Maurice Tillieux

 
Maurice Tillieux
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Biographie

Maurice Tillieux est un dessinateur et scénariste belge de bandes dessinées. Il est né à Huy dans la province de Liège le 7 août 1921 et il est mort le 2 février 1978 à la suite d'un accident de voiture. Il a principalement travaillé pour les Éditions Dupuis, dans les périodiques Spirou, Le Moustique, Risque-Tout et dans Héroïc-Albums. Il appartient à l'école de Marcinelle.

Maurice Tillieux est né le 7 août 1921 à Huy en Belgique d'un père chef de gare et d'une mère institutrice. Sa famille est d'origine française d'un petit village près de Lille et une partie de sa famille habite à Aix-en-Provence, dès l'âge de six ans il se promène souvent en France, ce qui l'influencera plus tard dans ses histoires où il décrira énormément la France. Dans sa jeunesse, il est surtout marqué par le cinéma, le cinéma de sa ville se trouvant juste derrière chez lui il assiste à tous les films de Buster Keaton et Charlie Chaplin qu'il redessine ensuite. Du côté de la bande dessinée il lit les publications des éditions Offenstadt, comme Cri-Cri, Le Petit Illustré ou encore L'Épatant, ainsi que Le Bon point publié par les éditions Albin Michel dont il arrête la lecture à l'age de douze ans.

Après une tentative ratée, à seize ans, de partir clandestinement avec un ami pour les États-Unis en se cachant dans la cale d'un navire de charge du port d'Anvers, il entre dans la marine marchande. Le jour où il doit embarquer à Bordeaux pour l'Amérique du sud afin de poursuivre sa formation, le port est victime d'un bombardement allemand qui fait faire demi-tour au navire devant l'emmener. Faute de pouvoir poursuivre sa formation, il abandonne une carrière dans la marine. Pendant la guerre il doit se cacher pour éviter de devoir travailler de force pour les Allemands, il évite de peu à plusieurs reprises l'arrestation par la Gestapo.

Maurice Tillieux commence dans la bande dessinée en 1942, il essaye alors d'imiter des séries américaines comme Félix le chat, mais ses dessins ne seront jamais publiés. En fait, ses véritables débuts ont lieu dans le roman policier, il écrit alors pour la revue Le Jury un roman Le navire qui tue ses capitaines qui sera ensuite publié, dans une version plus longue, par une autre maison d'édition. Dans sa lancée, il en écrira deux autres, L'Homme qui s'assassina sous le pseudonyme de Robertson car un nom américain se vendait mieux et Aventures de Paillasson respectivement en 1944 et 1945. Parallèlement, il exerce plusieurs petits métiers en rapport avec le dessin comme faire de la peinture pour la publicité ou dessiner des moteurs électriques.

Il se décide à abandonner le roman, car il est très difficile d'en vivre et entre en 1944 au journal Bimbo sur recommandation de Jean Doisy alors rédacteur en chef du journal Spirou dont les fils étaient dans la même classe. À Bimbo s'il fait office de rédacteur en chef, il s'occupe aussi de tout comme allumer le poêle ou répondre au courrier des lecteurs. Le journal finira par disparaitre après guerre, ne pouvant lutter contre son rival Spirou. Pendant cette période, il réalise pour Le Moustique et Spirou des caricatures et des illustrations.

Parallèlement, Maurice Tillieux travail pour le journal concurrent Jeep. C'est dans ce journal qu'il commence sérieusement à faire de la bande dessinée, étant obligé de fournir pour chaque numéro douze pages, soit quasiment l'intégralité du journal, il apprend rapidement les ficelles de la bande dessinée. Dans ce journal il lance, avec l'aide de sa femme, ses premières série comme Dazy Black, Zénobie ou encore Patrick et Dolly. Il fait aussi en parallèle de petites collaborations pour le journal L'Explorateur fondé par des anciens de chez Bimbo.

Suite à une proposition de Fernand Cheneval, un ancien de Bimbo, il entre chez Héroïc-Albums où il crée tout d'abord le personnage de Bob Bang, un marin dont il abandonne rapidement les aventures, craignant que l'emploi du héros crée des histoires répétitives. À la suite de l'abandon de Bob Bang, il réalise, à la demande du rédacteur en chef, une série d'histoires réalistes qu'il copie sur Fred Harman et Milton Caniff. Quelques temps plus tard, il lui redemande une série « normale », ça sera la création de Félix, né de ses lectures de romans policiers.

