Louis Jouvet

 
Louis Jouvet
1887 - 1951
 

Acteur français, metteur en scène et directeur de théâtre, professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique, connu pour ses rôles dans les films : Les Bas-fonds (1936), Drôle de drame (1937, comédie), Hôtel du Nord (1938, comédie/drame), Quai des Orfèvres (1947, policier) ou Knock (1951, comédie).

Nationalité française Francais, né le 24 décembre 1887 et mort le 16 août 1951

63 ans Mort à l'âge de 63 ans (de quoi ?).

Enterré en France à Paris (Île-de-France).

Cimetière de Montmartre
Zoomez sa tombe

Biographie

Louis Jouvet né le 24 décembre 1887 à Crozon, Finistère et décédé le 16 août 1951 à Paris, était acteur, metteur en scène, professeur au Conservatoire national supérieur d'art dramatique et directeur de théâtre.

Jules Eugène Louis Jouvet, est né en Bretagne le 24 décembre 1887. Orphelin de père à 14 ans, il part vivre avec sa mère chez son oncle qui est apothicaire à Rethel dans les Ardennes. Élève studieux et docile, sa famille l'oblige à entreprendre des études pour devenir pharmacien. À partir de 1904, il étudie à la faculté de Paris, mais passe tout son temps libre dans les théâtres amateurs de l'époque. En parallèle, il se présente au concours d'entrée du Conservatoire d'Art dramatique de Paris, où il sera recalé trois fois (comme Bernard Blier).

En 1912, son diplôme de pharmacien en poche, Louis Jouvet se marie avec Else Collin, avec laquelle il aura trois enfants. À cette époque il court les cachets et fera ainsi une courte apparition dans un film aux côtés de Harry Baur.

En 1913, il est engagé avec son ami Charles Dullin par Jacques Copeau directeur du Théâtre du Vieux-Colombier. C'est un véritable tournant dans sa carrière : il y est régisseur, décorateur, assistant et enfin comédien. Il masque alors son bégaiement par une diction syncopée qui le rendra célèbre par la suite.

En 1914, la Première Guerre mondiale éclate, Louis Jouvet est mobilisé comme ambulancier, puis comme médecin auxiliaire. Démobilisé en 1917, il retrouve la troupe du Vieux Colombier.

En 1922, il rompt avec Jacques Copeau. Commence alors sa carrière de metteur en scène, il installe sa propre troupe au théâtre des Champs-Élysées où il remporte l'année suivante son premier grand succès avec Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romains, qu'il jouera 1500 fois. En 1928, il rencontre Jean Giraudoux dont il crée plusieurs pièces. À partir de 1935, il dirige le théâtre de l'Athénée où il donne la première de La guerre de Troie n'aura pas lieu (1935), d'Ondine (1939).

Gaston Baty, Charles Dullin et Georges Pitoëff et lui fondent le 6 juillet 1927 une association d'entraide, « Cartel des Quatre », qui durera jusqu'en 1940. L'objectif : faire en sorte que le théâtre crée une poésie qui lui soit propre, et faire jouer des auteurs contemporains.

On lui propose la direction de la Comédie-Française, qu'il refuse car il est trop occupé par celle de son propre théâtre. À l'Athénée, il triomphe avec des oeuvres de Molière, celles écrites par son ami Jean Giraudoux, et diverses autres issues du répertoire classique. Il assume de juin 1940 à juin 1941 le contrôle des grands théâtres nationaux, puis part en tournée avec sa troupe en Amérique latine, accompagné pendant un temps par Charlotte Delbo. Durant cette période d'exil il crée notamment L'Apollon de Bellac (1942) à Rio de Janeiro. Il ne reviendra en France qu'à la fin de 1944 et reprendra la direction du théâtre de l'Athénée qui depuis lui a accolé son nom. Là il crée La Folle de Chaillot (1945). Le 30 juillet 1950, il reçoit la Légion d'honneur. Il aide également les nouvelles figures du théâtre, André Barsacq, Jean-Louis Barrault et Jean Vilar notamment, et met en scène Le Diable et le Bon Dieu, pièce écrite par Jean-Paul Sartre en 1951 au Théâtre Antoine à Paris

