Maurice Ronet

 
Maurice Ronet
1927 - 1983
 

Acteur français connu pour ses films : « Ascenseur pour l'échafaud » (1958, drame), « Plein Soleil » (1960, thriller), « Le Feu follet » (1963, drame), « La Femme infidèle » (1969, drame), « La Piscine » (1969, drame/policier).

Nationalité française Francais, né le 13 avril 1927 et mort le 14 mars 1983

55 ans Mort à l'âge de 55 ans (de quoi ?).

Enterré en France dans le Roussillon (Vaucluse).

Cimetière de Bonnieux
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Biographie

Maurice Ronet, de son vrai nom Maurice Robinet, est un acteur et un réalisateur français né le 13 avril 1927 à Nice et décédé d'un cancer le 14 mars 1983 à Paris (France).

Il fut marié avec les actrices Maria Pacôme de 1950 à 1956 et de 1980 jusqu'à sa mort à Josephine Chaplin, avec laquelle il a eu un enfant. Il est enterré au cimetière de Bonnieux, dans le Luberon.

Acteur prolifique, il fit son intervention la plus remarquable dans le sublime Feu follet de Louis Malle (1963), où il interprétait le rôle d'un trentenaire velléitaire qui, à la suite d'une cure de désintoxication alcoolique, décide de mettre fin à ses jours. Malle, un grand optimiste, réalise ici son film le plus obscur, mais réussit le tour de force de faire de cette histoire un chant à la vie au lieu d'un éloge de l'option morale du suicide. Pour cela, il compte sur la profonde humanité qui peut se lire à tout instant sur le visage de Maurice Ronet : en se mettant dans la peau d'un idéaliste qui vit dans une désillusion permanente, Ronet transmet l'incapacité dont souffre l'Homme d'atteindre la plénitude. La présence de l'acteur est bouleversante à tout moment du métrage, mais c'est peut-être la séquence d'ouverture qui donne la mesure de son talent : au lit avec une belle femme qu'il n'arrive pourtant pas à sentir, à toucher, il est là sans y être, sa voix en off expliquant ses sensations, la musique de Satie creusant les silences. Du pur cinéma.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

Où se trouve la tombe de Maurice Ronet ?

Ci-dessous l'emplacement exacte de la tombe de Maurice Ronet :

Où est enterré Maurice Ronet ?

Cimetière de Bonnieux
84220 Roussillon
Vaucluse
France Drapeau francais

La tombe de Maurice Ronet est au Cimetière de Bonnieux, 84220 Roussillon, Vaucluse, France Drapeau francais.

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Française Drapeau francais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Maurice Ronet
  • Nom complet : --
  • Prénom : Maurice
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Ronet
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Maurice Robinet

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 55 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

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 Un grand acteur qui par deux fois a été le rival à l'écran d'Alain Delon dans "la piscine" et dans "plein soleil".
un grand acteur qui par deux fois a été le rival à l'écran d'Alain Delon dans "la piscine" et dans "plein soleil".... un superbe face à face
Commentez - il y a 6 ans
 Acteur de talent jouant trop de personnages "mauvais". Dommage !
acteur de talent jouant trop de personnages "mauvais". Dommage!!!
Commentez - 2 - il y a 5 ans
 Il est partit trop jeune, d'un cancer ; sa première épouse Maria Pacome, dont il eu un fils François, vient de le rejoindre au paradis des Artistes.
il est partit trop jeune, d'un cancer,sa première épouse MARIA PACOME, dont il eu un fils François, vient de le rejoindre au paradis des Artistes que l'on n'oubliera jamais DEO GRACIA
Commentez - il y a 5 ans
11 notes ►

Commentaires

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Anonyme 69522 Durant toute sa vie, Maurice Ronet, acteur inclassable aura fait l'expérience de la mort. Ayant intériorisé dès son plus jeune âge la philosophie tragique et esthétique de Schopenhauer, au point de vouloir lui consacrer une étude, il traversa l'existence comme une épreuve du feu. Aujourd'hui deux ouvrages sortent qui relatent cette vie intense et trop brève : "Maurice Ronet, le splendide désenchanté" de José-Alain Fralon et un essai biographique plus intimiste "Maurice Ronet, les vies du feu follet" de Jean-Pierre Montal qui cerne de près son être profond et sa vision du monde.

