Diane Keaton

 
Diane Keaton
1946 - 2025
 

Actrice américaine, célèbre pour ses rôles dans des films cultes des années 1970 et 1980 dont "Annie Hall" (de Woody Allen) qui lui a valu un Oscar de la meilleure actrice. Elle a souvent collaboré avec des réalisateurs prestigieux comme Francis Ford Coppola dans "Le Parrain".

Nationalité américaine Américaine, née le 5 janvier 1946 et morte le 11 octobre 2025

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Biographie

Diane Keaton, née Diane Hall le 5 janvier 1946 à Los Angeles et morte le 11 octobre 2025 en Californie, est une actrice, réalisatrice, productrice américaine. Parmi les grandes actrices du cinéma américain, Diane Keaton se distingue par ses rôles dans des œuvres comiques et dramatiques, aussi bien sur scène qu’à l’écran. Elle est célèbre pour ses rôles dans des films cultes des années 1970 et 1980. Elle a notamment marqué le cinéma avec son interprétation dans "Annie Hall" de Woody Allen, qui lui a valu un Oscar de la meilleure actrice. Son style vestimentaire unique, mélangeant élégance masculine et excentricité, a également fait d’elle une icône de mode. Elle a souvent collaboré avec des réalisateurs prestigieux comme Francis Ford Coppola dans Le Parrain. En plus d’être actrice, Diane Keaton est aussi réalisatrice et productrice, reconnue pour son indépendance et son originalité.

Jeune fille, elle commence sa carrière sur scène dans les années 1960 et fait ses débuts à l'écran en 1970. Son premier rôle majeur au cinéma lui est alors attribué par Francis Ford Coppola grâce auquel elle interprète le rôle de Kay Adams-Corleone dans Le Parrain. Mais les films qui marquent le début de sa carrière sont ceux du réalisateur et acteur Woody Allen : Tombe les filles et tais-toi en 1972, Woody et les Robots en 1973 ainsi que Guerre et Amour en 1975. Les longs métrages du cinéaste imposent Keaton en tant qu'actrice comique. En 1978, Annie Hall lui vaut même l'Oscar de la meilleure actrice.

Mais Diane Keaton amène sa carrière cinématographique vers d'autres genres afin de ne pas être cataloguée comme actrice de comédie. Elle change donc de registre et devient une interprète dramatique accomplie grâce au film À la recherche de Mister Goodbar. En 1982 et 1997, elle reçoit une nomination aux Oscars pour Reds et Simples Secrets. Artiste reconnue, la filmographie de Diane Keaton ne cesse de s'accroître avec des films comme Baby Boom, Le Père de la mariée, Le Club des ex, Tout peut arriver, ou encore Esprit de famille. En plus de sa carrière filmique, Diane Keaton possède divers passe-temps : elle est à l'occasion photographe, promoteur immobilier, écrivain et chanteuse. Égérie de L'Oréal depuis 2006, son style extravagant inspire le monde de la mode au cinéma.

Diane Hall, née en Californie, est l'aînée d'une famille de quatre enfants : son frère Randy est né en 1948 et ses deux soeurs Robin et Dorrie en 1951 et en 1953. Leur père, Jack Hall originaire d'Irlande (1921–1990), est un ingénieur en génie civil de religion catholique. La jeune Diane est pourtant élevée à la manière des méthodistes par sa mère, Dorothy (née Keaton, 1921–2008), femme au foyer et photographe amatrice. Lorsque Diane voit sa mère remporter le titre de « Mrs. Los Angeles » à un concours de beauté pour les femmes au foyer, elle rêve de devenir une actrice. Aimant le goût de la théâtralité, Diane Hall admire Katharine Hepburn pour son caractère fort et indépendant et la désigne alors comme l'une de ses inspirations.

Motivée, la future comédienne obtient son diplôme en 1963, à la Santa Ana High School de Santa Ana, en Californie. Là-bas, elle intègre un club de chant et de théâtre. Elle participe à de nombreuses productions scolaires et joue notamment le rôle de Blanche DuBois dans Un tramway nommé Désir. Après ses premiers diplômes, elle étudie au Santa Ana College puis c'est à l'Orange Coast College d'Orange, en Californie, qu'elle suit des cours de théâtre. Au bout d'un an d'études, Diane Hall quitte l'école pour poursuivre une carrière dans le divertissement, à Manhattan. Une fois sur place, elle intègre un syndicat professionnel de comédiens appelé Actors' Equity Association. La jeune femme choisit de prendre le nom de jeune fille de sa mère : Keaton, car, une coïncidence veut qu'une autre Diane Hall fait déjà partie de l'association. Celle qu'on appelle maintenant Diane Keaton travaille aussi comme chanteuse dans une boîte de nuit pour combler son manque d'argent.

