Top 50Hommes célèbres morts un 4 avril
16 célébrités
Découvrez notre liste de 16 hommes (toutes nationalités confondues) morts un 4 avril connus comme par exemple : Jean-Marie Vianney, Amadou Bagayoko, Kumba Iala, Martin Luther King, Gaston Dominici, Claude Miller, John Venn, Ray Wilkins, Xavier Dor, Germain Nouveau... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens variés dans les domaines de la religion, de l'art, de la musique, de variétés, de la politique, de l'assassinat, de l'histoire, de l'homicide, de l'homicide volontaire, de la justice, du meurtre, du crime, du cinéma, de la science, du football, du sport, du sport collectif, de la biologie, de l'embryologie ou de la littérature. Ces célébrités peuvent également avoir été religieux, artiste, chanteur, chanteur de variétés, musicien, homme d'état, homme politique, président, pasteur, accusé de crime, accusé de meurtre, hors-la-loi, cinéaste, mathématicien, scientifique, entraineur, entraineur de football, footballeur, sportif, biologiste, embryologiste, militant, militant contre l'avortement, écrivain ou poète. En ce qui concerne leurs nationalités au moment de leurs morts, ils peuvent avoir été francais, malien, bissau-guinéen, américain ou anglais par exemple.
16 hommes populaires
Musicien malien, connu pour avoir formé, avec son épouse Mariam Doumbia, le duo musical Amadou & Mariam., avec qui il a su porter la musique malienne sur la scène internationale. 
Pasteur et politicien américain, militant non-violent pour les droits civiques des Noirs aux États-Unis, pour la paix et contre la pauvreté. Il est le plus jeune lauréat du prix Nobel de la paix en 1964 pour sa lutte non-violente contre la ségrégation raciale et pour la paix. Il prononce un discours célèbre le 28 août 1963 devant le Lincoln Memorial à Washington durant la marche pour l'emploi et la liberté : « I have a dream ». Il est soutenu par John F. Kennedy dans la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis ; la plupart de ces droits seront promus par le « Civil Rights Act » et le « Voting Rights Act » sous la présidence de Lyndon B. Johnson. Il se voit décerner à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté par Jimmy Carter en 1977, le prix des droits de l'homme des Nations unies en 1978, la médaille d'or du Congrès en 2004, et est considéré comme l'un des plus grands orateurs américains. Depuis 1986, le Martin Luther King Day est jour férié aux États-Unis. 
Meurtrier supposé français, accusé d'un triple meurtre en 1952 et condamné à mort sans que sa culpabilité ait jamais été clairement établie. En 1957, le président Coty a commué la peine et le 14 juillet 1960 le général de Gaulle a gracié et libéré Gaston Dominici. L'affaire fut suivie par de nombreux journalistes, tant français qu'étrangers. 
Footballeur anglais de milieu de terrain entre 1973 et 1997, connu pour avoir été l'ancien capitaine de l'équipe d'Angleterre, puis reconverti comme entraîneur et consultant sportif. Il participe à l'Euro 1980 et à 2 Coupes du monde (1982 et 1986) avec l'équipe d'Angleterre. 
Embryologiste français, principalement connu pour son engagement dans la lutte contre l'avortement. 
Acteur américain connu pour avoir prêté sa voix pour le personnage de Fa Zhou dans 2 films de Disney de « Mulan » (1988) et « Mulan II » (2004), joué avec Roger Moore dans « L'Homme au pistolet d'or » (1974) et être apparu dans de nombreux films et séries télévisées telles « MASH », « Drôles de dames », « L'Âge de cristal », « Magnum », « Kung Fu, la légende continue », « Zorro », « Les Anges du bonheur » et « Hawaii 5-O ». 
Artiste français, spécialisé dans la performance artistique, il est l'inventeur de l’art interactif. 
Romancier belge francophone, considéré comme un écrivain marginal, au style verbal particulier, organique teinté de lyrisme et d'envolée paroxystique, il est l'auteur d'une oeuvre considérable et a reçu en 2006 le prix de littérature francophone Jean Arp pour l'ensemble de son oeuvre. Connu pour son oeuvre « Quintes » (1962), « Bannière de bave » (1965), « La Terre infestée d'hommes » (1966) ou « Le Chant des paroxysmes » (1967). 
16 hommes au total
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