Malade du coeur, il décède des suites d'un infarctus dans son théâtre alors qu'il dirigeait une répétition de la pièce La Puissance et la Gloire, d'après Graham Greene.

u cinéma, il joue dans trente-deux films, dont quelques chefs-d'oeuvre passés à la postérité. Quai des Orfèvres de Henri-Georges Clouzot, pour beaucoup l'un de ses meilleurs rôles ; Hôtel du Nord aux côtés d'Arletty et son fameux « atmosphère, atmosphère » et Drôle de drame, dans lequel il donne à Michel Simon la réplique devenue célèbre : « Moi j'ai dit "bizarre, bizarre" ? Comme c'est étrange... [...] Moi, j'ai dit "bizarre", comme c'est bizarre. », deux films réalisés par Marcel Carné. Knock ou le triomphe de la médecine est porté à l'écran par l'acteur (avec Roger Goupillières) en 1933 ; Jouvet interpréte à nouveau le personnage dans la version de Guy Lefranc en 1951, peu avant sa mort. Il joue dans deux films réalisés par Jean Renoir : Les bas-fonds en 1936, avec Jean Gabin, et La Marseillaise en 1937. Dans L'Alibi, sous la direction de Pierre Chenal, il rencontre pour un face-à-face Erich Von Stroheim. Dans Copie conforme, il tient le rôle du chef d'une bande de voleurs qui engage son sosie pour se faire innocenter. Aux côtés de Suzy Delair, Jouvet y tient donc un double rôle. En 1948, il joue l'inspecteur Carrel qui enquête sur la mort du truand Vidauban, également son sosie, dans Entre onze heures et minuit de Henri Decoin. Son ami et dialoguiste favori, Henri Jeanson, met en scène Lady Paname et reforme le duo Jouvet-Delair.

Louis Jouvet aimait le théâtre plus que le cinéma. Cela ne l'empêchera pas de jouer, au cinéma, des adaptations théâtrales saluées par la critique[réf. nécessaire] : Volpone avec Harry Baur et Charles Dullin, et Knock, par deux fois, à 17 ans d'intervalle. Fidèle en amitié, il acceptait spontanément de jouer dans un film dont Henri Jeanson avait signé les dialogues, ou encore exigeait qu'il y ait un rôle pour ses amis dans les films où il figurait (par exemple avec Charles Dullin dans Volpone, et Quai des Orfèvres). Sa passion du théâtre l'a poussé à jouer dans Entrée des artistes de Marc Allégret, film où il joue son propre rôle de professeur de théâtre du Conservatoire, presque un reportage sur l'art de Jouvet, La Fin du jour de Julien Duvivier où il est un acteur de théâtre complètement habité par ses personnages et qui, confondant réalité et fiction, sombre dans la folie, et Miquette et sa mère de Clouzot, dans lequel il incarne le pittoresque Monchablon, « grand premier rôle en tous genres », directeur d'une troupe de théâtre ambulant.

Source : fr.wikipedia.org  

Tombe

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Où est enterré Louis Jouvet ?

Cimetière de Montmartre
20 Avenue Rachel
75018 Paris
Île-de-France
France Drapeau francais

La tombe de Louis Jouvet est au Cimetière de Montmartre, 20 Avenue Rachel, 75018 Paris, Île-de-France, France Drapeau francais.

Citations

Les meilleures citations de Louis Jouvet.

On fait du théâtre parce qu'on a l'impression de n'avoir jamais été soi-même et qu'enfin on va pouvoir l'être.
Le théâtre est le désordre incarné et pour faire l'éloge du théâtre il faut commencer par faire l'éloge du désordre.
Le théâtre est une des ces ruches où l'on transforme le miel du visible pour en faire de l'invisible.