Après une longue collaboration avec l'Actors' Equity Association, Diane Keaton ne renonce pas à ses projets et rejoint la Neighborhood Playhouse, à New York. Dans cette école d'art dramatique, elle apprend à perfectionner son jeu de scène grâce à une méthode appelée technique de Meisner. Ce procédé mis en place dans les années 1930 permet à la comédienne d'être plus crédible et convaincante face à son public. En 1968, Diane Keaton obtient son diplôme d'art dramatique et arrête ses études pour accompagner la troupe de la comédie musicale Hair, à Broadway. N'ayant pas voulu se dévêtir à la fin du premier acte dans le rôle de Sheila, la jeune femme acquit une certaine notoriété. Mais elle aurait pu gagner 50 $ de plus sur son salaire. Neuf mois plus tard, après avoir joué sans interruption à Broadway, Diane Keaton est auditionnée en automne 1968 pour un rôle dans une nouvelle production de Woody Allen s'intitulant Play It Again, Sam (Une aspirine pour deux). L'actrice a failli ne pas être sélectionnée dans la distribution à cause de sa grande taille : 1,73 m (5′ 8″). Dans le même temps, Diane Keaton ne le sait pas, mais sa carrière cinématographique va bientôt être lancée.

Dans les années 1970, Diane Keaton est au sommet de sa popularité. Nominée pour le Tony Award du Meilleur second rôle féminin dans la pièce de théâtre Play It Again, Sam, elle est sollicitée par des producteurs de télévision pour quelques apparitions dans des séries télévisées et une publicité. Elle devient ensuite la muse de deux jeunes réalisateurs : Francis Ford Coppola et Woody Allen. Le premier la révèle au grand public et le deuxième en fait une actrice à part entière, dont le talent est salué par l'ensemble des critiques.

En 1972, Diane Keaton débute au cinéma dans Le Parrain, blockbuster de Francis Ford Coppola, où elle joue le rôle de Kay Adams, petite amie de Michael Corleone – joué par Al Pacino. Auparavant, elle est remarquée par ce réalisateur dans le film Lune de miel aux orties. Coppola choisit cette actrice pour sa réputation de femme excentrique, un caractère qu'il veut retrouver dans son personnage. Diane Keaton mène cette interprétation en s'appuyant sur son expérience féminine durant le tournage. Comme Kay Adams, c'est « une femme dans un monde d'hommes ». Le Parrain connaît un grand succès critique et financier, couronné par l'Oscar du meilleur film en 1973.

Un an après cette réussite, elle doit reprendre son rôle pour le second volet de la saga. Mais l'actrice est réticente à retourner sur les plateaux de tournage. C'est en lisant le scénario de Francis Ford Coppola qu'elle change d'avis : « J'étais sceptique à l'idée de jouer à nouveau dans la suite du Parrain. Mais quand j'ai lu le scénario, le personnage me semblait beaucoup plus important que dans le premier film », a-t-elle déclaré lors d'une interview. Dans Le Parrain 2, Kay Adams devient la femme de Michael Corleone, le nouveau parrain. Rendue aigrie par les activités de son mari, Kay Adams-Corleone n'est plus la même dans cette deuxième partie. Pourtant, ce changement n'empêche pas certains magazines comme Time d'écrire : « [Diane Keaton est] invisible dans Le Parrain et livide dans Le Parrain 2 ». Plus tard, l'actrice reconnaît finalement que ce rôle n'a pas été enrichissant. Elle le résume « à l'image d'une femme debout dans un couloir, attendant la permission de voir son mari ».

La vie et la carrière de Diane Keaton prennent un véritable tournant le jour de sa rencontre avec le jeune réalisateur new-yorkais Woody Allen. L'actrice tombe amoureuse de son charme et de son talent. Aujourd'hui, même si leur amour a pris fin, leurs collaborations filmiques ont obtenu et arborent toujours un grand succès. Allen l'a lui-même avoué : « Diane Keaton a été ma muse quand j'ai commencé mon métier ».

En 1972, elle joue dans l'adaptation cinématographique de Play It Again, Sam, Tombe les filles et tais-toi, sur un scénario de Woody Allen, mais réalisé par Herbert Ross. L'année suivante, elle prête ses traits à Luna Schlosser, une héroïne à la Buster Keaton dans Woody et les Robots. Les deux comédies sont bien reçues par les critiques et par le public. En 1975, Guerre et Amour est considéré comme le film le plus drôle de Woody Allen par la plupart des professionnels du cinéma. Diane Keaton y joue le personnage de Sonja, une jeune russe aux opinions philosophiques inexorables. D'après Roger Ebert, c'est la première fois que l'actrice apporte autant d'essence à un rôle.

