Georges Brassens

 
Georges Brassens
1921 - 1981
 

L'un des plus grands chanteur français du XXe siècle, s’accompagnant à la guitare et dont ses chansons les plus populaires sont « Chanson pour l'Auvergnat » (1954), « La Mauvaise Réputation » (1952), « Le Gorille » (1952), « Les Amoureux des bancs publics » (1953) ou « Les Copains d'abord » (1964). Compositeur mais également poète, il reçoit le Grand prix de poésie de l'Académie française en 1967.

Nationalité française Francais, né le 22 octobre 1921 et mort le 29 octobre 1981

60 ans Mort victime d'un cancer (maladie) à l'âge de 60 ans.

Enterré en France à Sète (Hérault).

Cimetière de Py
Zoomez sa tombe

Biographie

Personnage d'une immense discrétion, Georges Brassens a inscrit son nom dans le patrimoine artistique français en créant un style unique sculpté autour de mélodies simples et de textes qui sont autant de chef-d'oeuvres poétiques.

C'est dans le petit port méditerranéen de Sète, ville dont le nom reste aujourd'hui intimement lié au chanteur, que Elvira Dagrosa, épouse de Louis Brassens, donne naissance à un petit garçon le 22 octobre 1921. Entrepreneur et maçon, Louis a épousé Elvira, veuve de guerre, en 1919. Ils élèveront ensemble la petite fille qu'Elvira a eue en 1912 de son premier mariage, Simone.

Bien que ses parents ne s'entendent guère sur certains points majeurs comme la religion (Elvira est très pieuse, contrairement à Louis, anticlérical notoire), l'ambiance familiale est bonne et la musique ne manque pas de résonner dans la grande maison sétoise. C'est tout particulièrement sa mère qui, d'origine napolitaine, a un goût certain pour les chansons traditionnelles de son pays et pour les mélodies à la mandoline. C'est d'ailleurs sur cet instrument que Georges apprend les rudiments techniques qu'il développera plus tard avec la guitare.

Elève moyen, Georges Brassens se passionne très tôt pour la poésie, initié par un de ses professeurs de français, Alphonse Bonnafé. Ce dernier sera d'ailleurs le premier biographe du chanteur en 1963. Georges Brassens commence donc parallèlement à écrire quelques poèmes et quelques textes de chansons qu'il adapte à des airs dans le vent. Il crée à cette époque un petit orchestre nommé "Jazz", qui se produit dans quelques fêtes municipales. Il y tient la batterie.

Définitivement peu tourné vers les études, il quitte le collège en 1939 suite à une petite affaire de vol dans laquelle le jeune homme est impliqué sans y avoir vraiment participé. Agé de 18 ans, Georges songe à quitter Sète pour la capitale. Cet incident va lui en fournir l'occasion. En attendant le départ, il travaille avec son père. A la fin de l'année, la guerre éclate, mais Sète est encore bien loin des événements qui secouent l'Europe.

C'est en février 1940, que Georges Brassens prend le train pour Paris. Durant les premiers mois, il vit chez sa tante, Antoinette Dagrosa, et travaille comme ouvrier dans l'entreprise automobile Renault. Il continue en outre à écrire des chansons sur le piano de sa tante, et des poèmes. Après des bombardements sur Paris, Georges retourne quelques mois à Sète, et retrouve la capitale dès septembre 40. Là, il se consacre entièrement à la poésie et en 42, il réussit à publier deux petits recueils, "A la venvole" et "Des coups d'épée dans l'eau".

En mars 43, Brassens est envoyé en Allemagne, pour le STO (Service du Travail Obligatoire), au camp de Basdorf. C'est là qu'il rencontre Pierre Onténiente, prisonnier comme lui, qui devient un de ses meilleurs amis. En 1956, il deviendra le secrétaire et homme de confiance du chanteur qui le surnomme "Gibraltar". Peu de ses proches échapperont d'ailleurs à ce type de surnom, fantaisie dont Brassens est fort friand.