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Fiche d'identité

Identité

  • Nom complet : --
  • Nationalité (à sa mort) : Française Drapeau francais
  • Nationalité (à sa naissance) : --
  • Sexe : Masculin

Domaines d'activité

Noms

  • Nom usuel : Louis Jouvet
  • Nom complet : --
  • Prénom : Louis
  • Noms dans d'autres langues : --
  • Homonymes : 0 (aucun)
  • Nom de famille : Jouvet
  • Pseudonyme : --
  • Surnom : --
  • Erreurs d'écriture : Jules Eugène Louis Jouvet

Naissance

  • Signe astrologique du zodiaque : --
  • Signe astrologique chinois : --

Décès

  • Âge de mort : 63 ans
  • Cause de mort : --

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 Était un des meilleurs acteurs de son temps.
Monsieur JOUVET était un des meilleurs acteurs de son temps; il excellait dans le théâtre aussi ! ses films sont inoubliables; j'ai préféré Hôtel du Nord et Quai des orfèvres
Commentez - 1 - il y a 6 ans
 Grand comédien et grand tragédien également.
très grand comédien; un grand tragédien également
Commentez - il y a 5 ans
 Louis Jouvet était un génie au cinéma et au théâtre, son phrasé particulier restera sa signature !
Louis Jouvet était un génie au cinéma et au théâtre, son phrasé particulier restera sa signature ! il pouvait jouer la tragédie tout comme la comédie ! un grand monsieur, vraiment !
Commentez - il y a 5 ans
28 notes ►

Commentaires

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Clo63 le "phrasé" particulier de Louis Jouvet serait semble-t-il dû à des problèmes d'élocutions durant son enfance... Eric Jouvet, son petit-fils approuve, s'appuyant sur les différents témoignages si rapportant, qu'il a retrouvés !
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 dans le film culte "quai des orfèvres" : Louis Jouvet lance cette tirade célèbre à Simone Renant :