Lorsque Woody Allen et Diane Keaton tournent Annie Hall au printemps de l'année 1976, ils ne s'attendent pas au triomphe qui va les submerger. À l'époque, le réalisateur écrit une comédie romantique basée sur la vie de sa compagne, dont il s'est séparée depuis deux ans. Ses habitudes, sa personnalité et surtout, son style vestimentaire, façonnent le personnage d'Annie Hall. Même le nom de l'actrice est exploité : Annie – son surnom, Hall – son véritable nom de famille. Diane Keaton parle de son rôle comme d'une « version idéalisée » d'elle-même. En 1977, toutes les critiques se réjouissent de ce film : The New York Times écrit que « la caméra [de Woody Allen] fait ressortir la beauté et les ressources émotionnelles [de Diane Keaton], ce qui aurait pu échapper à d'autres réalisateurs », tandis qu'Emmanuel Carrère de Positif affirme que le long métrage est « rigoureux et maîtrisé ». Annie Hall affiche une recette de 38 251 425 $ aux États-Unis et remporte quatre Oscars en 1978, dont celui du Meilleur film. La performance de Diane Keaton lui vaut l'Oscar de la meilleure actrice. Vingt ans plus tard, CNN revient sur son interprétation et la qualifie de « maladroite et timide ». En 2006, pourtant, le magazine américain Premiere l'inclut à la 60e place des « 100 Meilleures Performances de tous les temps ». Pour Diane Keaton, être sacrée meilleure actrice a été une injustice. Néanmoins, elle reste fière d'avoir joué dans ce qu'elle appelle « une Grande comédie américaine ».

En 1978, Intérieurs réunit Diane Keaton, Mary Beth Hurt et Geraldine Page pour le premier film dramatique de Woody Allen. En changeant de genre, le réalisateur est accusé de berner le public. Les critiques sont alors mitigées. Mais Allen renoue rapidement avec le succès. En 1979, Manhattan marque l'avant dernière collaboration entre le cinéaste et Diane Keaton. Ce film est le plus symbolique de leur carrière. Il est l'apologie de New York, la ville qui a changé leur vie professionnelle à jamais.

« La femme la plus drôle du cinéma contemporain est Diane Keaton ». C'est ainsi que Time définit une actrice comique confirmée depuis Annie Hall. Pourtant, les tragédies n'ont pas fait défaut à Diane Keaton. Au début de la décennie précédente, Le Parrain a dévoilé ses capacités et en 1977, le drame de Richard Brooks, À la recherche de Mister Goodbar, les a crédibilisées. Dans ce film, Theresa, son personnage, éduque des enfants sourds dans une école catholique le jour, et fréquente des bars pour satisfaire son besoin excessif de sexualité la nuit. L'interprétation de l'actrice a été motivée par les arguments psychologiques de l'histoire. Le même article du Time n'a pas oublié de le préciser, il s'agit malgré tout d'un rôle rare et limité pour une femme dans le cinéma américain. Après Intérieurs de Woody Allen, la comédienne laisse libre cours à ses envies de tragédienne dans les années 1980.

En 1978, Diane Keaton fréquente le réalisateur et acteur Warren Beatty. Surnommé « Mister Hollywood » par les journalistes du Time, l'homme jouit d'une importante célébrité aux États-Unis. Deux ans après leur rencontre, Beatty propose à sa petite amie du moment de jouer à ses côtés dans Reds, un film qu'il scénarise et met en scène. Diane Keaton accepte le rôle de Louise Bryant, une journaliste et féministe américaine. Résignée à quitter son mari, elle part travailler avec l'écrivain extrémiste John Reed – joué par Beatty – sur ses chroniques de la Révolution russe. The New York Times écrit à propos de Keaton qu'elle n'est « rien de moins que superbe en Louise Bryant. Belle, égoïste, drôle et entraînante : c'est le meilleur travail qu'elle ait accompli à ce jour ». L'actrice est nommée une deuxième fois pour l'Oscar de la meilleure actrice, en 1982. Son idole, Katharine Hepburn, remporte le trophée à sa place pour La Maison du lac.

Warren Beatty a choisi Keaton après l'avoir vu sous l'apparence d'une femme nerveuse dans Annie Hall. Mais cette nervosité a été aussi mise à l'épreuve dans la réalité. Lors du tournage de Reds, retardé plusieurs fois en 1977 à cause de problèmes scénaristiques, l'actrice a failli quitter le projet croyant qu'il ne serait jamais produit. Il faut attendre deux ans pour que le film soit enfin tourné. Dans une interview de Vanity Fair, en 2006, Diane Keaton revient sur son rôle : « Bryant est un quidam qui se considère extraordinaire mais qui est finalement très ordinaire. Je connais ce sentiment d'anxiété ». L'assistant réalisateur du film, Simon Relph, dit que Louise Bryant fut le rôle le plus difficile de Keaton et « [qu'elle] n'en était pas sortie indemne ».