En ce temps, Maurice Tillieux signait, sur l'exigence de ses éditeurs, ses planches de pseudonymes américains comme John Cliff, Ronald Scott, Jill Morisson. Félix est la première bande dessinée qu'il signe de son véritable nom. En parallèle de son travail pour Héroïc-Albums il enregistre un feuilleton radiophonique adapté de l'une de ses histoires et un texte illustré nommé Les momies de Saint-Sulpice adapté d'une des histoires de Félix.

En 1955, il rentre dans le giron de Dupuis en participant au journal Risque-Tout pour lequel il crée Marc Jaguar. En fait, à cette époque il refuse de rentrer au journal Spirou, ayant des problèmes de longue date avec Dupuis qui jusque là avait toujours refusé ses dessins. Quand Dupuis lui demande de travailler pour lui il préfère rentrer au second journal, moins en vue, de l'éditeur qui lui permet d'être plus libre vis-à-vis de Dupuis. Cette même année il travaille pour Le journal de Paddy un journal fondé par Greg où il crée le personnage de Cris Vallon. Ces deux journaux ne vivront pas longtemps et quand en 1956 Héroïc-Albums cesse lui aussi de paraitre il se décide alors à travailler pour le journal Spirou.

Dès son arrivée chez Spirou il crée Gil Jourdan, alors copie parfaite de Félix. Maurice Tillieux souhaitait continuer les aventures de son personnage fétiche, mais l'éditeur voulait du changement. Il se décida alors à transformer le personnage de Félix en Gil Jourdan. Cette série raconte les aventures d'un détective privé français, âge de 20-21 ans qui venant de finir sa licence de droit ouvre son cabinet de police privée. La série rencontre un succès immédiat parmi les lecteurs de Spirou, un référendum permit de savoir que 80% des lecteurs du journal lisaient Gil Jourdan. Le succès de la série s'explique par les soins particuliers que met Maurice Tillieux pour construire ses scénarios. La série comporte aussi de nombreuses voitures, une des passions de Maurice Tillieux aussi bien pour dessiner que pour bricoler des mécaniques.

Quelques années après, Maurice Tillieux tombe malade, une maladie qui l'oblige à arrêter de travailler pendant un an. Pour continuer à fournir régulièrement ses planches pour Spirou il a l'idée, sans que Dupuis soit au courant, de reprendre les histoires de Félix parue dans Héroïc-Albums en modifiant simplement le personnage de Félix pour qu'il ressemble à Gil Jourdan, aidé en cela par Bob de Groot et Jean-Marie Brouyère.

En 1960, Maurice Tillieux crée le personnage de César, à la demande de Dupuis, pour son hebdomadaire Le Moustique. La série a, à l'origine, des contours assez flous du fait que Tillieux a accepté de la réaliser pour des raisons principalement financières. Cependant, il stabilise assez vite la série autour du personnage de Ernestine, petite fille de l'agent de police Petitcarné, qui fait tourner en bourrique César. Pour cette série, Maurice Tillieux s'est inspiré des personnages autour de lui. Ernestine est inspirée de sa fille Anne, l'agent de police d'un de ses voisins et la femme de ménage d'une de ses propres femmes de ménage. Les gags de César seront repris plus tard dans le journal Spirou pour combler les pages. Aucun nouveau gag n'a été dessiné pour Spirou.

En 1966, il crée Bob Slide le temps de quelques histoires courtes. Une série qui se déroule dans les années 1930 aux États-Unis, qu'il avait depuis longtemps à l'esprit, mais qu'il n'osait commencer ayant appris que Morris et René Goscinny devaient lancer une série sur la même époque. Apprenant que cela ne se ferait pas, il se lance, mais n'ayant plus le temps de s'en occuper il abandonne rapidement son nouveau personnage.

