Anniversaire !
Cela fera 40 ans que Jacques Monod est mort le jeudi 25 décembre 2025. Plus que 20 jours...
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Biographie
Jacques Monod (né le 21 août 1918 à Casablanca, et mort le 25 décembre 1985 à Paris) est un acteur français. Il est enterré au cimetière parisien de Bagneux.
Après des études au collège Stanislas de Paris, et après avoir envisagé de poursuivre ses études à l’École de Saint-Cyr, Jacques Monod se dirige bien vite vers le monde du spectacle.
Il débute en jouant des pièces de la radio marocaine avant de créer une petite compagnie de théâtre locale.
Durant la Seconde Guerre mondiale, il est blessé en 1944 lors de la bataille du Monte Cassino, en Italie.
En 1945, il s'installe finalement en France où il obtient son premier rôle au théâtre de l'Athénée, dans La Folle de Chaillot de Jean Giraudoux, après avoir été remarqué par Louis Jouvet. Celui-ci le fait débuter au cinéma à ses côtés, lui permettant d’obtenir un petit rôle, celui du premier tambour Albos, dans Knock de Guy Lefranc en 1950. Il continue à travailler au côté de Louis Jouvet jusqu'au décès de celui-ci en 1951.
De 1952 à 1957, il devient l’assistant de Jean Mercure.
Jacques Monod n’aborde toutefois véritablement le septième art que vers le milieu des années cinquante, notamment avec Je reviendrai à Kandara en 1956, auprès de Daniel Gélin et Bella Darvi, Les Grandes Familles en 1958, avec Jean Gabin et Pierre Brasseur, et Les 400 coups de François Truffaut, etc.
Dans les années soixante, on peut voir Jacques Monod dans un grand nombre de films, tenant des rôles plus ou moins importants, dont à la télévision un trio notarial avec Jean-Marc Tennberg et le jeune Philippe Ogouz dans La Belle et son fantôme.
Jouant des rôles de notables, sa silhouette est devenue familière aux spectateurs des salles obscures, d'autant plus que ses apparitions à la télévision se multiplient : Vidocq, les Compagnons de Baal, Les Cinq Dernières Minutes, Les Brigades du Tigre, etc.
Au tournant des années soixante-dix, le cinéma néglige de plus en plus les seconds rôles. Jacques Monod sera victime de cette politique économique préjudiciable à la qualité de notre production. Mais il lui restait la télévision et le théâtre. Il fait une dernière apparition pour le grand écran, en 1982, dans le rôle d’un directeur de théâtre pour Sandy, aux côtés de Michel Galabru.
Dans, les années 80, il collabore avec un jeune chanteur Alain Sapience, pour qui, il,écrit quelques titres, dont Notre dame de panâme et Lisette.
Jacques Monod est mort le mercredi 25 décembre 1985 d’une crise cardiaque, à Paris (France). Son corps repose au cimetière de Bagneux.
Tombe
Où se trouve la tombe de Jacques Monod ?
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Où est enterré Jacques Monod ?
Cimetière de Bagneux
45 Avenue Marx Dormoy
92220 Bagneux
Hauts-de-Seine
France
La tombe de Jacques Monod est au Cimetière de Bagneux, 45 Avenue Marx Dormoy, 92220 Bagneux, Hauts-de-Seine, France
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Autres acteur francais

Acteur français, célèbre pour ses rôles intenses et charismatiques comme dans le film "Nikita" (de Luc Besson) et "La Femme Nikita" (de John Badham), "Bad Boys" (avec Will Smith) et "The Patriot" (avec Mel Gibson). Sa voix grave et son regard perçant en font l’un des acteurs français les plus marquants de sa génération.

Humoriste et acteur français, très populaire, il est une figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960 : il est connu pour ses rôles dans les films « Belle de jour » (1967, comédie dramatique, avec Catherine Deneuve), « La Grande Lessive (!) » (1968, comédie, avec Bourvil) ou « Les Tontons flingueurs » (1963, comédie, avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre). Il est sur scène et sur les ondes, le partenaire de Pierre Dac avec qui il créa les célèbres sketchs du « Sar Rabindranath Duval » et du « Parti d'en rire » ainsi que la série radiophonique intitulée « Signé Furax ». Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.