En 1982, Diane Keaton s'impose en actrice dramatique dans L'Usure du temps d'Alan Parker. Puis, en 1984, elle joue dans son premier thriller : La Petite Fille au tambour. Ce film, inspiré du roman éponyme de John le Carré, se solde par un échec financier et critique. Certains journalistes désapprouvent la présence de Keaton dans ce genre de production, comme Stanley Kauffmann de la revue New Republic, qui la considère peu convaincante et inappropriée. Mais la même année, elle regagne la faveur des critiques et du public grâce à sa performance dans Mrs. Soffel de Gillian Armstrong. L'histoire vraie d'une femme, amoureuse d'un prisonnier et prête à tout pour le faire évader, permet à l'actrice d'être nommée pour le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique, en 1985.

Au milieu de la décennie, Diane Keaton se lasse de jouer la tragédie et veut reprendre le chemin de la comédie. Après plusieurs projets abandonnés, elle se réjouit de tourner dans Crimes du coeur et Baby Boom. Le premier film, réalisé par Bruce Beresford, n'est pas un grand succès tandis que le deuxième, écrit et produit par Nancy Meyers, relance la carrière de l'actrice. En 1987, elle accepte aussi de faire un caméo dans Radio Days de Woody Allen. Le réalisateur tient à lui faire chanter You'd Be So Nice to Come Home To de Cole Porter, une chanson particulièrement marquante dans son long métrage. Avec Le Prix de la passion, en 1988, Diane Keaton se plonge à nouveau dans un drame signé Leonard Nimoy. Le film est encore une déception et l'actrice le conçoit : « c'est un gros échec, mais alors un GROS échec ». Une critique du Washington Post n'hésite pas à dire que « son jeu dégénère en battage, comme si elle essayait de vendre une idée sans en être convaincue ».

Diane Keaton résume sa carrière à celle d'une médiocre vedette de cinéma. Son évolution cinématographique décousue est parsemée de hauts et de bas depuis que Woody Allen et Warren Beatty n'ont pas écrit et réalisé pour elle. Elle prend alors la décision de monter son propre film. Un documentaire traitant de la vie après la mort fait partie des projets qui lui tiennent à coeur depuis longtemps. Elle réalise Heaven en 1987 (Paradis en français) qui présente les opinions religieuses de plusieurs personnes, qu'elles soient connues ou non, sous forme d'interviews. À la sortie du film, les critiques sont mitigées. Si The New York Times le juge « futile », Rob Gonsalves du site efilmcritic.com affirme vingt ans plus tard qu'il s'agit de « la plus grande réalisation [de Diane Keaton] », le comparant à Looking for Richard d'Al Pacino. Indépendamment des critiques, cette première expérience en tant que réalisatrice a satisfait Diane Keaton. Elle voit désormais sa carrière sous un meilleur jour.

Dans les années 1990, Diane Keaton est l'actrice la plus populaire et versatile de Hollywood. Devenue plus mûre, la quadragénaire s'adonne maintenant à des rôles matures, comme celui d'une mère de famille dans Le Père de la mariée et Le Club des ex. Elle ne souhaite plus se soumettre à un genre ou un personnage : « Le plus souvent, un rôle particulier vous fait florès et boom ! Vous avez des tas d'opportunités, tous pour des rôles similaires... J'ai essayé de me libérer de ces rôles habituels pour me consacrer à des choses bien plus différentes » a-t-elle déclaré.

En 1989, Diane Keaton s'engage dans la fonction de productrice avec une comédie dramatique intitulée The Lemon Sisters. Une fois produit et réalisé, le film est mis en suspens pendant un an. Lorsqu'il est enfin projeté sur les écrans américains en août 1990, The Lemon Sisters échoue au box-office. Cet insuccès motive l'actrice. Elle s'oriente alors vers la réalisation, un domaine apprécié depuis son court métrage Heaven. Après avoir achevé un épisode de China Beach et de Twin Peaks, on propose à Diane Keaton de réaliser un téléfilm. En 1991, elle signe La Petite Sauvage pour la chaîne Lifetime, offrant ainsi à Reese Witherspoon son premier rôle à la télévision.

Durant cette même année, Keaton revient devant la caméra de Charles Shyer. Quatre ans après Baby Boom (1987), elle partage l'affiche du Père de la mariée au côté de Steve Martin. Seulement, tout n'est pas simple : en raison de l'échec commercial du Prix de la passion, l'actrice est éloignée du tournage pendant quelque temps. Diane Keaton est en froid avec Walt Disney Pictures, le studio de production de ces deux films. Un accord est finalement trouvé. Le Père de la mariée recueille un vif succès et l'actrice renoue avec la réussite. Quatre ans plus tard, elle réinterprète le rôle de Nina Banks dans la suite du Père de la mariée. Son personnage est au coeur de la nouvelle intrigue : Nina tombe enceinte en même temps que sa fille. Une critique du San Francisco Examiner compare alors Keaton à Katharine Hepburn : « Dans les années 1970, ses personnages n'étaient pas anodins. Diane Keaton s'est changée en Katherine Hepburn. Désormais, c'est une actrice brillante et intelligente qui possède un profond instinct maternel. Elle n'a pas besoin d'être impérieuse ou nerveuse pour prouver son féminisme ».

