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Hors-la-loi (hommes) francais morts au 20^ème siècle

10 célébrités

Découvrez notre liste de 10 hors-la-loi (hommes) francais morts au 20ème siècle connus comme par exemple : Jacques Mesrine, Albert Spaggiari, Violette Nozière, Thierry Paulin, Gaston Dominici, Pierre Goldman, Landru, Rene Belbenoit, Jules Bonnot, Raoul Villain... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines du crime, de la justice, du vol, de l'histoire, de l'homicide, de l'homicide volontaire, du meurtre, de l'art, de la littérature ou de l'escroquerie. Ces célébrités peuvent également avoir été criminel, gangster, voleur, accusé de crime, tueur en série, accusé de meurtre, artiste, écrivain ou escroc.

10 hors-la-loi (hommes) francais populaires

Jacques Mesrine

1936 - 1979
Francais, 42 ans

Criminel français connu pour ses nombreuses évasions et hold-up médiatisés, déclaré « ennemi public numéro un » au début des années 1970 par les autorités françaises. N'ayant à priori commis aucun meurtre, il est quand même abattu sans sommation au volant de sa voiture par la police française.

Tombe ►

Albert Spaggiari

1932 - 1989
Francais, 56 ans

Malfaiteur français connu pour avoir été le cerveau du « casse du siècle » survenu à la Société générale de Nice, en juillet 1976. Il a échappé à la police française durant sa cavale qui a duré jusqu’à sa mort, après une évasion spectaculaire.

Tombe ►

Notez-le !

Violette Nozière

1915 - 1966
Francais, 51 ans

Accusé de crime, Hors-la-loi (Crime, Justice).

Tombe ►

Thierry Paulin

1963 - 1989
Francais, 25 ans

Tueur en série français, surnommé le « tueur de vieilles dames » et le « monstre de Montmartre », il avoue en 1987 les meurtres de 21 personnes commis par étranglement ou étouffement tandis que la justice lui en a attribué 18.

Tombe ►

Notez-le !

Gaston Dominici

1877 - 1965
Francais, 88 ans

Meurtrier supposé français, accusé d'un triple meurtre en 1952 et condamné à mort sans que sa culpabilité ait jamais été clairement établie. En 1957, le président Coty a commué la peine et le 14 juillet 1960 le général de Gaulle a gracié et libéré Gaston Dominici. L'affaire fut suivie par de nombreux journalistes, tant français qu'étrangers.