"vous m'êtes particulièrement sympathique, Mlle Dora, car je vais vous dire : Vous êtes un type dans mon genre, avec les femmes, vous n’aurez jamais de chance !!!
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 Louis Jouvet à Pierre Larquey dans "Quai des orfèvres"....
https://www.youtube.com/watch?v=rz3ATivFG7A
"allez, approchez, elles vous feront pas de mal, quoi ! vous n'avez pas peur des femmes, non ?" hihi, j'adore !!!
Répondre - il y a 6 ans
Jesuismort (admin) Vous connaissez tous ses films ?
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 à : oh non pas tous, mais quelques-uns, je pense que le meilleur est "quai de orfèvres" ! il y a de bons comme "hôtel du nord", "knock", "le revenant", "copie-conforme", "la charrette-fantôme", "une histoire d'amour", et "topaze"...
photo de Mr Jouvet, dans la charrette-fantôme !
Répondre - il y a 6 ans
Jesuismort (admin) à : Ah quand même !
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 à : -:)
Répondre - il y a 6 ans
Piagauthier à : "Entrée des artistes" est aussi génial et donne une image de l'ambiance des cours de théatre du "Patron".
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 à : oui c'était un maître !
Répondre - il y a 6 ans
Piagauthier Les enfants de Louis Jouvet sont ils encore de ce monde ? Ont ils des enfants ? Si oui les petits enfants de Louis Jouvet travaillent ils pour le théatre ?
Merci pour la réponse.
Répondre - il y a 6 ans
Jesuismort (admin) Vous devriez poser votre question dans le forum de Louis Jouvet.
Répondre - il y a 6 ans
Piagauthier Un admirateur de Louis Jouvet m'a répondu mais je ne trouve pas la réponse.
Répondre - il y a 6 ans
Donias Jeudi 16 août 1951, Paris. Dans le bureau du directeur du théâtre de l'Athénée, un homme étouffe. Depuis deux jours, celui que tout le monde appelle « le patron » lutte désespérément contre la mort.A 17h 10, deux jours plus tôt, à l'issue de la première répétition de La puissance et la gloire de Graham Green, Louis Jouvet s'est senti pâlir avant de ressentir de violentes douleurs à la poitrine. Etendu sur le tapis du palier du bar puis, sur l'ordre d'un médecin, installé sur le divan de son bureau, les douleurs creusent son visage. On lui fait plusieurs piqûres de morphine. La paralysie gagne bras et jambe gauches. A trois heures du matin, il est hémiplégique. Le coma s'installe, de plus en plus profond. Par instant, il parvient faiblement à glisser une parole pour demander s'il pourra encore travailler et jouer. Pendant quarante-huit heures, sa compagne Monique Mélinand et son fils Jean-Paul suivent tous les soubresauts, toutes les phases de cette lutte inégale. Ce 16 août à 20h 30, l'Athénée est orphelin. L'un des géants du théâtre français vient de livrer son dernier combat. Celui d'un homme de 64 ans que rien ne prédisposait à devenir un comédien de légende, un directeur de théâtre incontournable, un formidable animateur de troupe et un découvreur d'auteurs comme Jean Giraudoux ou Jules Romains.
Répondre - il y a 6 ans
Piagauthier C'est terrible ce que vous racontez ! Il a demandé s'il pourrait encore travailler et jouer. C'était cela sa vie. Jouer avant tout. Merci de ce témoignage qui m'attriste mais qui me dit à quel point il a aimé son métier.
Répondre - il y a 6 ans
Donias à : ce que je vous raconte ce sont des recherche sur internet : qu' Il ai demandé s'il pourrait encore travailler et jouer c'est normal comme réaction cher les personne passionné par leur métier et leur art : il ne vive que pour cela : jouer et être acteur. C'était cela sa vie. Jouer avant tout !! comme vous le dite.Ce témoignage est attristant mais il nous révèle à quel point il a aimé son métier et comme molière il est mort d'une certaine façon "sur scène" ou tout du moins en activité. c'était un GRAND ACTEUR !!!
Répondre - il y a 5 ans
Piagauthier à : Vous avez raison. Jouvet est dans l'histoire du cinéma français. Il y est un des acteurs les plus attachants et charismatiques.
Répondre - il y a 5 ans
Donias tombe de Louis Jouvet
Répondre - il y a 6 ans
Clo63 elle est en plus net sur le forum ! si ça vous intéresse ! faut cliquer "forum" et la rubrique que j'ai coché ! si ça vous intéresse et d'autres personnes ;-)
Répondre - il y a 6 ans
Anonyme 71945 Comme Raimu, Gabin et tant d'autres "grands", il ne m'a jamais déçu . . .
Répondre - il y a 4 ans
Piagauthier J'aime aussi beaucoup "hôtel du Nord". Dans "drôle de drame", il est mythique. J'aime cet homme. Il est vrai qu'au cinéma il n'est jamais décevant. Je n'ai pas pu le voir au théatre car je n'étais pas née lorsqu'il est mort. Mais est il mort ? Il me semble que non. Il est dans l'Histoire du cinéma et du théâtre.
Répondre - il y a 3 ans
Piagauthier Je viens de découvrir "les amoureux sont seuls au monde". Quel film merveilleux. Comme Louis Jouvet est à l'aise dans ce rôle. Il se laisse séduire puis il retrouve sa lucidité. On voudrait l'aimer comme sa femme l'aime. On voudrait être son ami. C'est un remarquable comédien. Lorsque le film est sorti je n'étais pas née. Je retrouve le Paris d'avant et Jouvet en est le prince.
Répondre - il y a 1 an
Piagauthier Je viens sur ce site pour lire ce que disent les spectateurs qui connaissent ses films. J'adore ce comédien. J'aime que des personnes en parlent avec des louanges. Il les mérite.
Répondre - il y a 1 an

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