Une des caractéristiques du personnage Brassens est son sens aigu de l'amitié. Déjà très fidèle à ses amis sétois, il se forge en Allemagne un nouveau groupe de compagnons. Avec Brassens, l'amitié dure des années, voire toute la vie. Parmi ses amis les plus fameux, on peut citer l'écrivain René Fallet, le chanteur Jacques Brel, l'humoriste Raymond Devos ou l'acteur Lino Ventura, mais Brassens accorde autant d'intérêt à ceux qu'il aime, connus ou non.

En mars 44, il est de retour en France pour une permission. Il ne retournera jamais en Allemagne, et se cache chez un couple qui tient une place de choix dans la vie de Brassens, Jeanne et Marcel Planche. Il leur consacrera d'ailleurs des chansons, dont les célèbres "La cane de Jeanne" en 1953 ou "Chanson pour l'auvergnat" (pour Marcel) en 1955. Il restera chez eux jusqu'en 1966. Infatigable travailleur, c'est là, au milieu des chats dont il raffole, qu'il écrira une grande partie de son répertoire avec sa façon si spéciale de composer. En effet, il ne compose que rarement sur sa guitare. Il commence par créer les rimes des textes en scandant le rythme de la main sur un coin de table. Lorsque le texte est au point, il adapte la mélodie au piano. Sous des aspects simples, ses partitions sont en fait complexes, puisque n'ayant aucune connaissances en matière de solfège, Brassens compose ses musiques sans franchement respecter les règles précises de l'écriture musicale.

A partir de 1946, pour gagner sa vie, il écrit quelques articles dans une revue anarchiste, "Le libertaire". Sensibles aux idées anarchistes, Brassens exprimera toute sa vie ses idées d'une façon moins politique que Léo Ferré mais plutôt en luttant, par ses chansons, contre une certaine hypocrisie de la société, à travers ses bêtes noires telle la religion. Ses textes sont des prises de position en faveur des laissés-pour-compte comme les prostituées. Son action anarchiste se situe dans son irrévérence et sa désobéissance volontaires envers les conventions sociales pour lesquelles il n'a aucun goût.

En 1947, sort son premier roman, "La lune écoute aux portes". Il écrit aussi à cette époque, certaines de ses plus grandes chansons parmi lesquelles, "Brave Margot", "La mauvaise réputation" ou "Le Gorille", titre qui est interdit d'antenne pendant des années et dans lequel Brassens évoque son désaccord avec le principe de la peine de mort.

C'est également à cette époque que Georges Brassens rencontre la femme de sa vie, d'origine estonienne, Joha Heiman. D'un commun accord, le couple ne partagera jamais le même toit mais Joha, que Brassens surnomme Püppchen ("petite poupée" en allemand) sera jusqu'au bout près de son compagnon. Brassens dira d'elle :"Ce n'est pas ma femme, c'est ma déesse."

Il faut attendre le début des années 50 pour que Georges Brassens rencontre enfin le succès. Grâce à d'un autre chansonnier, Jacques Grello, Brassens est engagé dans quelques cabarets dont le Caveau de la République, le Lapin agile à Montmartre, Milord l'Arsouille ou la Villa d'Este, mais sans aucun succès. Personne ne s'intéresse à ses textes et le chanteur perd un peu espoir. En 1952, il rencontre la chanteuse Patachou qui est à la tête d'un des cabarets les plus en vogue du moment. L'audition que Brassens passe le soir du 6 mars séduit les quelques spectateurs présents dont Patachou, qui l'engage sur le champ, et le musicien Pierre Nicolas, qui deviendra son contrebassiste attitré. Patachou, qui est une de ses premières interprètes, le convainc de chanter lui-même ses titres, ce qui n'est pas totalement évident pour Brassens qui se voit plus dans le rôle d'un simple auteur-compositeur. De plus, sa grande timidité le pousse plutôt à ne jamais se mettre en avant.

Dès ses premiers concerts, Georges Brassens connaît un réel succès public et critique. Jacques Canetti, directeur artistique chez Polydor, et patron du cabaret les Trois Baudets, décide de l'engager dans son cabaret et pense même lui faire enregistrer quelques titres. En attendant, il lui propose une tournée d'été afin de le préparer à affronter le public parisien à partir du 19 septembre en première partie de Henri Salvador. Cette fois, Georges Brassens est lancé sur les rails du triomphe, bien que ses chansons ne soient pas toujours très bien reçues par un public qui se scandalise à l'écoute de titres tel que "Le Gorille", éternel sujet de discorde. Cependant, ce type de réaction, dont les chansons de Brassens seront souvent l'objet, n'empêcheront jamais le chanteur de continuer à dénoncer les travers de la société.

