Anniversaire !
Cela fera 108 ans que Bourvil est né le dimanche 27 juillet 2025. Plus que 10 jours...
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Biographie
Né André-Zacharie Raimbourg-Ménart le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Maritime). Bourvil doit son nom d'artiste au village de Bourville où il passa son enfance. Il naît orphelin puisque son père, André Raimbourg, est mort en début d'année sur les champs de bataille de la triste et grande guerre. Remariée à Louis Ménart, la veuve Raimbourg et ses deux enfants, René et André, s'installent dans les alentours de Dieppe, où naîtront encore trois autres enfants de cette nouvelle union. La vie est rude dans la campagne normande de l'entre-deux-guerres, et les Ménart, aidés de leurs cinq enfants, travaillent dur à la ferme. Dès l'âge de dix ans, André prend goût à la musique, en s'abreuvant des derniers tubes sur la TSF de l'instituteur du village. A quatorze ans, certificat d'étude en poche, il quitte la campagne pour le pensionnat de Doudeville. Eprouvé par cette vie d'enfermement, il s'enfuit et rentre chez lui. Sa vie, c'est la terre, à laquelle il restera attaché toute son existence.
Après avoir étudié l'harmonica, l'accordéon et le cornet à piston, André intègre la fanfare du village. Mais à dix-neuf ans, il se sent pousser des ailes. Adieu la campagne, bonjour la ville. Il part pour Rouen et y exerce le métier d'apprenti boulanger, dans le but d'obtenir une situation et de demander en mariage son amie Jeanne Lefrique. Mais il n'en oublie pas pour autant la musique.
Puis un soir de 1936, c'est la révélation lorsqu'il assiste, sidéré, à un concert du grand Fernandel. C'est décidé, il sera artiste ! Mars 1937, direction Paris et le 24ème Régiment d'Infanterie que le jeune Raimbourg vient d'intégrer. Il s'engage pour trois ans au sein de la clique du Régiment. Il y fait ses véritables débuts de chanteur, devant des camarades stupéfiés par son talent et sa drôlerie. Mais il brille aussi en dehors des murs étroits de la caserne, en remportant de nombreux Radio-crochets qui sont autant de petites victoires.
Septembre 1939. la deuxième guerre mondiale commence, et avec elle, son lot d'exil et de souffrances. Raimbourg est envoyé sur le front, puis démobilisé en août 1940, près de Pau, où il fait la connaissance d'Etienne Lorin, son meilleur ami et le parolier de nombre de ses futures chansons. Ensemble, ils mettent au point les numéros du nouveau comique-troupier Andrel (c'est le nom que Raimbourg s'invente alors).
Retour à Paris en 1941. Mais personne ne veut du jeune normand. Sauf La Gaîté Montparnasse, qui finit par l'embaucher pour un soir. Il y chante ses premières compositions, accompagné d'Etienne. Puis il accompagne Bordas à l'ABC pour plusieurs représentations. Il met ainsi le pied à l'étrier du métier d'artiste. Après plusieurs contrats dans les cabarets parisiens, il décide de troquer son nom Andrel pour Bourvil. Nous sommes en 1942, et Bourvil débute véritablement sa carrière. Il en profite pour épouser sa Jeanne, en janvier 1943. Petit à petit, ses contrats sur scène font parler de lui. Jusqu'à ce jour de 1944 où, ému par une petite vendeuse de cartes postales croisée dans les rues de Paris, il écrit Les crayons. Cette chanson passe sur toutes les ondes et devient son premier tube. Bourvil est maintenant une star !
Soudainement très sollicité, il obtient un premier rôle au cinéma dans La ferme du pendu en 1945, puis il tourne sous la houlette d'André Berthomieu dans Pas si bête. Il remplit les music-halls, vend ses disques comme des petits pains, joue dans de nombreuses opérettes et entame une fulgurante carrière au cinéma. L'après-guerre est propice à l'explosion médiatique du jeune comique. Plus rien ne peut lui résister. Il devient papa le 28 avril 1949 et continue de tourner avec les plus grands (Pagnol, Grangier, Berthomieu, ...). Sans manquer de consacrer une grande partie de son temps à sa famille, Bourvil poursuit sa carrière avec brio.
Malgré quelques critiques, chacune de ses apparitions est largement récompensée par un énorme succès public. Il faut dire que le Normand est toujours resté simple et populaire au sens premier du terme. C'est sur scène qu'il va décrocher un nouveau succès en 1952 aux côtés d'Annie Cordy et de Georges Guétary: l'opérette L'auberge fleurie se joue à guichets fermés au mois de décembre 1952 à l'ABC et son succès durera des années. Pendant vingt ans, Bourvil enchaîne les succès cinématographiques (La traversée de Paris, Le passe-muraille, Le chanteur de Mexico, Les misérables, Le bossu, La jument verte, Un drôle de paroissien, Le corniaud, La grande vadrouille, Le cerveau, ...) et discographiques (Fredo le Porteur, Ballade irlandaise, Berceuse à Frédéric, Salade de fruits, Les papous, Ma p'tite chanson, La tactique du gendarme, ...).
Puis en 1967, lors du tournage des Cracks, le couperet tombe. Au faîte de sa gloire, Bourvil apprend qu'il est atteint de la maladie de Kahler. Ses jours sont comptés. Il vivra en fait trois ans de plus, jusqu'à ce jour du 23 septembre 1970 où il s'éteint, à l'âge de 53 ans. Il venait de terminer le tournage du Cercle rouge avec Alain Delon et Yves Montand.
Derrière ses faux-airs de benêt, Bourvil a réellement marqué la chanson et le cinéma du vingtième siècle. Populaire et généreux, cet artiste unique a su apporter à son personnage de comique paysan une grande finesse. Chacun de ses rôles au cinéma a fait montre d'une grande intelligence du rôle, et ses interprétations des classiques (Marcel Aymé, Victor Hugo, Pagnol) ont marqué le public de plusieurs générations. Il fut l'un des rares à savoir teinter l'humour d'une extrême et délicate tendresse.
Citations
Les meilleures citations de Bourvil.
La tactique du gendarme c'est d'etre perspicace sous un p'tit air bonnasse.
Le public vient me voir pour rire un bon coup.
Les dégâts que j'ai causés dans cette délicate profession [ndlr, apprenti boulanger] éclipsent ceux provoqués par les inondations de 1910.
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Autres acteur francais