Appartenant, selon sa propre expression, à une génération sacrifiée, celle qui avait dix-huit ans à la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'acteur rêvait néanmoins de grandeur éthique et d'aventure politique. Mais la réalité de l'époque ne correspondait pas à ses aspirations. A la guerre et à ses rudesses avait succédé une paix douce et émolliente dont les objectifs s'avéraient chaque jour davantage ceux de la consommation et de la finance, d'où un mal de vivre engendré par un monde moderne partant à la dérive, en proie à un effrayant vide spirituel. A la mort de l'acteur, François Chalais rapportait dans un quotidien ces propos tenus par celui-ci : " Mon ambition est d'être quelqu'un, pas quelque chose... Pas commode. A mon âge, les hommes sont tous PDG ou anciens combattants. Quant à la jeunesse, elle ne sait plus que se réfugier dans la drogue ou dans le dynamisme à reculons. Je ne suis plus dans le coup. Et mes amis sont déjà morts."

Source : Arnaud Guyot-Jeannin
Répondre - il y a 5 ans
Anonyme 69522 A « ces yeux faits pour contempler les gouffres » (Eric Neuhoff), vous aviez fini par trouver un point de chute. Quelle singulière obsession vous amena à aller filmer les dragons de Komodo vers la fin de votre vie ? Ca vous ressemblait tellement ça, d’aller filmer des créatures préhistoriques dont tout le monde se foutait, à l’autre bout du monde. Etait-ce pour calmer vos angoisses, panser quelques blessures d’enfance à jamais béantes ? Vous n’envisagiez pas la vie autrement que brûlée par les deux bouts. Vous auriez fait, à coup sûr, un formidable personnage de roman. Vous n’auriez pas aimé le monde tel qu’il va actuellement, sans doute même vous aurait-il dégoûté. Un acteur des années 60, 70. Voilà ce que vous étiez, ce que vous n’avez pas fini d’être. Vous qui représentiez tellement davantage, du moins à mes yeux. Avec vous a disparu un certain art de vivre, une certaine idée du métier de comédien. Et je suis sûr que de là où vous êtes, vous devez bien ricaner de nous voir ainsi, barques luttant contre le courant, sans cesse ramenés vers le passé… Vous qui laissiez de si bonne grâce aux autres les jérémiades.
Répondre - il y a 5 ans
Anonyme 71763 11 août 2014 à 22:02
Une rencontre inoubliable
J'ai décidé de vous faire partager mon histoire qui est je dois le reconnaître trés insolite et inoubliable pour moi. bien que je n'ai pas passé de nuit avec cette personne qui n'était pas un inconnu mais un comédien célèbre à cette époque
Cet épisode de mon existence m'a laissé une empreinte indéfinissable dans ma mémoire et dans le coeur...
j'avais à peine 20 ans , c'était par une belle journée d'été en 1977 et j'étais avec un compagnon qui voulait me faire découvrir le Vaucluse et ses environs, nous avions réservé une chambre d'hôtel à Bonnieux pour faire une halte et au cours de la soirée au cours du repas, une violente dispute éclate entre nous ( mais je n'entrerais pas dans les détails de notre altercation) pour en venir au sujet qui nous interesse ici). A la suite de cette dispute, me voilà errant dans la ville de Bonnieux à la recherche d'un café pour tenter de retrouver un peu de calme intérieur et au hasard de mes errances je m'arrête "à l'heure Bleue" fallait il y voir comme un signe du destin.. ; je m'assoie et commande une collation , après quelques instants je me rappelle que je me suis effondrée en pleurs et j'étais véritablement désamparée à l'idée de me retrouver dans cette situation et un peu apeurée également.. je me souviens que j'avais emporté un ouvrage (Edgard Poe) et que j'eus l'idée de le sortir pour me donner une contenance.