À la fin des années 1960 il y a une pénurie de scénariste chez Dupuis à une époque ou le journal Spirou présente de plus en plus de séries et ou de plus en plus de dessinateurs, qui ont du mal à écrire leur propres histoires, travaillent pour le journal. À cette époque Maurice Tillieux se retrouve même quasiment tout seul à alimenter les dessinateurs du journal en scénarios. Il doit abandonner le dessin de Gil Jourdan et le confie à Gos qui le lui a demandé après avoir appris qu'il cherchait un dessinateur pour cette série. Cette reprise de Gil Jourdan fut bien acceptée par la majorité des lecteurs.

Par la suite il crée pour Arthur Piroton la série Jess Long. Maurice Tillieux appréciait le dessin d'Arthur Piroton et trouvait dommage de le voir toujours au bas du classement des référendums du journal Spirou. Il lui propose alors une série policière qui se déroule aux États-Unis, le seul thème qu'appréciait Arthur Piroton. Il fait travailler son personnage au FBI pour ne pas être mal vu par la police et ne pas avoir de problèmes, le FBI étant mal vu par les polices du monde entier.

Il crée également Marc Lebut et son voisin, une série humoristique pour Francis. Cette série mettant en scène une Ford T est née de la nostalgie pour Maurice Tillieux, amateur de mécanique automobile, pour les voitures des années 1920 et 1930, auxquelles il trouvait plus de personnalité qu'aux voitures modernes.

Il reprend aussi le scénario de certaines séries du journal Spirou comme Tif et Tondu dessiné par Will. Il succèdera sur cette série à Maurice Rosy qui a dû, pour des raisons personnelles, abandonner le scénario de la série. Maurice Tillieux déjà débordé à cette époque, propose alors à Will, qui travaillait très régulièrement, de dessiner alternativement par an un épisode de Tif et Tondu et un autre d' Isabelle au lieu de deux épisodes de Tif et Tondu par an. Cette entente devait permettre à Maurice Tillieux de baisser son rythme de travail en ne fournissant qu'un scénario de Tif et Tondu par an. Mais, les scénaristes d' Isabelle, Yvan Delporte et Raymond Macherot, ne remettront aucun scénario à Will, qui ayant besoin de travailler, demande un nouveau scénario de Tif et Tondu à Maurice Tillieux. Ce dernier recycle alors un vieil épisode de Félix. Tif et Tondu était une des séries sur laquelle Maurice Tillieux aimait le plus travailler, car elle lui permettait d'exploiter ses thèmes préférés : le policier, le mystère et l'aventure.

Il écrit aussi pour Roba un scénario de La Ribambelle ainsi que quelques gags de Boule et Bill, pour Vittorio Léonardo un épisode du viking Hultrasson et pour François Walthéry trois histoires de l'hôtesse de l'air Natacha, dont L'Ange Blond qui ne sera dessiné qu'en 1994.

Le 31 janvier 1978, alors qu'il se rendait en Espagne, il est victime d'un accident de la route près de Tours. Il décède, sans avoir repris connaissance, deux jours plus tard, le 2 février 1978. Il est inhumé quelques jours plus tard dans le cimetière de la commune d'Auderghem dans la banlieue de Bruxelles, où il vécut 25 ans et créa le personnage de Gil Jourdan, en présence de nombreux auteurs de bandes dessinées, André Franquin, Jean Roba, Morris, Jidéhem, Fernand Cheneval, Francis, Arthur Piroton, Jacques Devos, Victor Hubinon, Tibet, Pierre Seron, Mittéï, Lambil et beaucoup d'autres, Monsieur Dupuis et des collaborateurs des éditions Dupuis et du journal Spirou, le rédacteur en chef du journal Tintin, ainsi que Michel d'Ornano le ministre français de la culture.

Quand il était jeune, Maurice Tillieux lisait les publications des éditions Offenstadt, comme Cri-Cri, Le Petit Illustré ou encore L'Épatant, ainsi que Le Bon point publié par les éditions Albin Michel[3]. Plus tard quand il commence à dessiner il imite les décors, l'atmosphère des séries américaines comme Félix le Chat, Mickey Mouse ou encore Bicot. Mais, sa véritable influence sera Hergé, quand il commencera à dessiner pour le public[3].