Acteur comique français le plus célèbre du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle, interprétant son personnage de français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux mimiques et verbigérations muettes. Il a joué dans + de 140 films dont « La Traversée de Paris (1956) », « Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) » et ses suites, la trilogie « Fantômas » (1964), « Le Corniaud » (1965), « La Grande Vadrouille » (1966), « Le Grand Restaurant » (1966), « Oscar » (1967), « Le Petit Baigneur » (1967), « Hibernatus » (1969), « La Folie des grandeurs » (1971), « Les Aventures de Rabbi Jacob » (1973), « L'Aile ou la Cuisse » (1976), « La Zizanie » (1978), « La Soupe aux choux » (1981), « L'Avare » (1980). Très peu récompensé, il reçoit seulement un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

Acteur comique français et chanteur devenu l'une des plus grandes stars du cinéma français pendant plusieurs décénnies, avant et après la Seconde Guerre mondiale. Ses films les + célèbres sont : « Le Petit Monde de don Camillo » (1952), « Le Retour de don Camillo » (1953), « La Vache et le Prisonnier » (1959) et « La Cuisine au beurre » (1963, avec Bourvil), « Le Schpountz » (1938), « L'Auberge rouge » (1951), « Ali Baba et les Quarante voleurs » (1954). Il a rendu célèbre le personnage de Don Camillo (créé en 1948 par Giovannino Guareschi). Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que « Félicie aussi » (1939), « Ignace » (1937) ou « Le Tango corse ».

Acteur français, figure incontournable du cinéma français, son physique imposant et son regard sombre lui feront incarner la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture, dans des films bien souvent dialogués par Michel Audiard. Sa filmographie de 95 films compte un nombre important de classiques comme «Le Quai des brumes» (1927), «Gueule d'amour» (1937), «Pépé le Moko» (1937), «La Bête humaine» (1938), «La Grande Illusion» (1937), «Touchez pas au grisbi» (1954), «La Traversée de Paris» (1956), «Un singe en hiver» (1962), «Le Pacha» (1968) ou «Le Chat» (1971). Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon.

Acteur français, vedette de music-hall à ses débuts, il devient grâce à Sacha Guitry un des « monstres sacrés » du cinéma français des années 1930 et de la première moitié des années 1940, devenant notamment l'interprète-fétiche de Marcel Pagnol. Il est ainsi resté dans les mémoires pour son interprétation du rôle de César, père de Marius, dans la « trilogie marseillaise » (3 pièces de théâtre de Marcel Pagnol) à savoir « Marius » (1929), « Fanny » (1931) et « César » (1936), et celle du boulanger trompé dans « La Femme du boulanger » (1938, de Marcel Pagnol).

