pour un assassinat crapuleux.
Portrait de Samuel Little
 

Drapeau États-unis d'amérique 1940 - 2020
Américain, 80 ans

Tueur en série américain, considéré par le FBI comme le « tueur en série le plus prolifique » du pays, il affirme avoir tué pas moins de 93 personnes (notamment de femmes issues de minorités). Il est le tueur en série le plus meurtrier de l'histoire des États-Unis.
Portrait de Peter Sutcliffe
 

Drapeau Royaume-uni 1946 - 2020
Anglais, 74 ans

Tueur en série anglais, surnommé l'Éventreur du Yorkshire par la presse, il est condamné à la prison à vie pour le meurtre de 13 femmes entre 1975 et 1980.
Portrait de Lawrence Bittaker
 

Drapeau États-unis d'amérique 1940 - 2019
Américain, 79 ans

Tueur en série américain, a enlevé, torturé, violé et assassiné 5 jeunes femmes sur une période de 5 mois, avec l’aide de son complice, Roy Norris. Ils étaient surnommés « Tool Box Killers » (les tueurs à la boite à outils) car pour torturer et tuer leurs victimes, ils utilisaient des outils comme des pinces, pics à glace et marteaux, qui étaient rangés dans une boîte à outils domestique.
Portrait de Ivan Milat
 

Drapeau Australie 1944 - 2019
Australien, 74 ans

Tueur en série australien, assassin de 7 personnes en Australie entre 1989 et 1992, dont 5 des victimes étaient des routards internationaux d'où le nom qui fut donné à cette affaire : « Les meurtres des routards ».

Autres points communs avec Ian Brady