L'enregistrement des premiers disques de Georges Brassens rencontre aussi quelques obstacles, toujours dus aux textes des chansons. Mais l'obstination de Jacques Canetti permet enfin la sortie de ses premiers 78 tours et 45 tours dès 1952 sur son label Polydor.

Le 16 octobre 1953, il fait sa première grande scène parisienne en vedette à Bobino, théâtre dont le nom reste aujourd'hui lié au chanteur qui y passera 13 fois. C'est la consécration. La même année, est publié son roman "La Tour des miracles". En décembre, sort un premier album 25cm au nom révélateur, "Georges Brassens chante les chansons poétiques (et souvent gaillardes) de.Georges Brassens". Puis 1954 marque ses débuts dans le prestigieux music-hall parisien, l'Olympia, où il passe deux fois en février puis en septembre. Cette année-là sort un recueil de textes, "La mauvaise réputation". Brassens est reconnu non seulement comme un interprète au style novateur, mais aussi et surtout comme un poète maîtrisant brillamment la langue française. Ce talent est récompensé en 54 par le Grand Prix de l'Académie du disque Charles Cros pour l'album "Le parapluie". Mais outre ses propres textes, Georges Brassens chante souvent les autres poètes dont François Villon ("Ballade des dames du temps jadis"), Victor Hugo ("Gastibelza") ou son ami Paul Fort ("Le petit cheval"). En mars 54, sort aussi son deuxième 25cm.

Pris en charge par Jacques Canetti, Georges Brassens se lance dans de nombreuses tournées en Europe et en Afrique du nord. En 1955, la station de radio Europe1, toute nouvellement créée, passe pour la première fois "Le gorille", titre jusque-là interdit. En avril, paraît un troisième 25cm, puis en octobre, Brassens remonte sur la scène de l'Olympia. Enfin en 55, Brassens achète la maison de Jeanne et de Marcel ainsi que la maison voisine.

Après une série de récitals en janvier 1956 à Bobino, Georges Brassens interprète un rôle proche de son propre personnage dans le film de René Clair, "Porte des Lilas". Ce sera sa seule apparition au cinéma. Depuis le début de l'année, Pierre Onténiente est le secrétaire de Brassens et s'occupe de gérer la vie matérielle de son ami. Ensemble, ils créent en 1957 les Editions Musicales 57. Les concerts de l'année 57 à Paris se répartissent sur trois salles, l'Olympia en mai, l'Alhambra en octobre et bien sûr, Bobino du 29 novembre au 18 décembre. En 1958, outre un Olympia du 22 octobre au 17 novembre, il repart en tournée. Il continue toujours de vivre chez Marcel et Jeanne, mais en 58, il s'achète une grande maison à Crespières dans le département des Yvelines.

Pour Georges Brassens, les années 50 s'achèvent par une nouvelle tournée et un récital à l'Olympia en novembre. Mais en cette année 59, lors d'un séjour à Biarritz, il est victime d'un violent malaise du aux problèmes de santé qui le font souffrir déjà depuis de nombreuses années. Cet incident lui inspirera, plusieurs années après, la chanson "l'Epave". Depuis la fin de la guerre, Brassens a régulièrement de très douloureuses crises de coliques néphrétiques et de calculs rénaux. Ces douleurs représenteront un tel handicap toute sa vie qu'il devra parfois même quitter la scène sous l'effet de la douleur.

L'année 1960 commence par une série de concerts à l'Olympia du 21 janvier au 15 février, suivi d'un nouveau passage à Bobino en avril, passage pendant lequel Brassens apprend la mort de son ami, le poète Paul Fort, le 20. En 61, il s'envole pour le Canada où il effectue une tournée entre octobre et novembre, avant de retrouver l'Olympia à la fin de l'année.