Maurice Tillieux trouvait qu'Hergé l'auteur des Aventures de Tintin était le premier auteur à avoir fait de la bande dessinée comme du cinéma[3], en décomposant le mouvement et en réalisant des planches sans texte où tout est expliqué par le mouvement. Il rencontre Hergé à New York en 1972, plusieurs années après être devenu une célébrité dans la bande dessinée. L'autre dessinateur qui l'a marqué est André Franquin l'auteur de Spirou et Fantasio qui deviendra son ami plus tard. Le dernier auteur qu'il admire est Peyo l'auteur entre autres des Schtroumpfs et Johan et Pirlouit qu'il trouve néanmoins en dessous des deux précédent.

Maurice Tillieux a aussi été beaucoup marqué par le cinéma. Sa maison se trouvant à côté de la salle de cinéma de sa ville il pouvait assister aux films de Buster Keaton et Charlie Chaplin, ainsi qu'aux séances de films policiers de seconde catégorie américains. Il s'est beaucoup inspiré des cadrages du cinéma au début de sa carrière, avant de réussir à trouver par lui-même le bon angle.

La France l'inspira beaucoup pour les décors de ses bandes dessinées. Cela vient du fait qu'il est d'une famille originaire d'un village près de Lille et qu'il possède de la famille près d'Aix-en-Provence où il se rend souvent. Dans sa jeunesse, il voyage aux quatre coins de la France et il dira même plus tard mieux connaitre la France que son pays la Belgique. Plus tard, il habite en France, à Paris, Toulouse et dans le Var.

Ce qui marque le plus dans le dessin de Maurice Tillieux est l'atmosphère de ses bandes dessinées, cela vient du fait qu'il essaye d'être un « romancier visuel ». Dans Félix il dessine à merveille l'atmosphère du Paris des années 1950 avec divers procédés issus du cinéma : le flash-back, le contre-plongée, le travelling, l'avant-plan et ce malgré des graphismes un peu schématiques, ou des expressions caricaturales. Il dessine les paysages urbains comme personne, des dessinateurs comme André Franquin, Roba ou Peyo s'amusaient à dire sur les casses de voitures « C'est un paysage à la Tillieux ». Plus tard avec Gil Jourdan il plaça son héros dans des bureaux vétustes, dans une rue obscure. Tout est fait pour créer une certaine atmosphère.

Les dessins de Maurice Tillieux sont influencés à ses débuts par Hergé, quand il entrera dans le giron de Dupuis on lui demandera de faire du Franquin alors référence absolue de la maison d'édition de Marcinelle. Finalement, il fit un dessin à mi-chemin de ces deux monstres sacrés de la bande dessinée. Mais contrairement à ces deux grands auteurs, Maurice Tillieux n'est pas un perfectionniste. Il lui arrive de bâcler un dessin, par manque de temps, il avouera lui-même ne pas toujours pousser le graphisme au maximum de ses possibilités. Pour certains ce manque de soin pour certaines cases donne du naturel et de la spontanéité au dessin. Par contre Maurice Tillieux respectait toujours les proportions de ses personnages.

Les dialogues dans les bandes dessinées de Maurice Tillieux sont très présents, surtout à ses débuts, toutefois il évite de tomber dans le commentaire illustré. Les dialogues qu'il place dans ses bandes dessinées lui vaudront le surnom de « Michel Audiard de la bande dessinée ». Par la suite, il dessinera de grandes séquences, très réussies, sans aucune parole.

Maurice Tillieux n'a jamais eu de formation en dessin, il a commencé à dessiner tout seul presque pour raison alimentaire. Son avis sur les écoles d'arts sont assez négatifs, il trouve qu'elles ne servent à rien.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : --
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

  • Activités principales : --
  • Autres activités : --
  • Domaines : --

Noms

  • Nom usuel : Maurice Tillieux
  • Nom complet : --
  • Prénom : Maurice
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Tillieux
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : --

Naissance

  • Date de naissance : --
  • Lieu de naissance : --
  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Date de mort : --
  • Lieu de mort : --
  • Âge de mort : --
  • Cause de mort : --

Obsèques

  • Date des obsèques : --
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Anonyme 67119 En lisant sa biographie, je vois que vous dites qu'il a vécu 25 ans à Auderghem. Ce n'est pas exact. Il habitait avenue des Cerisiers (Kersenbomenlaan) à Notre Dame au Bois (Jezus-Eik), hameau de la commune de Overijse, et c'est là qu'il a notamment appris à dessiner à son jeune voisin Jean-Marie Brouyère.
Répondre - il y a 5 ans

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