Acteur français, César d'honneur en 1993, connu pour ses rôles dans les films : « La Belle et la Bête » (1946, fantastique, de Jean Cocteau), « Le Bossu » (1959, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitan » (1960, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitaine Fracasse » (1961, cape et d'épée) et la trilogie Fantômas avec Louis de Funès : « Fantomas » (1964), « Fantômas se déchaîne » (1965) et « Fantômas contre Scotland Yard » (1967).

Humoriste et acteur français, très populaire, il est une figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960 : il est connu pour ses rôles dans les films « Belle de jour » (1967, comédie dramatique, avec Catherine Deneuve), « La Grande Lessive (!) » (1968, comédie, avec Bourvil) ou « Les Tontons flingueurs » (1963, comédie, avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre). Il est sur scène et sur les ondes, le partenaire de Pierre Dac avec qui il créa les célèbres sketchs du « Sar Rabindranath Duval » et du « Parti d'en rire » ainsi que la série radiophonique intitulée « Signé Furax ». Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
Autres chanteur francais

Acteur comique français le plus célèbre du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle, interprétant son personnage de français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux mimiques et verbigérations muettes. Il a joué dans + de 140 films dont « La Traversée de Paris (1956) », « Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) » et ses suites, la trilogie « Fantômas » (1964), « Le Corniaud » (1965), « La Grande Vadrouille » (1966), « Le Grand Restaurant » (1966), « Oscar » (1967), « Le Petit Baigneur » (1967), « Hibernatus » (1969), « La Folie des grandeurs » (1971), « Les Aventures de Rabbi Jacob » (1973), « L'Aile ou la Cuisse » (1976), « La Zizanie » (1978), « La Soupe aux choux » (1981), « L'Avare » (1980). Très peu récompensé, il reçoit seulement un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

Acteur comique français et chanteur devenu l'une des plus grandes stars du cinéma français pendant plusieurs décénnies, avant et après la Seconde Guerre mondiale. Ses films les + célèbres sont : « Le Petit Monde de don Camillo » (1952), « Le Retour de don Camillo » (1953), « La Vache et le Prisonnier » (1959) et « La Cuisine au beurre » (1963, avec Bourvil), « Le Schpountz » (1938), « L'Auberge rouge » (1951), « Ali Baba et les Quarante voleurs » (1954). Il a rendu célèbre le personnage de Don Camillo (créé en 1948 par Giovannino Guareschi). Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que « Félicie aussi » (1939), « Ignace » (1937) ou « Le Tango corse ».

Acteur français, figure incontournable du cinéma français, son physique imposant et son regard sombre lui feront incarner la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture, dans des films bien souvent dialogués par Michel Audiard. Sa filmographie de 95 films compte un nombre important de classiques comme «Le Quai des brumes» (1927), «Gueule d'amour» (1937), «Pépé le Moko» (1937), «La Bête humaine» (1938), «La Grande Illusion» (1937), «Touchez pas au grisbi» (1954), «La Traversée de Paris» (1956), «Un singe en hiver» (1962), «Le Pacha» (1968) ou «Le Chat» (1971). Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon.

Acteur français, vedette de music-hall à ses débuts, il devient grâce à Sacha Guitry un des « monstres sacrés » du cinéma français des années 1930 et de la première moitié des années 1940, devenant notamment l'interprète-fétiche de Marcel Pagnol. Il est ainsi resté dans les mémoires pour son interprétation du rôle de César, père de Marius, dans la « trilogie marseillaise » (3 pièces de théâtre de Marcel Pagnol) à savoir « Marius » (1929), « Fanny » (1931) et « César » (1936), et celle du boulanger trompé dans « La Femme du boulanger » (1938, de Marcel Pagnol).

Acteur français, César d'honneur en 1993, connu pour ses rôles dans les films : « La Belle et la Bête » (1946, fantastique, de Jean Cocteau), « Le Bossu » (1959, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitan » (1960, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitaine Fracasse » (1961, cape et d'épée) et la trilogie Fantômas avec Louis de Funès : « Fantomas » (1964), « Fantômas se déchaîne » (1965) et « Fantômas contre Scotland Yard » (1967).