En décembre 1962, sort son neuvième et dernier album 25cm, "Les trompettes de la renommée". Le 31 décembre, sa mère Elvira, décède à Sète.

En 1963, Georges Brassens subit sa première opération des reins. C'est cette année-là, que son professeur de français, Alphonse Bonnafé, sort un ouvrage sur son ancien élève. Parallèlement, un coffret de dix disques paraît pour célébrer une carrière fort riche.

En 1964, Brassens retrouve le cinéma mais cette fois, pour composer "Les Copains d'abord", chanson du film d'Yves Robert, "Les Copains". Ce titre se retrouve sur son premier album 30cm qui sort en novembre, pendant une nouvelle série de récitals triomphaux à Bobino du 21 octobre au 10 janvier 65, au cours desquels 120.000 personnes l'applaudissent. Le 28 mars 65, meurt Louis Brassens, suivi de Marcel Planche quelques temps plus tard.

Le 12 octobre, Georges Brassens a l'occasion de chanter avec celui qu'il admire depuis sa jeunesse, Charles Trenet, lors de l'émission de radio enregistrée en direct à l'ABC, "Musicora". Il démarre l'année 66 par une tournée hexagonale, puis après Trenet, c'est avec Juliette Gréco qu'il partage l'affiche du TNP (Théâtre National de Paris) du 16 septembre au 23 octobre.

Après plus de vingt ans passés dans la petite maison de Jeanne et Marcel Planche, impasse Florimont, Georges Brassens décide de déménager pour un appartement plus moderne. Il y reste peu de temps, et s'installe finalement dans une maison du XVème arrondissement (en 69).

Après un passage à Bobino et une tournée, Brassens subit une nouvelle opération chirurgicale le 12 mai 1967. Dans les mois suivants, il reçoit le Prix de poésie de l'Académie française, très vieille institution vouée à la langue française. Puis son ami, l'écrivain René Fallet, publie un ouvrage consacré au chanteur.

Georges Brassens observe les événements politico-sociaux de mai 1968 avec une certaine admiration et un certain bonheur, bien qu'il soit à ce moment-là cloué sur un lit d'hôpital, souffrant une fois de plus de ces douloureuses coliques néphrétiques. Mais un autre événement va en revanche assombrir l'année 68 puisque le 24 octobre décède Jeanne à 77 ans.

A la fin des années 60, Brassens rencontre un jeune guitariste, Joël Favreau. Ensemble, avec Pierre Nicolas, ils vont désormais former un trio de scène inséparable.

Le 6 janvier 1969, sur l'initiative du magasine Rock et Folk, et de la radio RTL, Georges Brassens participe à un entretien historique avec Léo Ferré et Jacques Brel, deux autres piliers de la chanson française. Cette année-là, les textes de Brassens sont d'ailleurs présentés au concours d'entrée de l'Ecole Normale Supérieure. Brassens finit l'année, et la décennie dans son théâtre fétiche, Bobino, du 14 octobre au 4 janvier 1970. Il enchaîne en mars 70 avec deux concerts à la Mutualité avant d'entamer une tournée.

En 1972, les 20 ans de chanson de Brassens donnent lieu à un coffret de 11 albums accompagné d'un ouvrage réunissant tous ses textes et poèmes. D'octobre à janvier 73, Georges Brassens se produit à Bobino avec, en première partie plusieurs jeunes chanteurs, dont Maxime le Forestier, Philippe Chatel (qui écrira un livre sur Brassens), Henri Tachan ou Yves Simon.

Toujours en 72, Georges Brassens achète une maison à Lézardrieux, près de Paimpol en Bretagne. Cet enfant de la Méditerranée a découvert cette région par l'intermédiaire de Jeanne Planche qui en était originaire. Au cours des ans, il a développé un tel amour pour ce coin de France qu'il se lança même dans l'apprentissage de la langue bretonne. Il y vient désormais de plus en plus souvent pour flâner et fréquenter le petit monde des pêcheurs qui lui rappelle son port natal.