C'est à ce moment que je je le vis arriver.. un sourire éclatant de séduction avec une lueur de gaité dans le regard, seraient-ce les larmes qu'il vit couler sur mon visage qui l'ont ému à ce moment là , je ne saurais le dire mais je ne puis oublier l'impression qu'il fit sur tout mon être et ce parfum étrange et indéfinissable dans son sillage
Je me dis, ce visage ne m'est pas inconnu et j'ai reconnu dans ce personnage élégant à l'allure féline, le comédien Maurice Ronet qui nous as quittés en 1983. Je l'avais souvent vu au cinéma et cela ne pouvait être un sosie. il me demande gentiment la cause de mes larmes et me propose de boire une verre avec lui et un peu troublée par l'émotion et flattée aussi par l'intérêt qu'il me porte soudain, je lui parle de ma mésaventure et de la violence des propos échangés avec mon ami et de la peur que j'avais à retourner la-bas car il m'avait menaçée physiquement.
Au bout d'une heure il réussit à m'apaiser et je me sentais beaucoup mieux et nous avons commencé à parler en toute simplicité. je lui disais mon intérêt pour le cinéma, les arts en général et comme s'il s'agissait d'un ami je lui confiais ma peine et mon insécurité à me retrouver dans cette région isolée, sans pouvoir retourner dans la chambre d'hôtel, il comprit bien ma détresse et me proposant l'hospitalité pour la nuit chez lui. Un peu embarrassée dans un premier temps, je finis par accepter son invitation comprenant que je n'avais pas d'autre solution. La situation me semblait tellement invraisemblable et si innattendue que je retrouvais soudain le sourire et je me disais que je serais plus en sécurité auprès de cet homme délicat et attentionné pour lequel je n'avais aucune raison de me méfier.
C'est ainsi que je découvris sa maison perchée en haut d'une colline sur les hauteurs de Bonnieux, prés du cimetière ou d'ailleurs il repose aujourd'hui. Il me dit qu'il l'a construite lui-même, qu'il en a dessiné les plans et fait venir les matériaux. C'était à l'origine une ancienne ferme provençale en ruines dont il a tenu à conserver certains pans de mur, une mangeoire pour garder à cette maison son charme indéfinissable. Je n'imaginais certes pas ainsi la demeure d'une célébrité mais je compris que cela faisait partie de son personnage
Je garde le souvenir d'un homme chaleureux entier qui aimait rire qui aimait vivre boire et bien manger mais derrière ce sourire éclatant, je pouvais deviner par moments une lueur de désespoir et de mal-être et je compris qu'il noyait son désenchantement dans l'alcool. iI y eut entre nous plus qu'une simple nuit rocamblesque et je pense encore aujourd'hui à cette rencontre magique qui s'est effectivement transformée en histoire de ma vie puisque j'en garde un souvenir ému et attendri 35 ans aprés et je ne vous livrerai qu'une partie de mon secret et de cette étonnante rencontre...
Pour terminer avec mon témoignage je voudrais faire référence à Jacques Salomé
"Il est des rencontres magiques qui surgissent dans notre vie sans prévenir. il est des rencontres qui ont un caractère magique par la qualité de ce qu'elles révèlent, en nous, ou chez l'autre.
il est des rencontres qui nous appellent au plus profond de notre être, du plus lointain de notre histoire, celles qui éclaireront notre parcours de vie d'une lumière plus vive plus féconde....
je souhaite à chacun de pouvoir accueillir l'une de ces rencontres si elle fait irruption dans sa vie et de s'y abandonner de tout son coeur..."
Bien à vous
Yveline
Répondre - il y a 4 ans
Anonyme 59920 Gentille histoire, bien racontée, qui vous a laissé un bon souvenir.
Est-ce vous sur la photo. ?
PS: vous êtes de 1957 (vous avez écrit : j'avais à peine 20 ans en 1977)
Jean-Lin
Répondre - il y a 2 ans
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Répondre - il y a 2 ans
Anonyme 59920 Tombe de Maurice Ronet à Bonnieux
Répondre - il y a 2 ans