Dans les années 1990, Diane Keaton renoue avec « ses personnages [...] pas anodins ». Ainsi, elle revêt une troisième fois le costume de Kay Adams, dans la dernière partie du Parrain. Vingt ans après Le Parrain 2, son personnage évolue encore : Kay s'est séparée de Michael Corleone. Mais, à nouveau, les critiques et l'actrice pointent du doigt l'insignifiance de son personnage dans ce film. The Washington Post écrit : « Même si son rôle est autoritaire, Keaton souffre terriblement de n'avoir aucune fonction réelle ; sauf celle d'agacer Michael pour ses péchés passés ». Puis, en 1993, elle retrouve Woody Allen. Tous les deux partagent l'affiche de la comédie policière Meurtre mystérieux à Manhattan. Sur le tournage, Diane Keaton a l'impression de revivre l'époque d'Annie Hall. À l'origine, son rôle devait être joué par Mia Farrow, mais celle-ci a abandonné le projet après sa rupture avec Allen. Depuis, Diane Keaton n'a plus jamais collaboré ni avec Francis Ford Coppola, ni avec Woody Allen. Néanmoins, elle reste très proche de ce dernier.

Pendant cette même période, Diane Keaton redevient réalisatrice et tourne son premier long métrage. Son film, Les Liens du souvenir, est adapté d'un roman autobiographique de Franz Lidz. L'histoire raconte la détermination d'un jeune garçon, Steven, et de sa mère – jouée par Andie MacDowell – malade d'un cancer. La voyant affaiblie, Steven sait qu'il ne peut compter que sur lui. Son père – joué par John Turturro – le délaisse. L'enfant est alors contraint de vivre chez deux oncles désaxés. Keaton a été très émue par cette oeuvre.

Le 24 janvier 1996, Les Liens du souvenir sort en France. Auparavant, ce film est nommé au Festival de Cannes en 1995 dans la sélection Un certain regard. Aux dires de Diane Keaton : « Cannes m'a fait l'effet d'une scène spectaculaire ». La revue de presse L'Avant-scène cinéma est favorable : « Diane Keaton présente là un très beau moment d'amour ». Finalement, son film est seulement nominé pour un Oscar de la meilleure musique. Aux États-Unis, les projections accueillent peu de spectateurs.

En 1996, Diane Keaton devient une actrice honorée grâce un succès inattendu : Le Club des ex. Dans cette comédie, elle joue aux côtés de Goldie Hawn et Bette Midler. Ce trio de cinquantenaires interprète le rôle d'épouses quittées par leurs maris pour des femmes plus jeunes. Keaton affirme que ce film a « sauvé [sa] vie ». Énorme succès au box-office nord-américain, avec une recette de 105 millions de dollars, Le Club des ex constitue un véritable culte parmi les femmes quinquagénaires. Les avis sur le film sont généralement positifs pour Keaton et ses camarades, le San Francisco Chronicle évoque même « la possibilité que Diane Keaton [soit l'une des] meilleures actrices comiques en vie ». En 1997, Keaton, ainsi que Hawn et Midler, sont récipiendaires du Women in Film Crystal Award. Le trophée honore « des femmes remarquables qui, par la force et l'excellence de leur travail, ont contribué à accroître le rôle des femmes dans l'industrie du divertissement ».

À la fin de l'année 1996, Diane Keaton devient Bessie, une femme souffrant de leucémie dans le film Simples Secrets. À l'origine, c'est Meryl Streep qui est pressentie pour interpréter ce personnage. Mais cette même actrice est finalement choisie pour le rôle de sa soeur, Lee. L'histoire tourne autour des deux femmes et de leur relation avec Hank, le fils de Lee, joué par Leonardo DiCaprio. Depuis longtemps, Meryl Streep est admirative du travail de Diane Keaton. Pendant la distribution du film, alors que Streep est nommée une huitième fois pour le Golden Globe de la meilleure actrice dans un film dramatique, Keaton, elle, est nommée une troisième fois pour l'Oscar de la meilleure actrice. Aucune des deux femmes ne remporte une récompense. Malgré tout, Diane Keaton gagne en notoriété. Le caractère désabusé du personnage a toutefois été difficile à cerner pour l'actrice.