Affaibli par ses problèmes de santé, Georges Brassens a beaucoup vieilli durant ces dernières années et les concerts répétés deviennent fort fatigants pour le chanteur qui n'a pourtant que 51 ans. En 1973, il entame sa dernière tournée en France et en Belgique, et donne un concert au Sherman Theatre de l'université de Cardiff en Grande-Bretagne le 28 octobre. Ce récital donne lieu à un des rares enregistrements publics de l'artiste et paraît en 74 sous le titre "Live in Great Britain".

En 1975, il obtient le Grand Prix de la ville de Paris.

Son tout dernier album original sort en 1976. Puis le 20 mars 1977, il monte pour la dernière fois sur la scène de Bobino où depuis octobre 1976, il a dans une ultime série de concerts, réuni un public nombreux et admiratif.

En 1979, son vieil ami, le musicien Moustache, lui propose de participer à l'enregistrement d'un album qui reprend ses plus célèbres titres dans des versions jazz. Georges Brassens, amateur de jazz depuis sa jeunesse, accompagne donc sur ce disque plusieurs jazzmen américains qui interprètent entre autres "Chanson pour l'Auvergnat", "le Pornographe", "la Chasse aux papillons", et un titre inédit, "Elégie pour un rat de cave", seul titre chanté de l'album.

La même année, Brassens est aussi invité sur le conte musical du chanteur Philippe Chatel, "Emilie Jolie". Il y chante la "Chanson du hérisson" en duo avec Henri Salvador.

A la fin de l'année, le maire de Paris Jacques Chirac lui remet le Grand Prix du disque. Enfin en 1980, très malade, il enregistre ses dernières chansons au profit de l'association Perce Neige, créée par le comédien Lino Ventura au profit de l'enfance handicapée. Dans cet album, Brassens chante de vieilles chansons françaises de Charles Trenet, Jean Boyer, Paul Misraki ou lui-même.

En novembre, atteint d'un cancer, il est opéré pour la troisième fois des reins. Un an plus tard, le 29 octobre 1981, la mort, qu'il a si souvent chantée, l'emporte dans le petit village de Saint-Gely-du-Fesc, près de Sète, chez son ami et médecin, Maurice Bousquet. Il est inhumé dans sa ville natale dans le cimetière du Py, surnommé le "cimetière des pauvres".

La simplicité de Georges Brassens en a fait un des artistes les plus aimés du patrimoine culturel français. Son répertoire, impertinent mais jamais provocateur, trace un portrait sans pitié, et pourtant si tendre, de ses contemporains. Aujourd'hui encore, ses chansons sont reprises par des artistes du monde entier, et ses textes sont étudiés dans les écoles. Ses interprètes sont innombrables. Citons pour les étrangers, Graeme Allwright en anglais, Sam Alpha en créole ou Paco Ibanez en espagnol. Quant aux artistes français, la liste est longue de ceux qui l'ont chanté et le chantent encore : Maxime le Forestier, Renaud, Barbara ou Les frères Jacques sont parmi les plus célèbres à lui avoir consacré un album entier. A l'initiative de Joël Favreau, un album, "Chantons Brassens" réunis des artistes et des comédiens (Michel Fugain, Manu Dibango, Philippe Léotard ou Françoise Hardy) autour du répertoire du chanteur. Mais la liste des hommages serait trop longue.

Georges Brassens reste un artiste de référence largement apprécié et célébré dans le monde francophone. Créateur généreux et humaniste, l'homme à la célèbre moustache occupe une place à part dans la mémoire de ses amis et admirateurs.

Source : www.rfimusique.com  

Tombe

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Où est enterré Georges Brassens ?

Cimetière de Py
17 Rue des Reflets
34200 Sète
Hérault
France Drapeau francais

La tombe de Georges Brassens est au Cimetière de Py, 17 Rue des Reflets, 34200 Sète, Hérault, France Drapeau francais.

Citations

Les meilleures citations de Georges Brassens.

L'amitié n'exige rien en échange, que de l'entretien.
Le premier Mai c'est pas gai, Je trime, a dit le muguet, Muguet, sois pas chicaneur, Car tu donnes du bonheur.
L'enfant naturel, l'orphelin Est malheureux et je le plains, Mais, du moins, il n'est pas tenu Au respect d'un père inconnu.