Comédien et dramaturge français, auteur favori du jeune Louis XIV et de sa cour, pour lesquels il conçoit de nombreux spectacles, en collaboration avec les meilleurs architectes scéniques, chorégraphes et musiciens du temps. Grand créateur de formes dramatiques, interprète du rôle principal de la plupart de ses pièces, Molière a exploité les diverses ressources du comique — verbal, gestuel et visuel, de situation — et pratiqué tous les genres de comédie, de la farce à la comédie de caractère. Il a créé des personnages individualisés, à la psychologie complexe, qui sont rapidement devenus des archétypes. Observateur lucide et pénétrant, il peint les mœurs et les comportements de ses contemporains, n'épargnant guère que les ecclésiastiques et les hauts dignitaires de la monarchie, pour le plus grand plaisir de son public, tant à la cour qu'à la ville. Loin de se limiter à des divertissements anodins, ses grandes comédies remettent en cause des principes d'organisation sociale bien établis, suscitant de retentissantes polémiques et l'hostilité durable des milieux dévots. L'œuvre de Molière, une trentaine de comédies en vers ou en prose, accompagnées ou non d'entrées de ballet et de musique, constitue un des piliers de l'enseignement littéraire en France et continue de remporter un vif succès au théâtre, non seulement en France et à la Comédie-Française, surnommée « la Maison de Molière », mais aussi à l'étranger. Sa vie mouvementée et sa forte personnalité ont inspiré dramaturges et cinéastes. Signe de la place emblématique qu'il occupe dans la culture nationale, le français est couramment désigné comme « la langue de Molière », au même titre que l'anglais est « la langue de Shakespeare ». Il meurt à l’âge de 51 ans, quelques heures après avoir tenu pour la quatrième fois le rôle-titre du Malade imaginaire. Parmi ses pièces de théâtre les plus célèbres : L'École des femmes (1662), Dom Juan ou Le Festin de Pierre (1665), Le Misanthrope (1666), Amphitryon (1668), L'Avare (1668), Le Tartuffe (1669), Les Fourberies de Scapin (1670), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Les Femmes savantes (1672) ou Le Malade imaginaire (1673).

Acteur français, icônes du cinéma français, l'une des principales vedettes de l'après-guerre dont le public garde une image juvénile et romantique car mort jeune. Ses films les plus célèbres sont : Le Diable au corps (1947), Les Orgueilleux (1953), Les Grandes Manœuvres (1955), Fanfan la Tulipe (1956) ou Les Liaisons dangereuses (1959).

Acteur comique français le plus célèbre du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle, interprétant son personnage de français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux mimiques et verbigérations muettes. Il a joué dans + de 140 films dont « La Traversée de Paris (1956) », « Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) » et ses suites, la trilogie « Fantômas » (1964), « Le Corniaud » (1965), « La Grande Vadrouille » (1966), « Le Grand Restaurant » (1966), « Oscar » (1967), « Le Petit Baigneur » (1967), « Hibernatus » (1969), « La Folie des grandeurs » (1971), « Les Aventures de Rabbi Jacob » (1973), « L'Aile ou la Cuisse » (1976), « La Zizanie » (1978), « La Soupe aux choux » (1981), « L'Avare » (1980). Très peu récompensé, il reçoit seulement un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

Acteur français, César d'honneur en 1993, connu pour ses rôles dans les films : « La Belle et la Bête » (1946, fantastique, de Jean Cocteau), « Le Bossu » (1959, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitan » (1960, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitaine Fracasse » (1961, cape et d'épée) et la trilogie Fantômas avec Louis de Funès : « Fantomas » (1964), « Fantômas se déchaîne » (1965) et « Fantômas contre Scotland Yard » (1967).
Autres points communs avec Jacques Monod