Diane Keaton confirme encore qu'elle est une femme polyvalente durant les années 2000. Elle n'abandonne pas son métier d'actrice, malgré ses bons et mauvais choix filmiques, et reste aussi active dans le domaine de la réalisation. Keaton ne renonce pas non plus à ses facultés de productrice : en 2001, elle produit treize épisodes de la série télévisée Pasadena et en 2003, elle contribue à la production du film Elephant de Gus Van Sant.

Dès le début de cette décennie, Diane Keaton réalise et se met en scène dans Raccroche !. Pourtant, dans une interview de 1996, elle manifeste contre le fait de jouer dans son propre film : « Je ne peux pas penser à diriger quand je suis devant la caméra ». Raccroche ! est une comédie dramatique qui s'intéresse à la vie de trois soeurs confrontées à la sénilité et la mort éventuelle de leur père, joué par Walter Matthau. Le film n'est pas encensé par les critiques qui, pour la plupart, parlent d'un « lourd pensum empli de pathos ».

En 2001, Diane Keaton et Warren Beatty sont réunis pour la deuxième fois à l'écran dans Potins mondains et Amnésies partielles. Mais encore une fois, le succès n'est pas au rendez-vous : le film est un échec critique et commercial. Le mensuel américain Rolling Stone prend le risque de dire que « le film cadavérique emporte dans sa tombe la réputation de son casting étoilé, dont font partie Warren Beatty et Diane Keaton ». En France, la revue Cahiers du cinéma ne modère pas non plus son opinion, c'est : « un mélange de dévoiements névrotiques et d'hystérie quinquagénaire ». À la même période, Keaton met de côté ses projets cinématographiques pour tourner dans quatre téléfilms à petit budget. Elle joue une religieuse fanatique dans le drame Et Dieu créa Soeur Mary, puis une mère désespérée dans Vivre malgré tout et Parlez-moi de Sara. En 2003, dans Destins croisés, elle lie une amitié inhabituelle avec une détenue prête à être exécutée : Karla Faye Tucker.

Après ses projets télévisés, c'est en 2007 qu'elle s'oriente vers deux comédies intitulées Because I Said So et Mama's Boy. Dans la comédie romantique Because I Said So, Keaton joue le rôle d'une mère divorcée. Elle s'obstine à vouloir fiancer sa fille Milly, jouée par Mandy Moore. Le film obtient une écrasante majorité de mauvaises critiques : The Boston Globe parle même « d'une mauvaise cuvette pour nanas en manque de clichés ». De son côté, Diane Keaton n'est pas épargnée. Elle reçoit sa première nomination pour le Razzie Award de la pire actrice. Dans Mama's Boy, l'actrice prête encore ses traits à une mère célibataire, forcée de vivre avec son fils égocentrique de ving-neuf ans. Premier long métrage du réalisateur Tim Hamilton, Mama's Boy est une comédie indépendante. Malgré ses acteurs de renom (Jon Heder, Jeff Daniels et Eli Wallach), le film récolte de nombreuses critiques négatives.

En 2008, Dax Shepard et Liv Tyler jouent au côté de Diane Keaton dans Smother, un drame de Vince Di Meglio. Keaton y retrouve son rôle de prédilection : celui d'une ex-femme qui vit chez son fils et sa petite amie. Comme pour Because I Said So et Mama's Boy, le film reçoit des critiques défavorables. L'actrice est à nouveau rejetée, Sandra Hall du New York Post écrit : « La carrière de Diane est mourante [...] cette fois, malheureusement, elle est allée trop loin. Elle s'est transformée en une mère risible ». Toujours en 2008, Keaton apparaît dans la comédie policière Mad Money avec Katie Holmes et Queen Latifah. Le film, inspiré d'un téléfilm britannique intitulé Hot Money, tourne autour de trois employées de la Réserve fédérale des États-Unis. Elles décident un jour de dérober tout l'argent de la banque, au risque de se faire repérer. Le public répond présent alors que les critiques dénigrent le film. Aux États-Unis, le New York Post l'inclut dans le « Top 10 des pires films de l'année 2008 ». En France, toutefois, certains journalistes accueillent le film avec enthousiasme : Le Parisien se réjouit de « trois actrices décoiffantes » et Brazil parle d'une « une mise en scène impeccable ».

Mais les années 2000 réconcilient aussi Diane Keaton avec des films populaires. En 2003, Nancy Meyers lui offre le rôle principal de Tout peut arriver, une comédie romantique avec Jack Nicholson. L'actrice est à la fois surprise et avisée, elle confie à la réalisatrice : « Attends une minute ! Jack Nicholson ? ». Les deux comédiens sont respectivement âgés de cinquante-sept et soixante-six ans. Le film peut paraître démodé, mais Keaton s'en défend : « Regardons les choses en face, les gens de mon âge et de l'âge de Jack sont beaucoup plus profonds, beaucoup plus émouvants, car ils possèdent une grande expérience de la vie. Ils ont leurs propres idées de la passion et de l'espoir, pourquoi ne devraient-ils pas tomber amoureux ? Pourquoi ne pas montrer ce genre de choses au cinéma ? ». Tout peut arriver montre comment une femme d'âge mûre tombe amoureuse du petit ami de sa fille : un sexagénaire exubérant. Lors de la scène du premier baiser entre les deux amants, Keaton est très troublée. Dès qu'elle embrasse Jack Nicholson, elle oublie la totalité de son texte. À son contact, l'actrice « revit l'exaltation du premier amour », mais elle ne concrétise pas une relation pour autant.