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Forum

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Brassens avait aimé une certaine Heymann Répondu à 0%
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Rencontre avec Brassens sur l'eau Répondu à 0%
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Georges Brassens à la Mutualité en mars 1970 pour 2 spectacles ? Répondu à 0%
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Amoureuse de Brassens recherche autres amoureux Répondu à 0%
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Hommage à celui qui les fuyaient tant Répondu à 0%
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Rencontre avec Georges brassens (le 3 octobre 2015 au village d'Arrout). Répondu à 0%
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J'ai rencontré Georges à l'hôpital Répondu à 0%
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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Française Drapeau francais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Georges Brassens
  • Nom complet : --
  • Prénom : Georges
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Brassens
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : geoges brassens, george brassens, georges brasens, brasins, brassinse, geoge brassens, g brassens, g. brassens, gorge brassens, george brassins, Goerges Brassens, Goerges Brassins, brasssens

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 60 ans
  • Cause de mort : Cancer (Maladie)

Obsèques

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 Cet homme m'accompagne durant toute ma vie
Cet homme m'accompagne durant toute ma vie et il me manque beaucoup de n'être plus là.
Commentez - il y a 6 ans
 Un chanteur formidable et de super textes.
Un chanteur formidable et de super textes.
Commentez - il y a 6 ans
 La mort de ce poète à 60 ans fait hurler d'injustice.
Le fait que j'habite à coté de Sète n'enlève rien au génie de Georges,mais la mort de ce poète à 60 ans fait hurler d'injustice.
Commentez - il y a 5 ans
19 notes ►

Commentaires

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Spectre-du-vexin1968 tombe georges brassens
Répondre - il y a 6 ans
Jesuismort (admin) Merci pour la photo de sa tombe.
Répondre - il y a 6 ans
Donias tombe de George Brassens (détail)
Répondre - il y a 6 ans
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Répondre - il y a 6 ans
Donias Georges Brassens - La mauvaise réputation (Officiel) [Live Version]
https://www.youtube.com/watch?v=Cz9NOhwK1yo
Répondre - il y a 6 ans
Donias Georges Brassens - Chanson pour l'auvergnat (Officiel) [Live Version]
https://www.youtube.com/watch?v=3GA0ue9F79o
Répondre - il y a 6 ans
Anonyme 62061 Je ne vois pas dans ce texte dans quelle ville Jeanne et Marcel Planche ont accueilli Brassens, et où celui-ci a acquis un appartement ?
Merci.
Répondre - il y a 5 ans
Pierre Georges et son chat.
Répondre - il y a 5 ans
Pierre Publication visible uniquement par les membres de JeSuisMort. Inscription/Connexion pour la lire.
Répondre - il y a 5 ans
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Répondre - il y a 5 ans
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Répondre - il y a 5 ans
Anonyme 75554 Vous pourrez découvrir une page consacrée à Georges Brassens sur la page http://promenade34.free.fr/Documents/Port045.htm du site promenade34.free.fr
Répondre - il y a 2 ans
Anonyme 76682 c'est vraiment un artiste anti-conformiste, avec un paquet de référence dans chacunes de ses chansons
Répondre - il y a 12 mois

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Autres chanteur francais

Portrait de Claude Francois
 

Drapeau France 1939 - 1978
Francais, 39 ans

Chanteur de variétés française pop et disco des années 1960 et 1970 dont la popularité n'a fait que croître même après sa mort et dont les tubes les plus célèbres sont « Belles ! Belles ! Belles ! », « Cette année-là », « Le Lundi au soleil », « Le téléphone pleure », « Magnolias for Ever », « Alexandrie Alexandra » ou encore « Comme d'habitude » (reprise par Frank Sinatra sous le nom « My Way »).
Portrait de Richard Chanfray
 

Drapeau France 1940 - 1983
Francais, 43 ans

Chanteur français, personnalité médiatique et mondaine, il affirmait être le Comte de Saint-Germain, aventurier prétendument alchimiste et immortel qui fréquenta la cour de Louis XV. Il eut une relation avec la chanteuse Dalida pendant 9 ans.
Portrait de Grégory Lemarchal
 

