Producteur de cinéma américain morts en 2019

Producteur de cinéma hongro-américain, a produit de grands succès comme les 3 films de « Rambo » (1982, 1985, 1988), 3 films de « Terminator » (2003, 2008, 2009), « Une journée en enfer » (1995) ou « Total Recall » (1990).

Acteur américain, connu pour son interprétation du gangster Frank Nitti dans « Les Incorruptibles » (1987) et pour son rôle de Barbas, le Démon de la Peur, durant plusieurs épisodes de la série « Charmed » (entre 1997 et 2004).

Acteur américain, connu pour le rôle de Dylan McKay dans la série télévisée « Beverly Hills 90210 » (1990-1995 puis 1998-2000) et celui de Jeremiah dans la série du même nom (2002-2004). Il a joué aussi dans les films « Buffy, tueuse de vampires » (1992) ou « Le Cinquième Élément » (1997) ; et les séries « Oz » (1997-2003), « Jeremiah » (2002-2004), « Windfall : Des dollars tombés du ciel » (2006), « John from Cincinnati » (2007) ou « Riverdale » (2017).

Acteur américain, icône de la contre-culture américaine des années 1960, son rôle le plus marquant est celui de Wyatt, compagnon biker de Dennis Hopper dans le road-movie « Easy Rider » (1969). Il est le fils d'Henry Fonda et le frère de Jane Fonda ainsi que le père de Bridget et de Justin Fonda. Il a été nommé pour l'Oscar du meilleur acteur en 1997 pour son interprétation dans « L'Or de la vie » (1997, drame, de Victor Nuñez).

Producteur américain de théâtre, son nom est associé aux comédies musicales les plus célèbres de Broadway du XXe siècle, il remporta 21 Tony Awards dont 8 pour la meilleure comédie musicale produite de l'année, 2 pour le meilleur producteur, et 3 spécial awards. Il avait notamment monté « Le Fantôme de l’opéra » (1986) et « Cabaret » (1966).

Acteur américain, connu pour avoir interprété le personnage de Super Dave Osborne, riche d'une longue carrière, il a notamment fait rire les téléspectateurs dans les séries « Larry et son nombril » ou « Arrested Development ».

Cinéaste américain, célèbre pour ses documentaires musicaux, filmant les concerts, s'immisçant sur scène avec une caméra sachant retranscrire la fièvre d'un live allié à un sens du rythme indéniable comme en témoignent « Dont Look Back » (1967, live de Bob Dylan), mais aussi « Ziggy Stardust and the Spiders from Mars » (1973, live de David Bowie), « 101 » (1989, live de Depeche Mode), ainsi que sur John DeLorean (DeLorean, 1981), Jimi Hendrix (Jimi Hendrix Live, 1989), « Woodstock » (Woodstock Diary, 1994). Ses films sont autant de témoignages sur l'histoire du rock, tels Sweet Toronto/Keep On Rockin (1969) (avec Little Richard, Chuck Berry, Bo Diddley, John Lennon, Yoko Ono...), Jerry Lee Lewis: The Story of Rock & Roll (1991), The Music Tells You (1992).

Réalisateur américain, 1er Noir nommé pour l’Oscar du meilleur réalisateur en 1992 avec « Boyz n the Hood » (drame), qu’il avait tourné à 22 ans, et qui a été une étape majeure dans l’histoire du cinéma afro-américain, avec sa distribution comprenant Angela Bassett, Laurence Fishburne, Cuba Gooding Jr et le rappeur Ice Cube.