Le film remporte un important succès au box-office international. En France, au bout de trois semaines, il cumule 682 712 entrées. Les critiques françaises sont ravies, selon L'Express : « Keaton, [en] Annie Hall mûrie, [...] est irrésistible de beauté ». En 2004, elle est nommée une quatrième fois pour l'Oscar de la meilleure actrice et remporte le Golden Globe et le Satellite Award de la Meilleure actrice dans une comédie.

En 2005, Diane Keaton est entourée de Sarah Jessica Parker, Claire Danes, Rachel McAdams et Craig T. Nelson dans un autre film populaire : Esprit de famille. Keaton y joue le rôle d'une matriarche originaire de Nouvelle-Angleterre. Récemment soignée d'un cancer du sein, elle décide, comme chaque année, de réunir sa famille à l'occasion des vacances de Noël. Écrit et réalisé par Thomas Bezucha, Esprit de famille récolte 92,2 millions de dollars dans le monde. Les critiques ne sont pas minimes : du côté de Télérama, on observe « un joli portrait choral, où chacun joue sa partition avec tact et talent » et, du côté de Rolling Stone, on ajoute : « Keaton, comme une magicienne, mélange humour et chagrin pour honorer le film avec une grâce qui reste gravée dans les mémoires ».

En 2007, l'ensemble de sa carrière est finalement récompensé par un hommage au Lincoln Center de New York. Diane Keaton entre ainsi dans la famille des artistes de légende, comme Elizabeth Taylor en 1986 et Jane Fonda en 2001.

Après six semaines de tournage à New York, Diane Keaton revient sur les écrans de cinéma dans Morning Glory. Cette comédie, réalisée par Roger Michell en 2010, est également menée par Rachel McAdams et Harisson Ford, un acteur légendaire aux yeux de Keaton. L'histoire est celle d'une jeune productrice, persuadée qu'elle peut redorer l'image de l'émission matinale d'une chaîne de télévision américaine. Keaton et Ford sont les deux présentateurs vedettes de cette matinale. Diane décrit son rôle comme « celui d'une femme que l'on adore détester ». Son personnage de speakerine est prêt à tout pour faire remonter l'audience du programme. Le film, inspiré d'une pièce de théâtre de Neil Simon et intitulée The Sunshine Boys, reçoit un succès pondéré au box-office international. Certaines critiques trouvent que Diane Keaton est sous-exploitée dans ce film, mais d'autres, comme Aurélien Ferenczi, pense qu'elle est « parfaite en Catherine Ceylac américaine ».

À la fin de l'année 2010, Keaton rejoint la production de Freeway et nous, une comédie de Lawrence Kasdan. Le film, tourné dans l'Utah, inclut Kevin Kline et Dianne Wiest. Aux États-Unis, le film sort en 2012, alors qu'en France, aucune date n'est prévue. En 2011, Diane Keaton doit jouer pour la première fois un rôle récurrent dans une série télévisée. Le projet, Tilda, est finalement abandonné à cause de conflits entre scénaristes et producteurs. Finalement, seul l'épisode pilote est diffusé sur HBO comme un téléfilm. Mais rien n'empêche l'actrice de continuer sa carrière au cinéma. En 2013, elle partage l'affiche d'Un grand mariage avec Susan Sarandon et Robert De Niro. Ce film est le remake de Mon frère se marie, un long métrage français réalisé en 2006 par Jean-Stéphane Bron. Malgré son importante distribution, Un grand mariage séduit peu de critiques. L'Express estime que Hollywood « offre peu de rôles à ses grandes stars ». Interrogée par Paris Match, Diane Keaton ignore ces échecs rencontrés depuis le début des années 2000 en précisant que « le cinéma n'est plus toute [sa] vie ».

En 2013, elle partage l'affiche d'Un grand mariage avec Susan Sarandon et Robert De Niro. Ce film est le remake de Mon frère se marie, un long métrage français réalisé en 2006 par Jean-Stéphane Bron. Malgré son importante distribution, Un grand mariage séduit peu de critiques. L'Express estime que Hollywood « offre peu de rôles à ses grandes stars ». Interrogée par Paris Match, Diane Keaton ignore ces échecs rencontrés depuis le début des années 2000 en précisant que « le cinéma n’est plus toute [sa] vie ».