Drapeau France 1983 - 2007
Francais, 23 ans

Chanteur français connu pour avoir remporté l'édition 2004 de l'émission de télévision populaire Star Academy (saison 4). Surnommé « Le petit prince à la voix d'ange », il meurt jeune de la mucoviscidose (à 23 ans).
Portrait de C Jérome
 

Drapeau France 1946 - 2000
Francais, 53 ans

Chanteur français connu pour ses 2 principaux tubes « Et tu danses avec lui » (1985) et « Kiss me » (1972).
Portrait de Jean Ferrat
 

Drapeau France 1930 - 2010
Francais, 79 ans

Chanteur français connu pour ses chansons à texte poétique et engagé. Il est apprécié d'un large public et est considéré, à l'instar de Ferré, Brassens et Brel, comme l'un des grands de la chanson française : Nuit et Brouillard (1963), Aimer à perdre la raison (1971), Ma France (1969), C'est beau la vie (1963), La Montagne (1965).
Portrait de Thierry Le Luron
 

Drapeau France 1952 - 1986
Francais, 34 ans

Humoriste français particulièrement célèbre dans les années 1970 et 1980 pour ses imitations de personnalités politiques et médiatiques. Il a aussi enregistré plusieurs chansons et animé des émissions de radio et de télévision. Ses imitations de Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Raymond Barre, François Mitterrand ou Georges Marchais lui valent une très grande popularité, accentuée par des interventions remarquées dans les médias et plusieurs saisons de spectacles dans des théâtres parisiens. Provocateur, il interprète le 10 novembre 1984, dans Champs-Élysées de Michel Drucker, « L'emmerdant, c'est la rose » en direct à la télévision, parodie d'une chanson de Gilbert Bécaud, en s'adressant directement au président François Mitterrand, une de ses cibles favorites. L'année suivante, il organise un faux mariage très médiatisé avec l'humoriste Coluche. Très populaire de son vivant, Thierry Le Luron a été l'un des premiers à transformer l'imitation de personnalités, principalement exercée jusqu'alors par des chansonniers dans des petits cabarets, en un véritable spectacle de music-hall adapté à des grandes salles comme l'Olympia. Son succès, ses performances vocales et sa liberté de ton ont été salués, notamment après sa mort, par de nombreux artistes ou hommes politiques.

Autres guitariste (hommes) francais

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Drapeau France 1930 - 2010
Francais, 79 ans

Chanteur français connu pour ses chansons à texte poétique et engagé. Il est apprécié d'un large public et est considéré, à l'instar de Ferré, Brassens et Brel, comme l'un des grands de la chanson française : Nuit et Brouillard (1963), Aimer à perdre la raison (1971), Ma France (1969), C'est beau la vie (1963), La Montagne (1965).
Portrait de Thierry Le Luron
 

Drapeau France 1952 - 1986
Francais, 34 ans

Humoriste français particulièrement célèbre dans les années 1970 et 1980 pour ses imitations de personnalités politiques et médiatiques. Il a aussi enregistré plusieurs chansons et animé des émissions de radio et de télévision. Ses imitations de Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac, Raymond Barre, François Mitterrand ou Georges Marchais lui valent une très grande popularité, accentuée par des interventions remarquées dans les médias et plusieurs saisons de spectacles dans des théâtres parisiens. Provocateur, il interprète le 10 novembre 1984, dans Champs-Élysées de Michel Drucker, « L'emmerdant, c'est la rose » en direct à la télévision, parodie d'une chanson de Gilbert Bécaud, en s'adressant directement au président François Mitterrand, une de ses cibles favorites. L'année suivante, il organise un faux mariage très médiatisé avec l'humoriste Coluche. Très populaire de son vivant, Thierry Le Luron a été l'un des premiers à transformer l'imitation de personnalités, principalement exercée jusqu'alors par des chansonniers dans des petits cabarets, en un véritable spectacle de music-hall adapté à des grandes salles comme l'Olympia. Son succès, ses performances vocales et sa liberté de ton ont été salués, notamment après sa mort, par de nombreux artistes ou hommes politiques.

Autres points communs avec Georges Brassens