Top 50Hommes célèbres morts un 4 novembre
18 célébrités
Découvrez notre liste de 18 hommes (toutes nationalités confondues) morts un 4 novembre connus comme par exemple : René Girard, Gabriel Fauré, Claude Aveline, Michael Crichton, Jacques Tati, Gilles Deleuze, Pierre Seghers, Charles Piaget, Daniel Lefeuvre, Ken Hensley... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de l'art, de la littérature, de la philosophie, de la musique, de la guerre, du théâtre, du cinéma, du parti socialiste, de la politique, de la politique de gauche, de l'histoire, du hard rock, du metal ou du rock. Ces célébrités peuvent également avoir été anthropologue, artiste, écrivain, philosophe, scientifique, compositeur, musicien, organiste, pianiste, dramaturge, essayiste, nouvelliste, poète, résistant, romancier, romancier policier, producteur, scénariste, acteur, cinéaste, homme politique, socialiste, syndicaliste, historien, chanteur, chanteur de rock, claviériste, compositeur de rock, guitariste, guitariste de hard rock, guitariste de metal, homme d'affaire ou producteur de musique. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, américain ou anglais par exemple.
18 hommes populaires
Écrivain, poète et résistant français, connu pour son ouvrage « Le temps mort » (1944). 
Écrivain américain de science-fiction, un des pionniers du techno-thriller, auteur de nombreux romans et nouvelles à succès comme « Jurassic Park » (1990), « Sphère » (1987) ou encore « État d'urgence » (2004). 
Syndicaliste français, très actif lors du conflit social de l'entreprise d'horlogerie Lip dans les années 1970, appelé « l'affaire Lip », il est une figure emblématique du mouvement autogestionnaire français. 
Guitariste et compositeur de rock, cofondateur du groupe Uriah Heep dans les années 1970 (un des premiers groupes de hard rock de l’histoire). Il a écrit ou coécrit la plupart des chansons d'Uriah Heep au cours de cette période, y compris les tubes « Lady in Black », « Easy Livin' » et « Stealin' » , ainsi que « Look at Yourself » et « Free Me ». 
Réalisateur algérien connu pour ses films « Prends 10000 balles et casse toi » (1982, comédie), « De Hollywood à Tamanrasset » (1991) ou encore « 100% Arabica » (1997, comédie). 
Pharmacien français et chercheur en biologie spécialisé en neurobiologie et neuropharmacologie pour laquelle il est considéré comme l'un des pères fondateurs en France. Spécialiste de la chimie du cerveau, il a été le codécouvreur de la première classe des antidépresseurs, les inihibiteurs des monamine oxydases (IMAO). Professeur au Collège de France (dont il fut également l'administrateur), il était membre de l'Académie des sciences. 
Politicien algérien, officier de l'armée de libération nationale (ALN) de l'intérieur de 1956 à l'indépendance. Il s'oppose au clan d'Oujda depuis la crise de l'été 1962 : il est l'un des membres fondateurs du Front des forces socialistes (FFS) en 1963 et une figure du Hirak en 2019-2020. Pour les algériens, il est « l’homme qui ne s’est jamais rendu », un opposant irréductible, le héros de l’indépendance qui avait pris parti pour le Hirak dès le début en 2019, engagement qui lui valut d’être emprisonné 6 mois à l’âge de 86 ans. 18 hommes au total
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