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Autres acteur francais

Portrait de Jean Gabin
 

Drapeau France 1904 - 1976
Francais, 72 ans

Acteur français, figure incontournable du cinéma français, son physique imposant et son regard sombre lui feront incarner la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture, dans des films bien souvent dialogués par Michel Audiard. Sa filmographie de 95 films compte un nombre important de classiques comme «Le Quai des brumes» (1927), «Gueule d'amour» (1937), «Pépé le Moko» (1937), «La Bête humaine» (1938), «La Grande Illusion» (1937), «Touchez pas au grisbi» (1954), «La Traversée de Paris» (1956), «Un singe en hiver» (1962), «Le Pacha» (1968) ou «Le Chat» (1971). Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon.
Portrait de Louis De Funès
 

Drapeau France 1914 - 1983
Francais, 68 ans

Acteur comique français le plus célèbre du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle, interprétant son personnage de français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux mimiques et verbigérations muettes. Il a joué dans + de 140 films dont « La Traversée de Paris (1956) », « Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) » et ses suites, la trilogie « Fantômas » (1964), « Le Corniaud » (1965), « La Grande Vadrouille » (1966), « Le Grand Restaurant » (1966), « Oscar » (1967), « Le Petit Baigneur » (1967), « Hibernatus » (1969), « La Folie des grandeurs » (1971), « Les Aventures de Rabbi Jacob » (1973), « L'Aile ou la Cuisse » (1976), « La Zizanie » (1978), « La Soupe aux choux » (1981), « L'Avare » (1980). Très peu récompensé, il reçoit seulement un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.
Portrait de Jean Marais
 

Drapeau France 1913 - 1998
Francais, 84 ans

Acteur français, César d'honneur en 1993, connu pour ses rôles dans les films : « La Belle et la Bête » (1946, fantastique, de Jean Cocteau), « Le Bossu » (1959, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitan » (1960, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitaine Fracasse » (1961, cape et d'épée) et la trilogie Fantômas avec Louis de Funès : « Fantomas » (1964), « Fantômas se déchaîne » (1965) et « Fantômas contre Scotland Yard » (1967).
Portrait de Francis Blanche
 

Drapeau France 1921 - 1974
Francais, 52 ans

Humoriste et acteur français, très populaire, il est une figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960 : il est connu pour ses rôles dans les films « Belle de jour » (1967, comédie dramatique, avec Catherine Deneuve), « La Grande Lessive (!) » (1968, comédie, avec Bourvil) ou « Les Tontons flingueurs » (1963, comédie, avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre). Il est sur scène et sur les ondes, le partenaire de Pierre Dac avec qui il créa les célèbres sketchs du « Sar Rabindranath Duval » et du « Parti d'en rire » ainsi que la série radiophonique intitulée « Signé Furax ». Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
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Drapeau France 1927 - 1997
Francais, 70 ans

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Drapeau France 1944 - 1986
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Comique et comédien français très populaire en France dans les années 1980, connu pour son style humoristique nouveau et sarcastique par sa liberté d'expression en s’attaquant notamment aux tabous, puis aux valeurs morales et politiques de la société contemporaine. Il devient célèbre en parodiant le jeu télévisé « Le Schmilblick » et se présentera à l'élection présidentielle de 1981 avant de se retirer, à la suite de pressions et de menaces. Il obtient un César du meilleur acteur pour son rôle dramatique dans « Tchao Pantin » (1984, de Claude Berri) et fondera en 1985 l'association « Les Restos du cœur » (relais d'aide aux plus pauvres). Mort dans un accident de moto, les circonstances de sa mort demeurent l'objet de vives spéculations (accident, suicide ou assassinat).

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