Humoriste et acteur français, très populaire, il est une figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960 : il est connu pour ses rôles dans les films « Belle de jour » (1967, comédie dramatique, avec Catherine Deneuve), « La Grande Lessive (!) » (1968, comédie, avec Bourvil) ou « Les Tontons flingueurs » (1963, comédie, avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre). Il est sur scène et sur les ondes, le partenaire de Pierre Dac avec qui il créa les célèbres sketchs du « Sar Rabindranath Duval » et du « Parti d'en rire » ainsi que la série radiophonique intitulée « Signé Furax ». Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
Autres comique (hommes) francais

Acteur comique français le plus célèbre du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle, interprétant son personnage de français moyen impulsif, râleur, au franc-parler parfois dévastateur, aux mimiques et verbigérations muettes. Il a joué dans + de 140 films dont « La Traversée de Paris (1956) », « Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) » et ses suites, la trilogie « Fantômas » (1964), « Le Corniaud » (1965), « La Grande Vadrouille » (1966), « Le Grand Restaurant » (1966), « Oscar » (1967), « Le Petit Baigneur » (1967), « Hibernatus » (1969), « La Folie des grandeurs » (1971), « Les Aventures de Rabbi Jacob » (1973), « L'Aile ou la Cuisse » (1976), « La Zizanie » (1978), « La Soupe aux choux » (1981), « L'Avare » (1980). Très peu récompensé, il reçoit seulement un César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 1980.

Acteur comique français et chanteur devenu l'une des plus grandes stars du cinéma français pendant plusieurs décénnies, avant et après la Seconde Guerre mondiale. Ses films les + célèbres sont : « Le Petit Monde de don Camillo » (1952), « Le Retour de don Camillo » (1953), « La Vache et le Prisonnier » (1959) et « La Cuisine au beurre » (1963, avec Bourvil), « Le Schpountz » (1938), « L'Auberge rouge » (1951), « Ali Baba et les Quarante voleurs » (1954). Il a rendu célèbre le personnage de Don Camillo (créé en 1948 par Giovannino Guareschi). Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que « Félicie aussi » (1939), « Ignace » (1937) ou « Le Tango corse ».

Acteur français, figure incontournable du cinéma français, son physique imposant et son regard sombre lui feront incarner la plupart du temps des rôles de truands ou de policiers, toujours avec la même droiture, dans des films bien souvent dialogués par Michel Audiard. Sa filmographie de 95 films compte un nombre important de classiques comme «Le Quai des brumes» (1927), «Gueule d'amour» (1937), «Pépé le Moko» (1937), «La Bête humaine» (1938), «La Grande Illusion» (1937), «Touchez pas au grisbi» (1954), «La Traversée de Paris» (1956), «Un singe en hiver» (1962), «Le Pacha» (1968) ou «Le Chat» (1971). Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon.

Acteur français, vedette de music-hall à ses débuts, il devient grâce à Sacha Guitry un des « monstres sacrés » du cinéma français des années 1930 et de la première moitié des années 1940, devenant notamment l'interprète-fétiche de Marcel Pagnol. Il est ainsi resté dans les mémoires pour son interprétation du rôle de César, père de Marius, dans la « trilogie marseillaise » (3 pièces de théâtre de Marcel Pagnol) à savoir « Marius » (1929), « Fanny » (1931) et « César » (1936), et celle du boulanger trompé dans « La Femme du boulanger » (1938, de Marcel Pagnol).

Acteur français, César d'honneur en 1993, connu pour ses rôles dans les films : « La Belle et la Bête » (1946, fantastique, de Jean Cocteau), « Le Bossu » (1959, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitan » (1960, cape et d'épée, avec Bourvil), « Le Capitaine Fracasse » (1961, cape et d'épée) et la trilogie Fantômas avec Louis de Funès : « Fantomas » (1964), « Fantômas se déchaîne » (1965) et « Fantômas contre Scotland Yard » (1967).

Humoriste et acteur français, très populaire, il est une figure emblématique de la scène et du cinéma français des années 1950 et 1960 : il est connu pour ses rôles dans les films « Belle de jour » (1967, comédie dramatique, avec Catherine Deneuve), « La Grande Lessive (!) » (1968, comédie, avec Bourvil) ou « Les Tontons flingueurs » (1963, comédie, avec Lino Ventura, Bernard Blier et Jean Lefebvre). Il est sur scène et sur les ondes, le partenaire de Pierre Dac avec qui il créa les célèbres sketchs du « Sar Rabindranath Duval » et du « Parti d'en rire » ainsi que la série radiophonique intitulée « Signé Furax ». Il fut également l'auteur de farces téléphoniques hilarantes qui furent diffusées régulièrement à la radio dans les années 1960.
Autres points communs avec Bourvil
Un acteur qui ma fait pleuré et rire, un très grand monsieur.
Plus qu'un comique, un vrai artiste capable de faire rire et de faire pleurer. Comme sur scène, il était dans la vie doux et bon.
Merveilleux chanteur, merveilleux acteur, merveilleux humoriste, merveilleuse personne! Je suis fan depuis toute petite!