Même si le cinéma n'est plus aussi important pour elle, Diane Keaton n'arrête pas pour autant de tourner des films. Ainsi, en 2014, l'actrice participe à deux longs métrages : Ainsi va la vie de Rob Reiner et Ruth et Alex de Richard Loncraine. Dans le premier, Diane Keaton incarne Leah, la voisine d'un agent immobilier aigri, joué par Michael Douglas. Selon un journaliste de Positif, « Michael Douglas et Diane Keaton sont excellents dans les deux rôles principaux. » Dans Ruth et Alex, Diane Keaton et Morgan Freeman forment un couple de retraités qui décide de vendre son appartement à New York. En France, ce film est présenté en avant-première au 41e Festival du cinéma américain de Deauville.

En 2016, Diane Keaton n'arrête toujours pas le cinéma puisqu'elle prête sa voix au personnage de Jenny dans le long métrage d'animation Le Monde de Dory d'Andrew Stanton. Eugene Levy est son partenaire pendant les séances de doublage. Toutefois, Diane Keaton s'éloigne un temps des plateaux de cinéma pour jouer dans la série télévisée de Paolo Sorrentino intitulée The Young Pope. Pour la première fois, l'actrice américaine tient un rôle récurrent à la télévision. Cette série imagine l'accession au Vatican d'un pape fictif, nommé Pie XIII et interprété par Jude Law. Diane Keaton prête ses traits à Sœur Mary, la mère de substitution du jeune pape, abandonné durant son enfance.

Elle apparaît de nouveau sur les écrans de cinéma en 2018 en jouant avec Jane Fonda dans la comédie Le Book Club, où un groupe de femmes se retrouve transformé par la lecture de Cinquante nuances de Grey d'E. L. James. Ce film remporte un succès notable au box-office, récoltant pas moins de 100 millions de dollars dans le monde.

En 2019, elle incarne Martha dans Pom-Pom Ladies. Dans ce film, son personnage décide de fonder un groupe de pom-pom girls dans une maison de retraite. La même année, elle prête également sa voix à un personnage de la série animée Les Œufs verts au jambon produite par Netflix.

Le 8 juin 2017, Woody Allen remet à Diane Keaton le 45e AFI Life Achievement Award au théâtre Dolby de Los Angeles. L'American Film Institute entend ainsi honorer une actrice « non conformiste, iconoclaste et excentrique ». À 73 ans, après cinquante ans de carrière, elle déclare n'avoir « aucune intention d'arrêter de travailler […]. Et si jamais plus personne ne m'appelle (pour tourner), dit-elle, j'ai plein de hobbies qui me passionnent pour occuper mon temps ».

L’année 2020 se voit gratifiée de sa participation dans le projet Love, Weddings & Other Disasters, dont elle partage l’affiche avec Jeremy Irons, Jesse McCartney et Dennis Dugan.

Elle revient en 2022 avec la comédie Mack and Rita, qui est un succès au box-office.

Elle côtoie Richard Gere, Susan Sarandon, Emma Roberts, dans Maybe I Do, qui parait en 2023. En cette même année, elle rejoint Jane Fonda, Candice Bergen, Mary Steenburgen et Andy Garcia pour Book Club: The Next Chapter , qui est la suite de Le Book Club, sorti en 2018.

Le 1er janvier 2024, elle porte le film Arthur’s Whisky. Le 31 mai 2024, elle est tête d'affiche de la comédie Summer Camp (en), aux côtés de Kathy Bates, Alfre Woodard, Beverly D'Angelo, Eugene Levy et Nicole Richie.

Diane Keaton est morte le samedi 11 octobre 2025, à l'âge de 79 ans, en Californie (USA). De nombreuses personnalités lui rendent hommage, parmi lesquelles Elizabeth Banks, Sophia Bush, Francis Ford Coppola, Kaley Cuoco, Jamie Lee Curtis, Viola Davis, Robert De Niro, Leonardo DiCaprio, Michael Douglas, Jane Fonda, Vanessa Hudgens, Cynthia Nixon, Pink, Octavia Spencer et Ben Stiller.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Citations

Les meilleures citations de Diane Keaton.

Amusez-vous. Souriez. Et continuez à mettre du rouge à lèvres.
Ma mère a toujours dit que tout le monde devrait être obligé d'écrire une autobiographie de sa vie.
Nous ne pouvons pas sauver le passé ou résoudre l'énigme de l'amour. Mais pour moi, ça vaut le coup d'essayer.

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : Diane Hall
  • Nationalité (à sa mort) : Américaine Drapeau américain
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Féminin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Diane Keaton
  • Nom complet : --
  • Prénom : Diane
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Hall
  • Pseudonyme : Diane Keaton
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Diane Hall

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 79 ans
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
  • Lieu de sépulture : --
  • Type de funérailles : --

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